Mon compte
    Les Poings desserrés
    Note moyenne
    3,9
    20 titres de presse
    • Bande à part
    • Les Inrockuptibles
    • Marie Claire
    • Cahiers du Cinéma
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Les Echos
    • Libération
    • Positif
    • Sud Ouest
    • Transfuge
    • Télérama
    • aVoir-aLire.com
    • CinemaTeaser
    • La Croix
    • Le Journal du Dimanche
    • Les Fiches du Cinéma
    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    20 critiques presse

    Bande à part

    par Olivier Pélisson

    Nourri d’une tension de chaque instant, Les Poings desserrés obsède par sa force, et révèle une réalisatrice ultradouée : Kira Kovalenko.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Les Inrockuptibles

    par Gérard Lefort

    Dans Les Poings desserrés de Kira Kovalenko, le love stream nous emporte dès son premier gros plan : les yeux d’une jeune fille, singularisés par le col remonté de son pull qui masque la moitié du visage.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Portrait choc d'une jeune femme cernée d'hommes toxiques, le film de la prodige russe Kira Kovalenko dit la violence de la sortie de l'enfance, saisie au plus près des corps.

    Cahiers du Cinéma

    par Ariel Schweitzer

    En l’absence de toute approche psychologique, les rapports entre les membres de la famille transparaissent dans une mise en scène très physique et tendue, centrée sur les corps. De longs plans-séquences montrent les personnages enlacés jusqu’à former un magma de chair où l’individualité de chacun se fond.

    L'Humanité

    par Michèle Levieux

    Le film les Poings desserrés est, à l’image de ce Caucase aux cultures multiples, meurtri par les conflits et donne, à l’aide de la mise en scène maîtrisée de Kira et d’acteurs pour la plupart non professionnels, une existence à un cinéma qui jusqu’à présent n’en avait pas vraiment.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par Nicolas Schaller

    Fougueux et inspiré, le deuxième film de Kira Kovalenko colle à la soif de liberté d’une jeune femme (étourdissante Milana Aguzarova) qui assume la complexité de ses sentiments et fait sienne la phrase de Balzac : « La haine, comme l’amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va. »

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    Le Figaro

    par Olivier Delcroix

    Souhaitons simplement que cette vision porteuse d’espoir puisse inspirer par capillarité artistique une certaine forme de désescalade dans la réalité actuelle.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    Les Poings desserrés évoque également Au commencement, un premier long métrage, celui-ci glacial et terrifiant, de la Géorgienne Dea Kulumbegashvili. En un mot, des tempéraments féminins se lèvent à l'est.

    Les Echos

    par Olivier De Bruyn

    La réalisatrice russe Kira Kovalenko signe une fiction dérangeante sur une jeune femme aux prises avec sa famille liberticide qui impressionne par son scénario implacable et la virtuosité d'une mise en scène constamment inventive.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Libération

    par Camille Nevers

    Le film de Kira Kovalenko se tient donc vacillant au-dessus d’une faille sismique invisible, sous la ceinture, et comme son héroïne il est parcouru de secousses. On s’y tient debout, cramponné, on s’y jette à terre, possédé, la ligne est verticale ou horizontale, coupée ou couchée.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Positif

    par Baptiste Roux

    Filmant à hauteur d’homme (en l’occurrence de jeune femme) et caméra à l’épaule, la réalisatrice, par la radicalité de ses plans subjectifs, parvient à rendre familière cette topographie du spleen.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Kira Kovalenko filme Ada et les siens avec une sécheresse qui n’exclut jamais la douceur de l’amour. Tout ici est complexe, opaque, troublant.

    Transfuge

    par Corentin Destefanis Dupin

    Frontal, souvent étriqué, Les Poings desserrés vibre au diapason de son personnage féminin et, par un bel effet de mimétisme, prend le temps de la décantation, avant de révéler son potentiel dans une ultime envolée, où rigidité et naturalisme sont oubliés au pro!t d’une réjouissante fuite en avant, proche du cinéma expérimental.

    Télérama

    par Jacques Morice

    Ada est ballotée. Tous se la disputent, s’agitent autour d’elle, l’interpellent. On l’écoute peu, elle murmure des mots pourtant, qui sont comme des vœux ou des secrets. (...) Son énergie est si belle que la caméra, un moment, ne produit plus que des images tremblées, saccadées, comme si elle était un oiseau battant des ailes, avant l’envol.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Cette deuxième œuvre de cinéma énigmatique et dérangeante confirme l’émergence d’une immense réalisatrice russe tant elle maîtrise l’art des non-dits et de l’enfermement.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    CinemaTeaser

    par Constantin Lacombe

    "Les poings desserrés" se perd dans ses non-dits.

    La Croix

    par Céline Rouden

    Sur un sujet proche de celui de Tesnota, une vie à l’étroit réalisé par son compagnon, Kira Kovalenko se distingue par une œuvre plus libre, moins engoncée dans des effets de style grâce notamment au naturel et à la simplicité de son actrice principale, Milana Agouzarova.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    Le Journal du Dimanche

    par Alexis Campion

    Hanté par les ombres de l’inceste et de la guerre, le film captive au fil de situations âpres, mises en scène avec une maîtrise certaine et des acteurs très investis.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Les Fiches du Cinéma

    par Julie Loncin

    Un drame familial à l’atmosphère pesante, parfois trop appuyée, malgré une mise en scène brillante.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Première

    par Frédéric Foubert

    Le parti-pris du mutisme et de l’opacité manque parfois de se retourner contre le film, mais est transcendé par la maestria topographique de la réalisatrice, sa manière très puissante de décrire un petit bout de territoire comme une prison à ciel ouvert.

    La critique complète est disponible sur le site Première
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top