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Un visiteur
4,0
Publiée le 16 février 2009
Si il est clair que vidocq n'est pas un chef d'oeuvre, c'est néanmoins, un excellent film. Malheureusement, une chose joue en sa défaveur,cette chose est Gérard Depardieu qui est imbuvable, je veux plus le voir lui, je le hais! Parce que Vidocq a de nombreux atouts a commencé par la photographie, crépusculaire et magnifique et les décors/cosumes signés Marc Caro a comencé par le costume et surtout le masque de l'alchimiste, j'ai adoré! Malheureusement les acteurs ne suivent pas, ils sont pas dégueu mais il sont pas excellents malheureusement et Gérard Depardieu casse tout. Mais le script est génial et m'a captivé.
La mise en scène, elle, est banale mais se laisse regarder, Pitof n'est pas un bon réal', c'est clair.
Vidocq malgré ses défauts, les acteurs et la réalisation, reste très attachant, de part son scénario, sa photo, ses décors et ses costumes/
J'adore Vidocq mais il mérite pas 4 étoiles et je suis gentil avec 3 étoiles...
Dommage de tromper le spectacteur en appelant le film Vidocq et d'avoir basé sa com là-dessus. Sinon on assiste à un film fantastique français plutôt bon ce qui est rare, avec quelques efforts sur le scénario on pouvait arriver à un truc vraiment bien. A priori c'était plus facile de rajouter un titre vendeur.
Vidocq est une belle surprise comme le cinéma français en fait rarement. Il repose en partie sur un aspect visuel bluffant très novateur. Par ailleurs, l’intrigue est bonne et bien servie notamment par Gérard Depardieu. Avec une fin surprenante, Vidocq assure un très bon moment.
Le Paris et l'ambiance de l'époque est très bien retranscrit mais en revanche, le sénarios et les effets spéciaux sont d'une calamité. Voir le méchant bouger durant les sénes de poursuite ou de combat donne rapidmeent l'envie de vomir...
Pitof est l'un des plus mauvais réalisateur qui existe dans le monde du cinéma. Il se casse les dents avec "vidocq" et se plante une nouvelle fois avec son désastreux "catwomen". La seule et unique étoile, c'est pour le rôle de Dussolier qui joue à merveille.
Une super daube , dirigé par Pitof un ancien publicitaire qui n assume même pas la total nullité de ce film inregardable. Des effets spéciaux nulissime un scénario incompressible . Comment peu on donner un budget pareil à de tel incapable . J'espère que ce type ne fera plus jamais de films comme ca
Il saute au yeux que, derrière ces cent minutes d'images et de sons maniaquement trafiqués, il y a un savoir-faire considérable. Mais pour produire quels effets ? Du romanesque, il y en avait à profusion, façon feuilleton pur style XIXè. Dans le Paris de 1830, "l'Alchimiste", un être maléfique aux pouvoirs surnaturels, visage dissimulé sous un masque miroir, sème la térreur. Mais dans Vidocq le film, Vidocq, le personnage, n'est qu'un prête-nom. Toute ressemblance avec la série télé est, ici, purement fortuite. Plus Pitof multiplie les maniérismes formels, plus il sape le récit. Loin de réinventer un monde, il ne fait que dématérialiser l'univers ou il nous à plongés. Pitof désamorce tout ce qui est supposé faire "respirer" l'intrigue : les émotions, le suspense, les rebondissements, les changements de rythme. Trop d'effets ont tué l'effet. Pour certain, tout ces bémols ne dérange pas trop. Un film qui aurait pu être bien plus grand, mais c'est pas le cas. Il reste, que le film fut un pari audacieux..
Je n'ai vraiment pas accroché à l'univers, toutes ces couleurs sombres et jaunes, ces coiffures ridicules. Mais ce qui m'a le plus piqué les yeux sont les effets visuels, les mouvements incessants de caméra et le cadrage. Quant au casting, je n'aurai choisi qu'André Dussollier. Les autres ne collent pas au rôle. Surtout Depardieu qui dès le début du film ne m'a pas convaincu dans son rôle.
Que dire enfin face à cet essai en - presque - complète roue libre par ailleurs toujours choquant par son évidente générosité dans sa volonté par ailleurs de montrer un 19ème crédible - Sinon de redéfinir « Les Bourgeois » d’Ingres ? - , ne pouvant évidemment pas plaire à tous les critiques du monde, sinon au « Figaro-magazine« ou à aux « Cahiers » sinon ces « Inrockuptibles » et/ou autres journaux de vieux/jeunes drôles à culture - ainsi que cette France pas si éloignée ou les brigands étaient laissés bien souvent en liberté ( afin peut-être de ne pas trop choquer ces esprits libres et prévenir tous ces dérapages… ) et ou ce Gendarme nouvellement promu et invention de l’Empereur faisait sa loi !..