La soixantaine passé, Paul Hogan espère tant bien que mal redonner un second souffle à sa carrière cinématographique qui s’apparente plus à un encéphalogramme plat qu’autre chose (il en va de même avec Linda Kozlowski, comme quoi, même le succès du premier volet en 1986 ne leur aura pas apporté grand-chose). On retrouve donc Hogan, une fois de plus scénariste (comme il l’avait été sur le second volet en 1988) mais aussi producteur et toujours acteur principal aux côté de Kozlowski (qui rappelons le, ont tout de même 20 ans de différence et cela commence légèrement à se faire ressentir !!). Bref, après une escale à New-York et en Australie, on les retrouve pour la troisième et dernière fois à Los Angeles. Un troisième opus qui sent tout de même le roussi, plus de dix ans après leurs dernières aventures (mais quand il faut payer ses impôts, certains sont près à tout, quitte à transformer une franchise déjà bien ridicule en du grand n’importe quoi). C’est donc une énième suite sans grand intérêt que nous réalise là Simon Wincer (troisième réalisateur à se succéder depuis le début de la saga). On croise les doigts pour que Paul Hogan nous épargne un quatrième volet (ceci dit, à 70 ans, son personnage de chasseur de crocos serait réellement impensable et grotesque, mais Hollywood est capable de tout, du pire comme du meilleur).
L’aventurier australien le plus délirant est de retour dans ce troisième film. Cette fois-ci, Dundee part à Los Angeles, loin de sa chère nature. Crocodile Dundee à Los Angeles ne vaut pas du tout le premier film, mais reste un divertissement assez amusant. Paul Hogan est vraiment drôle (son air naïf est terrible) et certaines scènes valent vraiment le détour (notamment la scène avec l’animal sur l’autoroute). La grosse déception se situe vers la fin, où le scénario part en sucette. On ne reste donc pas longtemps captivé à l’histoire et les gags se perdent. Dommage, car ça aurait été bien de terminer la trilogie en beauté. Néanmoins, ce troisième épisode n’est pas du tout mauvais, juste moins bon que le premier.
Sans doute un peu dur j'ai tout de même eu plaisir à revoir Dundee... Mais ce n'est pas possible ! Scénario bidon, on sent tout de suite qu'il n' y avait aucune idée à part celle de faire une suite aux pognons faciles. Hogan caricature son personnage. Les gags sont plus superficiels et ça manque cruellement d'aventure ; c'est plutôt téléfilm disney pour jeunes enfants.
Beaucoup moins bon que les précédents crocodile dundee, celui-ci manque d'un bon scénario puisqu'on a l'impression d'un copié-collé. Bref, ce n'est pas le meilleur. http://tempslibre.forumr.net
Après le ratage du deuxième film, la question, ici, est de savoir comment les producteurs ont-ils pu laisser quenqu'un en faire un troisième ? Et qui plus est, une dizaine d'années après le second film ? VCroyaient-ils vraiment que le film marcherait au box-off' ? On trouve de ces nigauds, dans le monde du cinéma, franchement...
Du plaisir au compte goutte. Le film sent quand meme la suite commerciale à plein nez. Retrouvez Mike était une bonne idée, mais encore aurait il fallu tenter quelque chose. Ici, peu de surprises pour un film qui marche au ralenti. Encore une fois, de bonnes scènes à sauver, mais rien de mémorable. Le premier se suffisait à lui seul, le deuxième a la rigeur, mais cette conclusion ressemble davantage à un anniversaire qu'a un film à part entière.
Le plus célèbre des austalopithèques débarque à Los Angeles. Juste hisotire de tanner le cuir de quelques trafiquants infiltrés sur un plateau de cinéma et d'amadouer un lion. Poussif.
Le premier Crocodile Dundee est excellent, le deuxième encore bon, et là on a touché le fond ! Lamentable, une daube sans nom, il est temps que Paul Hogan arrête. Lorsque le cinéma s'efforce de faire des trilogies tout en sachant que ce n'est que pour faire du fric...
Quand on n'attend vraiment rien d'un film, on ne peut qu'être agréablement surpris! C'est le cas avec ce "Crocodile Dundee 3" qui permet de retrouver le vieux Paul Hogan dans le rôle de sa vie. Certes, le scénario est tout juste digne d'un téléfilm e tles gags sont parfois un peu gros mais le film réserve quelques bons dialogues ("ah ah, ça me vient tout seul ces conneries!") et quelques bonnes surprises (le caméo de Mike Tyson... zen) Un film plus dirigé vers les enfants que les 2 premiers opus !