Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Alex Lutz et Golshifteh Farahani sont aussi touchants que drôles dans le premier film de Thibault Segouin.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Une comédie romantique douce-amère pleine de poésie, de fantaisie, qui contourne les codes du genre.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Figaro
par La Rédaction
Un film joyeux, idéal dans cette période plutôt morose.
Marie Claire
par Juliette Hochberg
Délicieuse première réalisation de Thibault Segouin - qui porte dignement son titre et honore le genre - [...].
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Paris Match
par Yannick Vely
POUR - Charmant et entêtant.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Alex Lutz et Golshifteh Farahani forment un duo délicieusement barré.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Derrière le duo d’acteurs à l’alchimie inattendue, se dessinent de jolies réflexions sur la fuite pour s’épargner l’échec, la fratrie qui survit à tout et la paternité dans tous ses états.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On est sous le charme du joli couple formé par Golshifteh Farahani et Alex Lutz, qui mènent tambour battant cette drôle de valse des sentiments dans le quartier de Montmartre [...].
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Appliqué, touchant dans ses intentions, le premier long de T. Segouin peine toutefois à les traduire en gestes de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Camille Nevers
Dans une mise en scène naïve et assez fumiste, Thibault Segouin filme Alex Lutz en bobo montmartrois, menteur compulsif qui tente par tous les moyens de reconquérir son ex.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Alex Lutz et Golshifteh Farahani n’avaient jamais travaillé ensemble et cette première fait des étincelles. Dans les cris, les éclats de rire comme dans les larmes. Les ruptures de ton font partie de leur ADN et donnent au récit le charme fou de l’inattendu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
par La Rédaction
Le problème est que tout sonne faux dans cette histoire, à l’image du Montmartre de pacotille, fantasmé jusqu’au grotesque, qui lui sert de cadre…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Paris Match
par Fabrice Leclerc
CONTRE - Le film intrigue par son envie d'autre chose, mais tombe aussi rapidement dans la redite par manque de chair et d'enjeux dramatiques.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par C.C.
Une petite romance amusante.
Télérama
par Jérémie Couston
Le tout (ou le rien) est filmé dans un Montmartre de carte postale, aussi artificiel et fantasmé que celui d’une certaine Amélie P. Les ailes du moulin protègent peut-être les amoureux, mais ne préservent pas des poncifs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Hervé Aubron
S’il s’agit de moquer les codes de la comédie romantique, la parodie est de basse intensité, sinon subliminale, au point de se réduire finalement à un nouveau représentant standard du genre, qui remet au goût du jour L’Auberge espagnole, guigne le beurre d’une ironie toute théorique et l’argent du beurre hipster.
Le Monde
par Ma. Mt
Ecriture défaillante, mise en images normative, récit cousu de fil blanc, décor de carte postale (le Montmartre bobo), on peine à trouver ici de quoi se sustenter, hormis la fragile alchimie d’un duo d’interprètes desservis par leur partition.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Alex Lutz et Golshifteh Farahani sont aussi touchants que drôles dans le premier film de Thibault Segouin.
CNews
Une comédie romantique douce-amère pleine de poésie, de fantaisie, qui contourne les codes du genre.
Le Figaro
Un film joyeux, idéal dans cette période plutôt morose.
Marie Claire
Délicieuse première réalisation de Thibault Segouin - qui porte dignement son titre et honore le genre - [...].
Paris Match
POUR - Charmant et entêtant.
Télé 7 Jours
Alex Lutz et Golshifteh Farahani forment un duo délicieusement barré.
La Croix
Derrière le duo d’acteurs à l’alchimie inattendue, se dessinent de jolies réflexions sur la fuite pour s’épargner l’échec, la fratrie qui survit à tout et la paternité dans tous ses états.
Le Journal du Dimanche
On est sous le charme du joli couple formé par Golshifteh Farahani et Alex Lutz, qui mènent tambour battant cette drôle de valse des sentiments dans le quartier de Montmartre [...].
Les Fiches du Cinéma
Appliqué, touchant dans ses intentions, le premier long de T. Segouin peine toutefois à les traduire en gestes de cinéma.
Libération
Dans une mise en scène naïve et assez fumiste, Thibault Segouin filme Alex Lutz en bobo montmartrois, menteur compulsif qui tente par tous les moyens de reconquérir son ex.
Première
Alex Lutz et Golshifteh Farahani n’avaient jamais travaillé ensemble et cette première fait des étincelles. Dans les cris, les éclats de rire comme dans les larmes. Les ruptures de ton font partie de leur ADN et donnent au récit le charme fou de l’inattendu.
Le Parisien
Le problème est que tout sonne faux dans cette histoire, à l’image du Montmartre de pacotille, fantasmé jusqu’au grotesque, qui lui sert de cadre…
Paris Match
CONTRE - Le film intrigue par son envie d'autre chose, mais tombe aussi rapidement dans la redite par manque de chair et d'enjeux dramatiques.
Télé Loisirs
Une petite romance amusante.
Télérama
Le tout (ou le rien) est filmé dans un Montmartre de carte postale, aussi artificiel et fantasmé que celui d’une certaine Amélie P. Les ailes du moulin protègent peut-être les amoureux, mais ne préservent pas des poncifs.
Cahiers du Cinéma
S’il s’agit de moquer les codes de la comédie romantique, la parodie est de basse intensité, sinon subliminale, au point de se réduire finalement à un nouveau représentant standard du genre, qui remet au goût du jour L’Auberge espagnole, guigne le beurre d’une ironie toute théorique et l’argent du beurre hipster.
Le Monde
Ecriture défaillante, mise en images normative, récit cousu de fil blanc, décor de carte postale (le Montmartre bobo), on peine à trouver ici de quoi se sustenter, hormis la fragile alchimie d’un duo d’interprètes desservis par leur partition.