Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Medusa consacre la réalisatrice Anita Rocha Da Silveira reine brésilienne du cinéma de genre. Epoustouflant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Anita Rocha da Silveira signe avec Medusa, un teen movie nourri au cinéma de genre, où la noirceur le dispute à la candeur romantique, ce deuxième long-métrage figure assurément parmi les réussites les plus excitantes de ce début d’année.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Mad Movies
par François Cau
Le Brésil n’attendait qu’un cri, le voici, délivré à pleins poumons.
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Une dystopie féministe, hypnotisante et décalée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
La Septième Obsession
par Noémie Luciani
Mélange de genres hétéroclite mais toujours cohérent, Medusa ne s’autorise l’échappée fantastique et le poème que le temps d’élargir notre regard sur le microcosme rose poupée inquiétant autour de Mariana.
Le Parisien
par La Rédaction
La réalisatrice, dans ce manifeste féministe où quasiment tous les hommes sont des salauds, dénonce le poids du patriarcat, et les dangers de l’intolérance et du bigotisme. Le tout grâce à de très belles images, dignes de John Carpenter ou Dario Argento, dont Anita Rocha da Silveira affirme s’inspirer.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Thierry Jousse
Sous des atours très colorés, Medusa met à feu et à sang le message des groupes évangélistes et le fait même exploser sous un déluge d’images plus frappantes les unes que les autres. On n’est pas très loin de John Carpenter ou de Dario Argento, sans pour autant que le film tourne au pastiche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Le film sait rendre évident à chaque seconde que la réalité manipulée qu’il évoque, celle d’un Brésil gouverné par la haine néolibérale meurtrière, dépasse la fiction : que ces images n’en donnent qu’une idée, que la vraie satire et la vraie parodie se trouvent en dehors du film, sont littéralement au pouvoir, bien décidées à vous réduire à néant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Nicolas Bauche
Cette seconde œuvre confirme, pour nous, le talent éclatant de la cinéaste.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
[La prise de conscience de Mariana] intervient un peu tard, après une certaine répétition de scènes semblables. Un déséquilibre qui va à l’encontre du film, mais mineur au regard de l’originalité du propos, et de son efficacité dans le cadre d’un fantastique réaliste moderne et politique.
L'Ecran Fantastique
par Loris Hantzis
[...] un vrai film "punk" [...], un récit parfaitement imprévisible et des ruptures de ton donnant lieu à de réjouissantes scènes de comédie et d'étrangeté.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Mais après une révélation horrible, moment choc parfaitement mis en scène, le récit tourne un peu en rond. On a l’impression d’un film de genre qui perd graduellement le fil de son genre (entre horreur et happening pop) et ne cerne jamais complètement son objet.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Avec sa violence et son imaginaire pop et fluo, le récit fascine et remplit son objectif contestataire avec panache.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Medusa a tendance à se regarder faire : les très belles prémisses entrevues se pétrifient vite dans un labyrinthique jeu d’exorcisme à l’échelle du monde entier. Dommage, la singulière confession du masque singulier aurait été nettement plus forte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Marie Sauvion
Certes, le scénario aurait gagné à être resserré, et Medusa ne reproduit pas le choc des Bonnes Manières (2018), par exemple. Il n’empêche, ce film de genre féministe, qui rend un hommage avoué au giallo de Dario Argento, méduse pour de bon lorsqu’il s’aventure dans le décor métaphorique d’une clinique pleine de patients comateux ou s’autorise enfin à la révolte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Entre fable dystopique et satire, Medusa tire à boulets rouges sur les grands maux d’une jeunesse néofasciste shootée au puritanisme évangéliste et noyée dans la décadence 2.0 (…) La seule bonne idée du film est de maintenir sa milice d’héroïnes dans une triple enceinte de surréalité – réseaux sociaux, secte fanatique, clinique de chirurgie esthétique.
Critikat.com
par Bastien Gens
L'échec du film tient dans son incapacité à embrasser la multitude des genres dont il se revendique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) Anita Rocha da Silveira tord les codes du thriller horrifique pour raconter la jeunesse et l’évangélisation de la société brésiliennes mais peine à canaliser son talent formel dans un film poseur, au ton vaguement satirique, qui emprunte de nombreux détours pour ne pas nous emmener très loin.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Eclairage clinquant, couleurs primaires, ambiance de boîte de nuit, fétiches divers caractérisent une oeuvre qui suit finalement un parcours assez attendu, vaincu par l'idéologie de la démonstration telle qu'elle s'incarnera dans une scène finale.
Première
par François Léger
Du cinéma de genre sous influences visuelles écrasantes qui peine à tenir ses promesses sur le plan de l’horreur mais cultive obstinément sa singularité de ton.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le principe général d’une dystopie où règnent fanatisme religieux et conservatisme moral est intéressant, la mise en scène maniérée et soporifique égare le spectateur dans l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
Medusa consacre la réalisatrice Anita Rocha Da Silveira reine brésilienne du cinéma de genre. Epoustouflant.
Culturopoing.com
Anita Rocha da Silveira signe avec Medusa, un teen movie nourri au cinéma de genre, où la noirceur le dispute à la candeur romantique, ce deuxième long-métrage figure assurément parmi les réussites les plus excitantes de ce début d’année.
Mad Movies
Le Brésil n’attendait qu’un cri, le voici, délivré à pleins poumons.
Bande à part
Une dystopie féministe, hypnotisante et décalée.
La Septième Obsession
Mélange de genres hétéroclite mais toujours cohérent, Medusa ne s’autorise l’échappée fantastique et le poème que le temps d’élargir notre regard sur le microcosme rose poupée inquiétant autour de Mariana.
Le Parisien
La réalisatrice, dans ce manifeste féministe où quasiment tous les hommes sont des salauds, dénonce le poids du patriarcat, et les dangers de l’intolérance et du bigotisme. Le tout grâce à de très belles images, dignes de John Carpenter ou Dario Argento, dont Anita Rocha da Silveira affirme s’inspirer.
Les Inrockuptibles
Sous des atours très colorés, Medusa met à feu et à sang le message des groupes évangélistes et le fait même exploser sous un déluge d’images plus frappantes les unes que les autres. On n’est pas très loin de John Carpenter ou de Dario Argento, sans pour autant que le film tourne au pastiche.
Libération
Le film sait rendre évident à chaque seconde que la réalité manipulée qu’il évoque, celle d’un Brésil gouverné par la haine néolibérale meurtrière, dépasse la fiction : que ces images n’en donnent qu’une idée, que la vraie satire et la vraie parodie se trouvent en dehors du film, sont littéralement au pouvoir, bien décidées à vous réduire à néant.
Positif
Cette seconde œuvre confirme, pour nous, le talent éclatant de la cinéaste.
Franceinfo Culture
[La prise de conscience de Mariana] intervient un peu tard, après une certaine répétition de scènes semblables. Un déséquilibre qui va à l’encontre du film, mais mineur au regard de l’originalité du propos, et de son efficacité dans le cadre d’un fantastique réaliste moderne et politique.
L'Ecran Fantastique
[...] un vrai film "punk" [...], un récit parfaitement imprévisible et des ruptures de ton donnant lieu à de réjouissantes scènes de comédie et d'étrangeté.
L'Humanité
Mais après une révélation horrible, moment choc parfaitement mis en scène, le récit tourne un peu en rond. On a l’impression d’un film de genre qui perd graduellement le fil de son genre (entre horreur et happening pop) et ne cerne jamais complètement son objet.
Le Journal du Dimanche
Avec sa violence et son imaginaire pop et fluo, le récit fascine et remplit son objectif contestataire avec panache.
Les Fiches du Cinéma
Medusa a tendance à se regarder faire : les très belles prémisses entrevues se pétrifient vite dans un labyrinthique jeu d’exorcisme à l’échelle du monde entier. Dommage, la singulière confession du masque singulier aurait été nettement plus forte.
Télérama
Certes, le scénario aurait gagné à être resserré, et Medusa ne reproduit pas le choc des Bonnes Manières (2018), par exemple. Il n’empêche, ce film de genre féministe, qui rend un hommage avoué au giallo de Dario Argento, méduse pour de bon lorsqu’il s’aventure dans le décor métaphorique d’une clinique pleine de patients comateux ou s’autorise enfin à la révolte.
Cahiers du Cinéma
Entre fable dystopique et satire, Medusa tire à boulets rouges sur les grands maux d’une jeunesse néofasciste shootée au puritanisme évangéliste et noyée dans la décadence 2.0 (…) La seule bonne idée du film est de maintenir sa milice d’héroïnes dans une triple enceinte de surréalité – réseaux sociaux, secte fanatique, clinique de chirurgie esthétique.
Critikat.com
L'échec du film tient dans son incapacité à embrasser la multitude des genres dont il se revendique.
L'Obs
(...) Anita Rocha da Silveira tord les codes du thriller horrifique pour raconter la jeunesse et l’évangélisation de la société brésiliennes mais peine à canaliser son talent formel dans un film poseur, au ton vaguement satirique, qui emprunte de nombreux détours pour ne pas nous emmener très loin.
Le Monde
Eclairage clinquant, couleurs primaires, ambiance de boîte de nuit, fétiches divers caractérisent une oeuvre qui suit finalement un parcours assez attendu, vaincu par l'idéologie de la démonstration telle qu'elle s'incarnera dans une scène finale.
Première
Du cinéma de genre sous influences visuelles écrasantes qui peine à tenir ses promesses sur le plan de l’horreur mais cultive obstinément sa singularité de ton.
aVoir-aLire.com
Si le principe général d’une dystopie où règnent fanatisme religieux et conservatisme moral est intéressant, la mise en scène maniérée et soporifique égare le spectateur dans l’ennui.