Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
Nourri d’une tension de chaque instant, Les Poings desserrés obsède par sa force, et révèle une réalisatrice ultradouée : Kira Kovalenko.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Inrockuptibles
par Gérard Lefort
Dans Les Poings desserrés de Kira Kovalenko, le love stream nous emporte dès son premier gros plan : les yeux d’une jeune fille, singularisés par le col remonté de son pull qui masque la moitié du visage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Portrait choc d'une jeune femme cernée d'hommes toxiques, le film de la prodige russe Kira Kovalenko dit la violence de la sortie de l'enfance, saisie au plus près des corps.
Cahiers du Cinéma
par Ariel Schweitzer
En l’absence de toute approche psychologique, les rapports entre les membres de la famille transparaissent dans une mise en scène très physique et tendue, centrée sur les corps. De longs plans-séquences montrent les personnages enlacés jusqu’à former un magma de chair où l’individualité de chacun se fond.
L'Humanité
par Michèle Levieux
Le film les Poings desserrés est, à l’image de ce Caucase aux cultures multiples, meurtri par les conflits et donne, à l’aide de la mise en scène maîtrisée de Kira et d’acteurs pour la plupart non professionnels, une existence à un cinéma qui jusqu’à présent n’en avait pas vraiment.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Fougueux et inspiré, le deuxième film de Kira Kovalenko colle à la soif de liberté d’une jeune femme (étourdissante Milana Aguzarova) qui assume la complexité de ses sentiments et fait sienne la phrase de Balzac : « La haine, comme l’amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va. »
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Souhaitons simplement que cette vision porteuse d’espoir puisse inspirer par capillarité artistique une certaine forme de désescalade dans la réalité actuelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Les Poings desserrés évoque également Au commencement, un premier long métrage, celui-ci glacial et terrifiant, de la Géorgienne Dea Kulumbegashvili. En un mot, des tempéraments féminins se lèvent à l'est.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
La réalisatrice russe Kira Kovalenko signe une fiction dérangeante sur une jeune femme aux prises avec sa famille liberticide qui impressionne par son scénario implacable et la virtuosité d'une mise en scène constamment inventive.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Camille Nevers
Le film de Kira Kovalenko se tient donc vacillant au-dessus d’une faille sismique invisible, sous la ceinture, et comme son héroïne il est parcouru de secousses. On s’y tient debout, cramponné, on s’y jette à terre, possédé, la ligne est verticale ou horizontale, coupée ou couchée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Baptiste Roux
Filmant à hauteur d’homme (en l’occurrence de jeune femme) et caméra à l’épaule, la réalisatrice, par la radicalité de ses plans subjectifs, parvient à rendre familière cette topographie du spleen.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Kira Kovalenko filme Ada et les siens avec une sécheresse qui n’exclut jamais la douceur de l’amour. Tout ici est complexe, opaque, troublant.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
Frontal, souvent étriqué, Les Poings desserrés vibre au diapason de son personnage féminin et, par un bel effet de mimétisme, prend le temps de la décantation, avant de révéler son potentiel dans une ultime envolée, où rigidité et naturalisme sont oubliés au pro!t d’une réjouissante fuite en avant, proche du cinéma expérimental.
Télérama
par Jacques Morice
Ada est ballotée. Tous se la disputent, s’agitent autour d’elle, l’interpellent. On l’écoute peu, elle murmure des mots pourtant, qui sont comme des vœux ou des secrets. (...) Son énergie est si belle que la caméra, un moment, ne produit plus que des images tremblées, saccadées, comme si elle était un oiseau battant des ailes, avant l’envol.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Cette deuxième œuvre de cinéma énigmatique et dérangeante confirme l’émergence d’une immense réalisatrice russe tant elle maîtrise l’art des non-dits et de l’enfermement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CinemaTeaser
par Constantin Lacombe
"Les poings desserrés" se perd dans ses non-dits.
La Croix
par Céline Rouden
Sur un sujet proche de celui de Tesnota, une vie à l’étroit réalisé par son compagnon, Kira Kovalenko se distingue par une œuvre plus libre, moins engoncée dans des effets de style grâce notamment au naturel et à la simplicité de son actrice principale, Milana Agouzarova.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Hanté par les ombres de l’inceste et de la guerre, le film captive au fil de situations âpres, mises en scène avec une maîtrise certaine et des acteurs très investis.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Julie Loncin
Un drame familial à l’atmosphère pesante, parfois trop appuyée, malgré une mise en scène brillante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Le parti-pris du mutisme et de l’opacité manque parfois de se retourner contre le film, mais est transcendé par la maestria topographique de la réalisatrice, sa manière très puissante de décrire un petit bout de territoire comme une prison à ciel ouvert.
La critique complète est disponible sur le site Première
Bande à part
Nourri d’une tension de chaque instant, Les Poings desserrés obsède par sa force, et révèle une réalisatrice ultradouée : Kira Kovalenko.
Les Inrockuptibles
Dans Les Poings desserrés de Kira Kovalenko, le love stream nous emporte dès son premier gros plan : les yeux d’une jeune fille, singularisés par le col remonté de son pull qui masque la moitié du visage.
Marie Claire
Portrait choc d'une jeune femme cernée d'hommes toxiques, le film de la prodige russe Kira Kovalenko dit la violence de la sortie de l'enfance, saisie au plus près des corps.
Cahiers du Cinéma
En l’absence de toute approche psychologique, les rapports entre les membres de la famille transparaissent dans une mise en scène très physique et tendue, centrée sur les corps. De longs plans-séquences montrent les personnages enlacés jusqu’à former un magma de chair où l’individualité de chacun se fond.
L'Humanité
Le film les Poings desserrés est, à l’image de ce Caucase aux cultures multiples, meurtri par les conflits et donne, à l’aide de la mise en scène maîtrisée de Kira et d’acteurs pour la plupart non professionnels, une existence à un cinéma qui jusqu’à présent n’en avait pas vraiment.
L'Obs
Fougueux et inspiré, le deuxième film de Kira Kovalenko colle à la soif de liberté d’une jeune femme (étourdissante Milana Aguzarova) qui assume la complexité de ses sentiments et fait sienne la phrase de Balzac : « La haine, comme l’amour, se nourrit des plus petites choses, tout lui va. »
Le Figaro
Souhaitons simplement que cette vision porteuse d’espoir puisse inspirer par capillarité artistique une certaine forme de désescalade dans la réalité actuelle.
Le Monde
Les Poings desserrés évoque également Au commencement, un premier long métrage, celui-ci glacial et terrifiant, de la Géorgienne Dea Kulumbegashvili. En un mot, des tempéraments féminins se lèvent à l'est.
Les Echos
La réalisatrice russe Kira Kovalenko signe une fiction dérangeante sur une jeune femme aux prises avec sa famille liberticide qui impressionne par son scénario implacable et la virtuosité d'une mise en scène constamment inventive.
Libération
Le film de Kira Kovalenko se tient donc vacillant au-dessus d’une faille sismique invisible, sous la ceinture, et comme son héroïne il est parcouru de secousses. On s’y tient debout, cramponné, on s’y jette à terre, possédé, la ligne est verticale ou horizontale, coupée ou couchée.
Positif
Filmant à hauteur d’homme (en l’occurrence de jeune femme) et caméra à l’épaule, la réalisatrice, par la radicalité de ses plans subjectifs, parvient à rendre familière cette topographie du spleen.
Sud Ouest
Kira Kovalenko filme Ada et les siens avec une sécheresse qui n’exclut jamais la douceur de l’amour. Tout ici est complexe, opaque, troublant.
Transfuge
Frontal, souvent étriqué, Les Poings desserrés vibre au diapason de son personnage féminin et, par un bel effet de mimétisme, prend le temps de la décantation, avant de révéler son potentiel dans une ultime envolée, où rigidité et naturalisme sont oubliés au pro!t d’une réjouissante fuite en avant, proche du cinéma expérimental.
Télérama
Ada est ballotée. Tous se la disputent, s’agitent autour d’elle, l’interpellent. On l’écoute peu, elle murmure des mots pourtant, qui sont comme des vœux ou des secrets. (...) Son énergie est si belle que la caméra, un moment, ne produit plus que des images tremblées, saccadées, comme si elle était un oiseau battant des ailes, avant l’envol.
aVoir-aLire.com
Cette deuxième œuvre de cinéma énigmatique et dérangeante confirme l’émergence d’une immense réalisatrice russe tant elle maîtrise l’art des non-dits et de l’enfermement.
CinemaTeaser
"Les poings desserrés" se perd dans ses non-dits.
La Croix
Sur un sujet proche de celui de Tesnota, une vie à l’étroit réalisé par son compagnon, Kira Kovalenko se distingue par une œuvre plus libre, moins engoncée dans des effets de style grâce notamment au naturel et à la simplicité de son actrice principale, Milana Agouzarova.
Le Journal du Dimanche
Hanté par les ombres de l’inceste et de la guerre, le film captive au fil de situations âpres, mises en scène avec une maîtrise certaine et des acteurs très investis.
Les Fiches du Cinéma
Un drame familial à l’atmosphère pesante, parfois trop appuyée, malgré une mise en scène brillante.
Première
Le parti-pris du mutisme et de l’opacité manque parfois de se retourner contre le film, mais est transcendé par la maestria topographique de la réalisatrice, sa manière très puissante de décrire un petit bout de territoire comme une prison à ciel ouvert.