Pitof est l'un des plus mauvais réalisateur qui existe dans le monde du cinéma. Il se casse les dents avec "vidocq" et se plante une nouvelle fois avec son désastreux "catwomen". La seule et unique étoile, c'est pour le rôle de Dussolier qui joue à merveille.
Un film qui se laisse voir, mais qui ne m'a pas du tout rappelé la série....à ma grande déception. C'est une fâcheuse tendance que de reprendre le nom d'une série et de ne pas la respecter.
Pffffffffffffffffffffffff un film qui aurait pu être bien , il a tout d'un grand mais reste un petit film , dommage , ca auait pu un super film , grands acteurs , titre de légende , ben ca l'a pas fait
Sans doute le premier film que j'ai réellement aimé, Vidocq est magique, impressionnant, immersif et captivant. Magique par la qualité et l'inventivité de ses innovations cinématographiques. Impressionnant par le réalisme et la beauté de ses costumes ainsi que par un jeu d'acteurs géniaux, énigmatiques et attachants. Immersif par la grandeur et la profondeur de la reconstitution du Paris de 1830, tant en dur qu'en numérique. Captivant par une atmosphère étrange, mystérieuse et feutrée, et à la fois inquiétante et tendue. Le scénario est maîtrisé de bout en bout, mêlant avec brio enquête policière, Histoire et ésotérisme. Il nous plonge petit à petit dans un enfer parisien dantesque et ténébreux où l'horreur rôde. Un vrai régal pour les sens : on frissonne tellement on s'y croirait.
Vidocq ne se regarde pas, il se vit. Perle rare du cinéma français, il est pour moi un chef-d'œuvre dans tous les domaines.
Sympa, sûr qu'il ne s'agit pas du meilleur film de tout les temps, mais j'ai trouvé l'intrigue plutôt intéressante et finalement j'ai passé un bon moment. Un film distrayant.
Sorti en 2001, "Vidocq" était à la fois ambitieux et audacieux sur la papier. Premier long-métrage tourné en numérique (coiffant au poteau George Lucas et son "Star Wars Episode II"), doté d'un gros budget, s'intéressant à une période trouble (les Trois Glorieuses) et à un personnage historique fort de la culture populaire française (Vidocq, l'ancien bagnard devenu policier d'élite), et porté par des noms connus. Quid du résultat ? Une bouillie infâme et indigeste, aussi moche que maladroite ! Les images numériques sont immondes, le montage chaotique est rempli de gros plans huileux (les scènes de combat sont particulièrement illisibles), et les effets ont terriblement mal vieilli. Sans parler du scénario artificiel et bancal bourré de flash-back à tiroirs, et des acteurs à l'ouest. C'est simple, à part Gérard Depardieu qui donne le change, tous les autres semblent perdus... S'agissant du premier film de Pitof, technicien à la base, cela est compréhensible mais non excusable. De même, la volonté de faire du numérique et de casser les codes de la pellicule à l'époque est salutaire et courageuse, mais cela n'exonère pas le résultat final de faire preuve de qualité ! Restent des décors très travaillés, mélangeant steam-punk et reconstitution du Paris de 1830...
Ce film est une pure réussite dans les décors et la photographie, mais c'est tout !!!! La réalisation est trop souvent maladroite et répétitive, l'intrigue est peu prenante, il y a beaucoup trop de longueur, ect. "Vidocq" est une grosse déception, je m'attendais à beaucoup mieux.
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1,0
Publiée le 9 septembre 2021
Ce Vidocq a l'une des histoires les plus stupides de tous les temps. Pourquoi Vidocq laisse-t-il le tueur continuer à tuer des gens et pourquoi attendre pour l'attraper je ne sais pas. C'est quoi cette histoire de vieux pervers qui n'ont pas de sexe et qui aiment se maquiller et c'est quoi cette histoire de sang pur des vierges. Les images sont agréables pendant un moment mais ne font pas un film entier ou une histoire cohérente. Le montage est si mauvais par moments que je me demande s'il a été contrôlé par le réalisateur Pitof. Les acteurs ne peuvent pas faire grand chose avec ces personnages stupides un scénario plus que médiocre sauf Depardieu qui essaie malgré tous cela. Le jeu des autres acteurs est mauvais on dirait que les acteurs n'ont jamais répété qu'ils ont juste lu les dialogues et tourné le film. Il y a une réalisation bâclée ils ont probablement passé une semaine à filmer pour 3 mois de post-production. Il n'y a aucune substance dans ce film c'est juste une autre démonstration de mauvais goût et une tentative désespérée d'être à la mode. Mais je suppose que c'est un film un peu divertissant pour des adolescents nourris de jeux en 3D mais ce n'est rien de plus que cela...
Je n'ai vraiment pas accroché à l'univers, toutes ces couleurs sombres et jaunes, ces coiffures ridicules. Mais ce qui m'a le plus piqué les yeux sont les effets visuels, les mouvements incessants de caméra et le cadrage. Quant au casting, je n'aurai choisi qu'André Dussollier. Les autres ne collent pas au rôle. Surtout Depardieu qui dès le début du film ne m'a pas convaincu dans son rôle.
Le Gros point négatif, le Film très mal réalisé, cadrage / plan approximatif et une introduction beaucoup trop brouillonne, malgré un casting royale et une esthétique plutôt recherchée (costumes, décors, couleur) j'ai très vite décroché. Bref film à oublier
Fût une époque oú le cinéma français se rêvait d'action et de merveilleux : Vidocq, Les Anges de l'Apocalypse, Peut Être, Le Pharmacien de Garde ... mouvement ambitieux et passionant d'oú résulte une série de films majoritairement mal aimés ou fortement dénigrés ( tel que Arséne Lupin pourtant porté avec maestria par Pascal Greggory et Kristin Scott Thomas ) avec quelques rares ecxeptions se distinguant du reste du lot par leur succés ainsi que leur juvenilité ( tel que le brillant " Asterix" de Chabat ). Car la particularité générale de ce mouvement est qu'il fût sombre et torturé, habité par la perversion et mettant constamment en scéne le sexe, la mort et\ou la folie. Vidocq ne déroge pas à la régle en étant à la fois un film sombre et une oeuvre mal aimée. Pourtant la raison de cette haine ne saute pas aux yeux. Acteurs délicieux ( Edith Scob ) ou efficaces ( Guillaume Canet ), rôles croqués avec truculence ( Nimiers ) ou élégance ( Dussolier ), intrigue prenante, décors grandioses ( nottament la maison des automates ), photographie léchée, répliques bien senties, caméra free style et pour lier tout cela une partition de grande qualité. En toute sincérité, je veux bien qu'on m'explique ce qui il y a de médiocre là dedans. Peut être n'est ce qu'un blockbuster banal pour certains. En cette considération, je pense pouvoir dire que la banalité de nos blockbusters français est plus intéressante qu'un blockbuster banal américain, car elle détient de la noirceur, de la profondeur et du mystére.