Ultime volet d’une trilogie culte des années 80, cette dernière aventure est géniale aussi car on voyage enfin dans une grande époque américaine, le Far West.
Comme pour le 2, nous commençons le 3 par la fin direct du 2, on n’est donc pas perdu dans le déroulement. On enchaîne. Et on est quasi mis dans le bain car le décollage pour le passé ne se fait pas n’importante ou. Oui, il se fait en plein milieu de Monument Valley, le plus connue des déserts West américain, grandiose de beauté naturelle et immense. Une rencontre un peu violente avec les bons vieux indiens d’Amérique, dommage que le film n’offre aucune scène avec eux, çà aurait mis du piment dans le contenu.
Là, on n’est plus dans le quotidien des vieilles villes avec leur unique rue marchandes avec Saloon et commissariat du Shérif.
Un ennemi qui ne change pas et qui encore une fois est d’une lourdeur à vouloir s’en débarrasser en 3 secondes.
Détail marquant du volet, la retrouvaille entre Martin et Doc, aucune surprise, Doc savait parfaitement qu’il devait arriver. Comme je le disais, gros bémol du film, aucune grande scène de combat entre cow-boys et indiens, pourtant c’est l’essence même du Western.
Mais y a un peu de longueurs dans le quotidien de la cité, des longueurs vite rattrapées en fin de film. L’apparition de Clara met du piment car çà engendre un grand bouleversement des plans de nos héros. Mais pas tant que ça. La première scène finale, celle du train avant le retour dans le futur, est particulièrement efficace car elle nous stress de A à Z. J’ai pas arrêté de pensé personnellement que Clara allait tous gâcher, mais non car les extraits que j’avais vu en fin du 2 montraient McFly avec sa copine en fin de film.
Donc voilà, on sait ce qu’il va se passer, ou presque, mais on stress quand même. Et 2ème et dernière grande scène, bien sûr,
l’arrivée du Doc sur les rails là ou McFly fut revenue quelques minutes avant, un énorme train presque futuriste avec une technologie que j’ai presque adoré. Son design était cette fois-ci quasi parfait. Effets numérique après, Ba de l’époque, respectable. Et ultime scène, celle des retrouvailles enfin entre notre héros et sa chérie, tous mimi.
Une grande et belle trilogie de Science-fiction que je ne regrette vraiment pas d’avoir enregistré et vu, un vrai régal. Et ça fait presque bizarre de voir la dernière seconde et de ne pas voir les mots : « A suivre ».