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Votre avis sur L'Année du requin ?
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J'ai apprécié ce film décalé, non pas comme une comédie (je n'ai pas ri une seule fois), mais comme un PASTICHE (les dents de la mer de Spielberg) où les clins d'oeil sont nombreux et souvents subtils...Que dire de Marina Fois, elle est géniale comme d'habitude (courrez voir "as bestas"), que dire de la voix off (celle d'une personne qui n'a pas la lumière au grenier), de Kad Merad ( le mari honnête et bienveillant), bref le film fonctionne bien, pourvu qu'on ne cherche pas à rire, mais à percer l'ironie décalée du scénario.....Techniquement, c'est honnête avec des requins qu'on sent en carton platre, (comme dans l'original), des cadavres bien découpés, et quelques personnages secondaires qui apporte leur fantaisie ( je pense à certaines victimes des requins)...Je m'attendais à un navet,( vu les nombreuses critiques) c'est beaucoup plus subtil et nuancé......bref C'est un film qui doit se voir en décalé (pas en comédie, je me répète, c'est au moins du troisième degré) et qui demande peut être avant de revoir les dents de la mer...A vous de voir.....L'idée est bonne....
La très bonne surprise de l'été.
Hommage sincère et décalé au chef d'œuvre de Spielberg sur un ton décalé.
Ne pas se fier à la bande annonce qui laisse supposer que l'on va assister à une comédie.
Hommage sincère et décalé au chef d'œuvre de Spielberg sur un ton décalé.
Ne pas se fier à la bande annonce qui laisse supposer que l'on va assister à une comédie.
Film que je déconseille fortement..
L'affiche me paraissait ainsi que le titre accrocheur, mais cela n'en n'était pas le cas.. car le film en lui-même un navet qui ne méritait même pas d'être à l'affiche de cinéma.
Malgré la présence de Kad Merad et de Marina foïs, à qui je pensais aller relever le film.. mais que nenni !!
Déçu d'avoir perdu mon temps et mon argent pour cela.
Bref à bon entendeur'
L'affiche me paraissait ainsi que le titre accrocheur, mais cela n'en n'était pas le cas.. car le film en lui-même un navet qui ne méritait même pas d'être à l'affiche de cinéma.
Malgré la présence de Kad Merad et de Marina foïs, à qui je pensais aller relever le film.. mais que nenni !!
Déçu d'avoir perdu mon temps et mon argent pour cela.
Bref à bon entendeur'
Ce film est une catastrophe à tout niveaux. Le jeu d'acteur de Marina Foïs est horrible, c'est à se demander si elle a déjà joué dans d'autres films. Les gags sont mal faits, pas drôles, et le scénario est ridicule. Ce fut une torture de rester jusqu'à la fin
Pas vu une daube pareille depuis vercingétorix avec Christophe Lambert. C'est tellement nul que ça le rend fascinant. On ne sait plus comment le classer, un drame, un comique, un mélange d'amélie poulain, de dent de la mer, de gendarmes à Saint Tropez.
C'est mauvais! Si les frères Boukherma ont voulu faire une comédie: C'est raté. Personne n'a rit dans la salle. On sourit au plus 3 ou 4 fois. Si les frères Boukherma ont voulu faire un film qui fait peur: C'est raté. En fait, il est impossible de ne pas faire référence aux dents de la mer mais leur requin iréel ne fait pas peur. Les acteurs ne sont pas mauvais mais ils patissent d'un sénario creux. sur le fond, on notera les confrontations entre profit (tous ceux qui vivent du tourisme) et sécurité (le maire qui protège ses concitoyens et surtout lui même). bref ce film est court (1h27) mais ça reste encore trop long.
C’est une réalisation de Ludovic et Zoran Boukherma qui avaient déjà fait ensemble l’an dernier Teddy. Ils ont écrit le scénario.
Les Dents de la mer ont marqué plusieurs générations. Elles ont traumatisé par ce requin tuant les touristes sur une plage. Une cinquantaine d'années après un duo de réalisateurs a décidé de tourner cela en comédies. Vous avez donc le même contexte : une plage touristique, une gendarmerie et un soupçon de requin. La petite différence est qu’on se trouve dans le Sud-ouest.
Dans toute la première partie de L'Année du requin, on sent l'aspect parodique des Dents de la mer. Il y a beaucoup de similitudes en termes scénaristiques. Cette idée est plutôt bonne et fonctionne. On aurait aimé tout de même qu'elle soit plus poussée en n’ayant pas peur d'aller au bout de ses idées. En effet, il y a une certaine retenue. De plus toutes les blagues ne sont pas bien senties avec notamment un comique de répétition qui tombe à côté.
La seconde partie va être plus sérieuse. Ludovic et Zoran Boukherma n’avaient pas dans l'optique de nous faire rire. C’est dérangeant pour un film annoncé comme une comédie. Certains éléments auraient pu être humoristiques, mais ils sont plongés dans une ambiance trop sombre pour déclencher le rire. Il y a tout de même des éléments intéressants. Encore une fois, ils ne sont pas forcément bien dosés. On pense par exemple à cette radio qui se moque du réchauffement climatique et du wokisme. Cet humour satirique fonctionne, mais aurait mérité d’être plus assumé qu’une simple radio. Le constat est le même pour le message sur l’environnement. Il se voit, se comprend, mais ne s'impose pas.
Le casting aussi va atteindre ses limites. Marina Foïs comme à son habitude n'a rien à se reprocher. En revanche, ceux qui l’accompagnent ne sont pas à son niveau. Le personnage de Kad Merad ne va être pas assez exploité alors qu'il aurait pu être capital. Ses passages sont souvent bons. Quant aux collègues de la gendarmerie, ils n'arrivent pas à atteindre leur but et ne livrent clairement pas une bonne prestation. Jean-Pascal Zadi agace et Christine Gautier est trop transparente.
Les Dents de la mer ont marqué plusieurs générations. Elles ont traumatisé par ce requin tuant les touristes sur une plage. Une cinquantaine d'années après un duo de réalisateurs a décidé de tourner cela en comédies. Vous avez donc le même contexte : une plage touristique, une gendarmerie et un soupçon de requin. La petite différence est qu’on se trouve dans le Sud-ouest.
Dans toute la première partie de L'Année du requin, on sent l'aspect parodique des Dents de la mer. Il y a beaucoup de similitudes en termes scénaristiques. Cette idée est plutôt bonne et fonctionne. On aurait aimé tout de même qu'elle soit plus poussée en n’ayant pas peur d'aller au bout de ses idées. En effet, il y a une certaine retenue. De plus toutes les blagues ne sont pas bien senties avec notamment un comique de répétition qui tombe à côté.
La seconde partie va être plus sérieuse. Ludovic et Zoran Boukherma n’avaient pas dans l'optique de nous faire rire. C’est dérangeant pour un film annoncé comme une comédie. Certains éléments auraient pu être humoristiques, mais ils sont plongés dans une ambiance trop sombre pour déclencher le rire. Il y a tout de même des éléments intéressants. Encore une fois, ils ne sont pas forcément bien dosés. On pense par exemple à cette radio qui se moque du réchauffement climatique et du wokisme. Cet humour satirique fonctionne, mais aurait mérité d’être plus assumé qu’une simple radio. Le constat est le même pour le message sur l’environnement. Il se voit, se comprend, mais ne s'impose pas.
Le casting aussi va atteindre ses limites. Marina Foïs comme à son habitude n'a rien à se reprocher. En revanche, ceux qui l’accompagnent ne sont pas à son niveau. Le personnage de Kad Merad ne va être pas assez exploité alors qu'il aurait pu être capital. Ses passages sont souvent bons. Quant aux collègues de la gendarmerie, ils n'arrivent pas à atteindre leur but et ne livrent clairement pas une bonne prestation. Jean-Pascal Zadi agace et Christine Gautier est trop transparente.
Mon Dieu que ça vole bas.... Kad Merad et Marina Foïs sont tombés bien bas... Ni drôle, ni distrayant. Next.
Très mauvais film, beaucoup de longueur, film pas drôle, aucune surprise, j'ai voulut partir à mince reprise
Résumé à la con : Une gendarme qui ne vit pas à Saint-Tropez mais à La Pointe dans les landes n’a tellement pas envie de partir à la retraite qu’elle préfère risquer sa vie en barbotant avec un requin.
Avis pas à la con : Ici, on adore le ton des frères Boukherma. Le narrateur Ludovic Torrent, égal à lui-même depuis « Teddy » le précédent film des deux frères, apporte une touche loufoque à la narration. Décalage que l’on retrouve tant dans les prises de vues extrêmement bien maitrisées que dans le jeu acide des acteurs qui nous servent du burlesque à toutes les sauces. La vindicte populaire expliquée par un casting haut en couleur de comédiens confirmés ainsi qu’une distribution de non professionnels qui ajoutent une touche locale à l’ensemble.
L’avis moins cool : On comprend que le film essaie de brouiller les pistes du genre mais on pourrait tout de même lui reprocher son manque de radicalité. Finalement, même si l’on est attrapé par moults bons moments, le film ne nous arrache pas la bouche d’un rictus éternel et ne nous emporte pas non plus dans un sombre raz-de-marée d’hémoglobine ni d’horreur. Quoi qu’il en soit c’est frais, ça sent bon l’été mais si vous y allez, évitez d’emmener vos trop jeunes progénitures contrairement à quelques génies dans la salle où j’ai vu le film.
Nombre de personnes sorties de la salle avant la fin du film : 5, dont une petite personne de moins de 5 ans
Un film du genre qu’on vous recommande / si tu as aimé tu aimeras aussi :
- Oranges Sanguines, 2021
- P'tit Quinquin, 2014
Note : 3,5/5
Le reste c’est sur Insta @Desflims
Avis pas à la con : Ici, on adore le ton des frères Boukherma. Le narrateur Ludovic Torrent, égal à lui-même depuis « Teddy » le précédent film des deux frères, apporte une touche loufoque à la narration. Décalage que l’on retrouve tant dans les prises de vues extrêmement bien maitrisées que dans le jeu acide des acteurs qui nous servent du burlesque à toutes les sauces. La vindicte populaire expliquée par un casting haut en couleur de comédiens confirmés ainsi qu’une distribution de non professionnels qui ajoutent une touche locale à l’ensemble.
L’avis moins cool : On comprend que le film essaie de brouiller les pistes du genre mais on pourrait tout de même lui reprocher son manque de radicalité. Finalement, même si l’on est attrapé par moults bons moments, le film ne nous arrache pas la bouche d’un rictus éternel et ne nous emporte pas non plus dans un sombre raz-de-marée d’hémoglobine ni d’horreur. Quoi qu’il en soit c’est frais, ça sent bon l’été mais si vous y allez, évitez d’emmener vos trop jeunes progénitures contrairement à quelques génies dans la salle où j’ai vu le film.
Nombre de personnes sorties de la salle avant la fin du film : 5, dont une petite personne de moins de 5 ans
Un film du genre qu’on vous recommande / si tu as aimé tu aimeras aussi :
- Oranges Sanguines, 2021
- P'tit Quinquin, 2014
Note : 3,5/5
Le reste c’est sur Insta @Desflims
Ludovic et Zoran Boukherma ont-ils décidé de nous offrir une parodie des « Dents de la Mer » avec (beaucoup) de retard ? Oui… et non… En fait, si le célèbre film de Spielberg est bien l’objet de nombreuses références et clins d’œil tout au long du film, jusque dans sa plus célèbre réplique, et même si la trame du film n’en est pas très éloignée, « L’année du requin » s’avère être autre chose qu’une simple parodie. Bien sur il y a beaucoup de second degré (et pour commencer une voix off lénifiante rigolote au début, puis très vite pénible parce que totalement inutile, en fait), des gags récurrents plus ou moins réussis, le film n’est pas avare en suspens, en scènes sanguinolentes, en musique « qui fait peur », tout cela n’est pas généralement présent en si belle place dans les pures parodies. En fait, le film des frères Boukherma se cherche un peu, essayant de faire rire et faire peur en même temps, de faire réfléchir sur le réchauffement climatique, de régler son compte aux dérives des réseaux sociaux et dénoncer le populisme (avec les deux Bernard de « Radio La Pointe »), le film tire un peu tout azimut et il finit par se disperser un peu. Bien calibré, mené avec un rythme soutenu, et pas trop long, pas désagréable à suivre, le film doit beaucoup à son casting et notamment à Marina Foïs. Habillée en bleu même une fois à la retraite (jusque dans le verni à ongle), on sent chez cette femme un attachement viscéral presque inquiétant à son métier, comme si cela emplissait toute sa vie et ne laissait de place pour rien d’autre.
spoiler:
Après une première réussite vis-à-vis du requin, elle se retrouve dans la peau d’une héroïne, puis le vent tourne et la voilà subitement paria, insultée sur les réseaux sociaux et même agressée dans une scène effrayante qui nous fait dire qu’on n’est pas réellement dans une comédie
. C’est donc un compte qu’elle cherche à régler avec le squale, qui symbolise ce sentiment d’inachèvement qu’elle ressent vis-à-vis de son job. Elle est très bien Marina Foïs, tout comme son mari amoureux et prévenant (et très patient) Kad Mérad, que j’ai rarement vu dans un rôle si lisse ! Jean-Pascal Zadi (dont le rôle aurait mérité d’être un peu plus étoffé) et Christine Gauthier (gendarmette maladroite et un peu énervante de mollesse) complètent une équipe de semi bras cassés, gendarmes parfois proche de la caricature style « Saint Tropez », engagés dans une lutte contre un animal redoutable. Ici le requin (crédité au générique) est filmé d’abord en caméra subjective (très efficace mais pas nouveau) pour ensuite être montré clairement, dans toute sa taille et avec sa mâchoire terrifiante. Les attaques, les morceaux de corps, les cadavres, tout cela est filmé et montré sans pudeur, encore une fois pour une comédie cela surprends un petit peu. Le scénario, que je trouve dans son ensemble malheureusement assez crédible, fait au départ penser à celui des « Dents de la Mer » : spoiler: convaincre que le requin existe, affronter les réticences des commerçants et du secteur du tourisme, affronter l’animal. Mais ensuite le film prend la parti de s’appuyer sur des problématiques plus modernes : tuer l’animal ou pas, poser la question de dérèglement climatique, passer su statut de héros au statut de paria en quelques heures, affronter le déni et le populisme, toute ces choses qui, pour le coup n’existaient pas dans les années 70 et qui semblent aujourd’hui bien plus dangereuses qu’un simple requin bouledogue.
Je comprends très bien cette volonté d’ancrer cette histoire dans le monde d’aujourd’hui, de faire de ce combat Homme/Requin le symbole d’un combat Homme/Nature même si j’ai bien conscience que s’éparpiller ainsi ne rend pas le long métrage très lisible. Reste que, malgré tous les bémols que l’on peut formuler sur le film, sur certaines scènes un peu lourdes, certains gags pas très drôles, certains personnages bien caricaturaux, « L’Année du Requin » n’est pas un mauvais film, en tous cas ce n’est pas un moment de cinéma que l’on regrette. On quitte peut-être la salle avec un sentiment ambivalent de film inachevé mais sans en garder clairement un mauvais souvenir. Ce n’est pas un très grand film, ni un chef d’œuvre de comédie noire, c’est un film parfois un peu maladroit dans sa forme mais malgré tout pertinent, et qui mérite sa place dans cet été cinématographique caniculaire.
. C’est donc un compte qu’elle cherche à régler avec le squale, qui symbolise ce sentiment d’inachèvement qu’elle ressent vis-à-vis de son job. Elle est très bien Marina Foïs, tout comme son mari amoureux et prévenant (et très patient) Kad Mérad, que j’ai rarement vu dans un rôle si lisse ! Jean-Pascal Zadi (dont le rôle aurait mérité d’être un peu plus étoffé) et Christine Gauthier (gendarmette maladroite et un peu énervante de mollesse) complètent une équipe de semi bras cassés, gendarmes parfois proche de la caricature style « Saint Tropez », engagés dans une lutte contre un animal redoutable. Ici le requin (crédité au générique) est filmé d’abord en caméra subjective (très efficace mais pas nouveau) pour ensuite être montré clairement, dans toute sa taille et avec sa mâchoire terrifiante. Les attaques, les morceaux de corps, les cadavres, tout cela est filmé et montré sans pudeur, encore une fois pour une comédie cela surprends un petit peu. Le scénario, que je trouve dans son ensemble malheureusement assez crédible, fait au départ penser à celui des « Dents de la Mer » : spoiler: convaincre que le requin existe, affronter les réticences des commerçants et du secteur du tourisme, affronter l’animal. Mais ensuite le film prend la parti de s’appuyer sur des problématiques plus modernes : tuer l’animal ou pas, poser la question de dérèglement climatique, passer su statut de héros au statut de paria en quelques heures, affronter le déni et le populisme, toute ces choses qui, pour le coup n’existaient pas dans les années 70 et qui semblent aujourd’hui bien plus dangereuses qu’un simple requin bouledogue.
Je comprends très bien cette volonté d’ancrer cette histoire dans le monde d’aujourd’hui, de faire de ce combat Homme/Requin le symbole d’un combat Homme/Nature même si j’ai bien conscience que s’éparpiller ainsi ne rend pas le long métrage très lisible. Reste que, malgré tous les bémols que l’on peut formuler sur le film, sur certaines scènes un peu lourdes, certains gags pas très drôles, certains personnages bien caricaturaux, « L’Année du Requin » n’est pas un mauvais film, en tous cas ce n’est pas un moment de cinéma que l’on regrette. On quitte peut-être la salle avec un sentiment ambivalent de film inachevé mais sans en garder clairement un mauvais souvenir. Ce n’est pas un très grand film, ni un chef d’œuvre de comédie noire, c’est un film parfois un peu maladroit dans sa forme mais malgré tout pertinent, et qui mérite sa place dans cet été cinématographique caniculaire.
Ce film est assez surprenant. Je m'attendais à une bonne grosse comédie estivale un peu lourde et je me suis retrouvé face à une comédie, hommage autant que parodie des Dents de la mer. Des séquences amusantes, voire franchement dôles, dont la plupart figurent dans la bande-annonce. Il y a un sous-texte important sur le départ à la retraite, ou du moins le changement de vie et de priorités, ainsi que des allusions appuyées au réchauffement climatique et au débat politique qui en découle.
Il s'agit donc là d'un film intéressant et plus intelligent qu'il n'y paraît. Dommage qu'il souffre d'un manque de rythme évident sur la longueur et que la narration en voix off vienne polluer le récit.
Il s'agit donc là d'un film intéressant et plus intelligent qu'il n'y paraît. Dommage qu'il souffre d'un manque de rythme évident sur la longueur et que la narration en voix off vienne polluer le récit.
Enfin un film qui ne se passe pas dans un appartement parisien...Ça change et ça fait du bien ! Une histoire différente dans un cadre différent, on aime ou on aime pas mais on peut saluer la prise de risques.
Daubasse sans nom, acteurs insipides aux visages paralysés. Humour absent et intrigue à pleurer. bref naze
Je n’étais pas très enthousiaste à l’idée de voir ce film. Vu l’affiche, je me suis dit que c’était la grosse comédie tache de l’été.
Eh bien… pas du tout. L’erreur de ce film, c’est son affiche qui laisse croire cela (enfin c’est l’impression qu’elle m’a faite). Par ailleurs, le casting laisse aussi espérer cela. Et je suppose que beaucoup sont allés voir ce film pour se poiler.
En fait c’est un drame avec quelques touches d’humour. On est très loin des dents de la mer, mais il est quand même à signaler un suspense final qui nous tient en haleine.
Finalement et contre toute attente, j’ai aimé.
Eh bien… pas du tout. L’erreur de ce film, c’est son affiche qui laisse croire cela (enfin c’est l’impression qu’elle m’a faite). Par ailleurs, le casting laisse aussi espérer cela. Et je suppose que beaucoup sont allés voir ce film pour se poiler.
En fait c’est un drame avec quelques touches d’humour. On est très loin des dents de la mer, mais il est quand même à signaler un suspense final qui nous tient en haleine.
Finalement et contre toute attente, j’ai aimé.
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