Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Positif
par Bernard Génin
Primé à Sundance pour sa splendeur visuelle, Utama : la terre oubliée s’élève au-dessus du simple film de belles images [...]. Les personnages existent, le drame de leur incommunicabilité nous touche. Magnifique !
Culturopoing.com
par Jean-Michel Pignol
La beauté des images nous transporte dans une terre oubliée par les humains mais célébrée par un soleil dont les variations d’intensité révèlent toute la picturalité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Un drame du bout du monde, beau comme une cantate de Bach.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Grand prix au Festival de Sundance, ce premier film d’une grande beauté formelle et symbolique nous entraîne sur les hauts plateaux boliviens, où un couple âgé tente de résister aux effets du changement climatique et de la modernité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Premier film bolivien, « Utama » d'Alejandro Loayza Grisi nous conduit très loin, sur les hauts plateaux des Andes, et fait partie de ces projets entièrement dictés par la force du paysage. Un témoignage splendide de la fin d'un mode de vie.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Entre pudeur et pessimisme, l’essai frappe surtout par sa beauté visuelle.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Malgré son argument scénaristique a priori peu engageant, cette fiction bouleversante, qui sort sur les écrans quelques jours avant le début du Festival de Cannes, s’impose comme la révélation du printemps. À ne pas rater.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Voici
par La Rédaction
Un étonnant et très beau "survival" immobile.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Utama : La Terre oubliée ne raconte pas seulement la tragédie du réchauffement de la planète et de l’avancée des déserts. Il décrit avec brio les conflits intergénérationnels et interculturels au cœur d’une Bolivie au bord de l’asphyxie.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Distingué à Sundance, ce premier film bolivien ne manque pas d'attrait, mais pèche par son côté carte postale. Les majestueux paysages, aussi beaux soient-ils, ne suffisent pas à rattraper une intrigue convenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Émouvant récit de la fin d’un monde, ce premier film à la narration presque aussi sèche que le sol arpenté envoute avec ses somptueux paysages et sa rigueur formelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Clarisse Fabre
Utama renouvelle le genre dans une version écologique, le réchauffement climatique se chargeant de tuer à petit feu tout un écosystème. La visite du petit-fils, qui tente de convaincre ses grands-parents de rejoindre la ville, vient troubler cette vie résignée, de manière un peu prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Chèze
Alejandro Loayza Grisi signe un film à forte densité émotionnelle tout en pudeur et sobriété, par la place centrale laissé aux silences pour raconter la chute du monde qui a constitué toute la vie de cet homme alors qu’il va lui-même s’éteindre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
La narration n’est, malheureusement, pas à la hauteur de la mise en scène, avec un récit trop prévisible pour convaincre, des dialogues trop explicatifs et des personnages archétypaux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Le contexte climatique change la donne : c’est la terre ancestrale qui se fait elle-même inhospitalière. Si cette donnée environnementale confère au film une actualité et une nécessité, il est d’autant plus regrettable que le scénario s’en détourne pour activer des ressorts conventionnels.
Positif
Primé à Sundance pour sa splendeur visuelle, Utama : la terre oubliée s’élève au-dessus du simple film de belles images [...]. Les personnages existent, le drame de leur incommunicabilité nous touche. Magnifique !
Culturopoing.com
La beauté des images nous transporte dans une terre oubliée par les humains mais célébrée par un soleil dont les variations d’intensité révèlent toute la picturalité.
L'Obs
Un drame du bout du monde, beau comme une cantate de Bach.
La Croix
Grand prix au Festival de Sundance, ce premier film d’une grande beauté formelle et symbolique nous entraîne sur les hauts plateaux boliviens, où un couple âgé tente de résister aux effets du changement climatique et de la modernité.
Les Echos
Premier film bolivien, « Utama » d'Alejandro Loayza Grisi nous conduit très loin, sur les hauts plateaux des Andes, et fait partie de ces projets entièrement dictés par la force du paysage. Un témoignage splendide de la fin d'un mode de vie.
Les Fiches du Cinéma
Entre pudeur et pessimisme, l’essai frappe surtout par sa beauté visuelle.
Marianne
Malgré son argument scénaristique a priori peu engageant, cette fiction bouleversante, qui sort sur les écrans quelques jours avant le début du Festival de Cannes, s’impose comme la révélation du printemps. À ne pas rater.
Voici
Un étonnant et très beau "survival" immobile.
aVoir-aLire.com
Utama : La Terre oubliée ne raconte pas seulement la tragédie du réchauffement de la planète et de l’avancée des déserts. Il décrit avec brio les conflits intergénérationnels et interculturels au cœur d’une Bolivie au bord de l’asphyxie.
Le Figaro
Distingué à Sundance, ce premier film bolivien ne manque pas d'attrait, mais pèche par son côté carte postale. Les majestueux paysages, aussi beaux soient-ils, ne suffisent pas à rattraper une intrigue convenue.
Le Journal du Dimanche
Émouvant récit de la fin d’un monde, ce premier film à la narration presque aussi sèche que le sol arpenté envoute avec ses somptueux paysages et sa rigueur formelle.
Le Monde
Utama renouvelle le genre dans une version écologique, le réchauffement climatique se chargeant de tuer à petit feu tout un écosystème. La visite du petit-fils, qui tente de convaincre ses grands-parents de rejoindre la ville, vient troubler cette vie résignée, de manière un peu prévisible.
Première
Alejandro Loayza Grisi signe un film à forte densité émotionnelle tout en pudeur et sobriété, par la place centrale laissé aux silences pour raconter la chute du monde qui a constitué toute la vie de cet homme alors qu’il va lui-même s’éteindre.
Télérama
La narration n’est, malheureusement, pas à la hauteur de la mise en scène, avec un récit trop prévisible pour convaincre, des dialogues trop explicatifs et des personnages archétypaux.
Cahiers du Cinéma
Le contexte climatique change la donne : c’est la terre ancestrale qui se fait elle-même inhospitalière. Si cette donnée environnementale confère au film une actualité et une nécessité, il est d’autant plus regrettable que le scénario s’en détourne pour activer des ressorts conventionnels.