Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Ouest France
par Thierry Chèze
Un beau film poétique et politique.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Ely Dagher signe un premier film remarquable de bout en bout, hélas revenu bredouille de la Quinzaine des Réalisateurs 2021.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Olivier Lamm
Beau film, fait de lourdeurs et de légèreté, dont on gardera longtemps son image finale, et son effet spécial bleu grisé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par François Forestier
La dramaturgie est mince, mais on est captivé, ne serait-ce que par la force de la mise en scène. Un film rare.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si certains plans s’étirent inutilement, le réalisateur exploite avec talent le triste décor en déployant une atmosphère pesante traduisant les sentiments d’un peuple qui peine à envisager l’avenir dans un pays depuis longtemps au bord du gouffre.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Beau et déstructuré, le film d’Ely Dagher trace un parallèle entre l’atonie de son héroïne et un Liban meurtri par la crise.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Denitza Bantcheva
Le choix de montrer la situation actuelle de la jeunesse libanaise par le biais d’un récit intimiste, presque dépourvu de commentaires explicites sur l’état des choses dans le pays, rend paradoxalement ce film plus éloquent qu’un discours sociopolitique insistant ne saurait l’être.
Première
par Thierry Chèze
Il y a du Antonioni dans la manière dont Dagher fait ressentir cette ville autant ravagée par les guerres à répétition que par la gestion défaillante de ses dirigeants. Un geste envoûtant et hélas prémonitoire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Tourné avant la dramatique explosion du 4 août 2020 à Beyrouth, devenue un symbole du basculement du Liban dans des temps encore plus difficiles, le film montre un indéniable don visionnaire. Il synthétise une inquiétude, un sentiment de perte des repères, de dérive, de menace.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Clarisse Fabre
Face à la mer cède aussi parfois à son esthétisme, sublimant la beauté de l’actrice dans un nombre incalculable de plans, au risque de figer son jeu.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ouest France
Un beau film poétique et politique.
Les Fiches du Cinéma
Ely Dagher signe un premier film remarquable de bout en bout, hélas revenu bredouille de la Quinzaine des Réalisateurs 2021.
Libération
Beau film, fait de lourdeurs et de légèreté, dont on gardera longtemps son image finale, et son effet spécial bleu grisé.
L'Obs
La dramaturgie est mince, mais on est captivé, ne serait-ce que par la force de la mise en scène. Un film rare.
Le Journal du Dimanche
Si certains plans s’étirent inutilement, le réalisateur exploite avec talent le triste décor en déployant une atmosphère pesante traduisant les sentiments d’un peuple qui peine à envisager l’avenir dans un pays depuis longtemps au bord du gouffre.
Les Inrockuptibles
Beau et déstructuré, le film d’Ely Dagher trace un parallèle entre l’atonie de son héroïne et un Liban meurtri par la crise.
Positif
Le choix de montrer la situation actuelle de la jeunesse libanaise par le biais d’un récit intimiste, presque dépourvu de commentaires explicites sur l’état des choses dans le pays, rend paradoxalement ce film plus éloquent qu’un discours sociopolitique insistant ne saurait l’être.
Première
Il y a du Antonioni dans la manière dont Dagher fait ressentir cette ville autant ravagée par les guerres à répétition que par la gestion défaillante de ses dirigeants. Un geste envoûtant et hélas prémonitoire.
Télérama
Tourné avant la dramatique explosion du 4 août 2020 à Beyrouth, devenue un symbole du basculement du Liban dans des temps encore plus difficiles, le film montre un indéniable don visionnaire. Il synthétise une inquiétude, un sentiment de perte des repères, de dérive, de menace.
Le Monde
Face à la mer cède aussi parfois à son esthétisme, sublimant la beauté de l’actrice dans un nombre incalculable de plans, au risque de figer son jeu.