Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Ne pas se fier à la canicule percutante du titre : si le premier long métrage de fiction de Philippe Petit sème des embûches sur le chemin de son protagoniste paysagiste, qui galère pour financer l’aménagement d’une friche marseillaise, c’est pour mieux nuancer les combats, bouturer le film social en séquences cool prônant une certaine dérive du sens.
L'Obs
par François Forestier
Le film provoque une sympathie immédiate, et met en évidence le talent de Swann Arlaud, ludion fiévreux et perpétuellement mobile. Du cinéma politique et fraternel.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Alexis Pfeiffer
Porté par un Swann Arlaud brillant, ce film met en scène un paysagiste amateur déterminé à transformer le terrain vague d’un quartier défavorisé en parc à la végétation luxuriante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par O.D.
Dommage que le cinéaste ait fait de lui un type radical, qui n'a pas compris que l'homme a tout à gagner à plier plutôt qu'à rompre.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Murielle Joudet
Comme Rohmer, Philippe Petit aborde sans grandiloquence son enjeu, observant si un idéal se dissout dans le magma des désillusions ordinaires ou s’il lui résiste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Porté par un Swann Arlaud inspiré, le film délie avec intelligence les fils de la décision politique à l’échelle locale. Et ouvre la réflexion sur l’espace urbain comme lieu des possibles et du collectif.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Tant que le soleil frappe nous raconte une autre histoire de la politique, aussi concrète dans son inscription triviale (le quotidien) que le goudron fumant de la ville. Refuser d’abandonner aux mains du marché ce petit bout de terrain devient alors essentiel. Tout sauf une utopie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Hélène Marzolf
Ode au collectif, à la participation citoyenne, ce premier film modeste ne manque pas de charme. En grande partie grâce au jeu tout en sensibilité et en décontraction de Swann Arlaud, parfait en Don Quichotte à la main verte.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Entre rêve et réalité, Tant que le soleil frappe dresse le portrait d’un anti-héros attachant, malgré un scénario qui peine à débroussailler le terrain.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Thierry Chèze
Les acteurs sont impeccables (Swann Arlaud en tête) mais tout – rebondissements, écriture des personnages… – paraît trop programmatique pour dépasser le simple constat.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
Ne pas se fier à la canicule percutante du titre : si le premier long métrage de fiction de Philippe Petit sème des embûches sur le chemin de son protagoniste paysagiste, qui galère pour financer l’aménagement d’une friche marseillaise, c’est pour mieux nuancer les combats, bouturer le film social en séquences cool prônant une certaine dérive du sens.
L'Obs
Le film provoque une sympathie immédiate, et met en évidence le talent de Swann Arlaud, ludion fiévreux et perpétuellement mobile. Du cinéma politique et fraternel.
La Croix
Porté par un Swann Arlaud brillant, ce film met en scène un paysagiste amateur déterminé à transformer le terrain vague d’un quartier défavorisé en parc à la végétation luxuriante.
Le Figaro
Dommage que le cinéaste ait fait de lui un type radical, qui n'a pas compris que l'homme a tout à gagner à plier plutôt qu'à rompre.
Le Monde
Comme Rohmer, Philippe Petit aborde sans grandiloquence son enjeu, observant si un idéal se dissout dans le magma des désillusions ordinaires ou s’il lui résiste.
Les Fiches du Cinéma
Porté par un Swann Arlaud inspiré, le film délie avec intelligence les fils de la décision politique à l’échelle locale. Et ouvre la réflexion sur l’espace urbain comme lieu des possibles et du collectif.
Les Inrockuptibles
Tant que le soleil frappe nous raconte une autre histoire de la politique, aussi concrète dans son inscription triviale (le quotidien) que le goudron fumant de la ville. Refuser d’abandonner aux mains du marché ce petit bout de terrain devient alors essentiel. Tout sauf une utopie.
Télérama
Ode au collectif, à la participation citoyenne, ce premier film modeste ne manque pas de charme. En grande partie grâce au jeu tout en sensibilité et en décontraction de Swann Arlaud, parfait en Don Quichotte à la main verte.
aVoir-aLire.com
Entre rêve et réalité, Tant que le soleil frappe dresse le portrait d’un anti-héros attachant, malgré un scénario qui peine à débroussailler le terrain.
Première
Les acteurs sont impeccables (Swann Arlaud en tête) mais tout – rebondissements, écriture des personnages… – paraît trop programmatique pour dépasser le simple constat.