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Dead-for-Someone
45 abonnés
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1,5
Publiée le 2 juillet 2018
Vraiment mauvais, pas du tout crédible et franchement ridicule mais au moins on rigole bien et c'est déjà ça. Sam Gillen a planifié son évasion de prison avec son frère pendant son transfert. Ils parviennent à s'échapper mais le frère de Sam succombe à ses blessures. Sam finit par rencontrer Clydie, une veuve qui vit seule avec ses deux enfants et qui subit les harcèlements d'un promoteur qui veut lui acheter ses terres. Sam décide de rester pour l'aider... La réalisation est très plate: le cadrage n'est pas toujours réussi, les prises de vues sont très faibles, la mise en scène n'est pas crédible, les mouvements faibles et la profondeur de champ rarement appréciable. Le scénario est très mauvais: on a droit aux pires clichés de méchants (le promoteur véreux, la police corrompue); l'histoire est complètement foireuse, c'est plein de clichés et d'incohérences. Il y a énormément de scènes inutiles, les passages d'action censés être pleins d’adrénaline sont très soporifiques et les passages supposés être émouvants ou touchants sont ridicules. Les acteurs ne sont pas crédibles, mais la faute semble venir plus d'une mauvaise direction que des interprètes eux-mêmes. Les personnages ne sont pas intéressants, et certains sont insupportables, en particulier Mookie que je rêve de voir découper à la machette. Les dialogues sont très mauvais. La photographie est très banale, la lumière n'est pas très belle et les couleurs pas géniales. Ce n'est pas horrible mais pas très beau. Le montage de Mark Helfrich (Predator, Showgirls, X-Men l'affrontement final, My Movie Project) et de Zack Staenberg (Lord of War) n'est pas génial mais a quelques morceaux de bravoure. Les décors sont réussis et les naturels très jolis, les costumes pas trop mauvais et la musique est quasiment anecdotique. "Cavale sans issue" est un vrai mauvais film, mais amusant.
Comme un air de téléfilm avec ce Cavale Sans Issue qui n’est pas du meilleur cru JCVD. Robert Harmon tente d’offrir à la star du film d’action de l’époque un rôle un peu plus profond qu’à l’accoutumée mais ça fait un peu pschit, Van Damme paraissant très emprunté dans ce registre. Le scénario est extrêmement classique et le peu de combats n’aide pas à rester concentré devant ce métrage très mineur malgré les présences intéressantes de la jolie Rosanna Arquette et du frangin Culkin.
Un des meilleures Vandamme en termes d'acting où il propose un jeux plus sobre qu'à l'accoutumée, de plus entouré d'acteurs convaincants. Le scénario en lui-même est simplet et bourré de bons sentiments, mais la mise en scène sans temps mort permet d'en faire abstraction. Un must des années 90 pour l'acteur.
Le film vaut plus d'étoiles que les autres critiques en donnent. L'effet Jean Claude Van Damn fait baisser la note. Mais c'est un film standard de la Columbia Pictures. Il y a Rosana Arquette, une histoire récurrente certes avec des méchants et des gentiles. C'est un film entre méchants entrepreneurs et des gentilles et pauvres agriculteurs qui doivent obligatoirement vendre leurs terres.
Avec ce film Jean-Claude Van Damme voulait un peu s'éloigner de ses rôles habituels. Le pari est réussi. Il incarne un prisonnier évadé qui trouve refuge chez une jeune veuve et ses enfants. Ceux-ci sont harcelés par un promoteur qui veut leur racheter leur ferme. La relation entre JCVD et le fils est bien filmée. Le film offre quand même quelques bonnes scènes d'action. Un film grand public assez peu violent.
Souvent oublié des fans lorsqu'il s'agit d'aborder la carrière de JCVD, "Nowhere To Run" est pourtant un film très honorable dans sa carrière. D'autant plus que, contrairement à un "Chasse à l'Homme", souvent encensé mais presque insupportable aujourd'hui, "Cavale Sans Issue" a très bien vieilli. La faute à un scénario basé sur le gimmick scénaristique intemporel du fugitif qui se lie d'affection pour un enfant et sa maman (personnellement, j'ai adoré plusieurs films basés sur un pitch semblable!). Ce n'est certes pas original du tout, mais se revoie avec grand plaisir, ce qui démontre une belle qualité d'exécution de l'ensemble. Une facilité surprenante à faire adhérer le spectateur à une intrigue pourtant vue et revue qui doit beaucoup à un couple d'acteurs improbable mais terriblement réjouissant!
Quand Van Damme veut ratisser un public plus large, il se plante! Avec ce "Cavale sans issue", il se bat nettement moins et contre des méchants qui n'ont jamais foutu les pieds dans une salle de gym (Ted Levine pourtant flippant en Buffalo Bill du "Silence des Agneaux"). En voulant se la jouer méchant, Van Damme perd en crédibilité mais surtout c'est le manque d'efficacité de la mise en scène qui est préjudiciable. Reste quelques bonnes choses (l'homme providentiel qui vient au secours d'une famille, un classique qui marche toujours, le role de Kieran Culkin...)
Entre deux films d’action saupoudrés de coups de pied bien placés, Van Damme change de registre pour s’attaquer au drame dans le méconnu Cavale sans issue où il incarne Sam Gillen, un détenu pour braquage qui se fait évader par son ancien coéquipier avant que ce dernier ne succombe à ses blessures à cause de la police. D’abord fugitif, il est ensuite hébergé dans la propriété d’une jeune femme interprétée par Rosanna Arquette (Le grand bleu) et ses deux enfants, le fils dégourdi étant joué par le jeune Kieran Culkin (Maman j’ai raté l’avion, Scott Pilgirm). Le film vire plusieurs fois à l’action avec l’ambition d’un homme d’affaire véreux qui cherche à faire fuir Clydie pour reconstruire tout le terrain. Aidé d’un shérif qui en pince pour elle sans trop savoir vers quel camp se tourner et surtout d’un bras droit sachant manier les cartes incarné par Ted Levine (Le silence des agneaux, Heat, Flubber), il va donner à Sam une bonne raison de rester pour se racheter du passé.
Le film offre un scénario plus recherché que d’habitude et l’émotion s’installe peu à peu, Van Damme faisant parfois preuve d’un jeu d’acteur touchant avec son personnage plus sensible qu’à l’accoutumée. Le film respire également le kitsch des années 1980 avec quelques plans exagérés (le saut sur la moto tandis qu’il se fait poursuivre par une horde de policiers) et surtout une VF assez comique parfois accompagnée d’un langage grossier (morpion) et d’un certain humour (t’es qui toi ? le gardien du parking, vous importunez mes clients monsieur), qui donnent un certain cachet à l’ensemble. Du bon Van Damme avec de bonnes scènes d’action qui ont du sens !
Pas le meilleur JCV mais est loin des nulité dont il a le secret. Ici l'histoire tient la route même si certains raccourci sont pris. On suit sans s'ennuyer ce film d'action.
ils ont essayé de faire passer le trés physique Jean Claude d'un registre action a un registre dramatique! et pour le coup ce fut un vrai drame ....Pour les fans! mal dirigé Jean Claude n'est pas a l'aise et ça se voit! il a le grand écart facial qui le démange! l'histoire n'est pas plus intéressante que ça et les rebondissements ne rebondissent que trop peu! l'émotion, la petite larmichette qu'on est en droit d'attendre dans un drame: niet! reste les ballades de Jean Claude en foret trop classe sur sa moto! sinon pas grand chose! a tel point que l'actrice principale c'est vengée en disant du mal dans la presse de notre grand ami belge et ça c'est pas friendly!
Cavale sans issue n'est pas un grand film. L'intrigue est faible, prévisible et le scénario tient sur un ticket de métro. Le script est ridiculement mauvais par moments (en particulier la relation un peu gnangnan entre Van Damme et le jeune garçon "Mookie"). JCVD ne montre pas tant que ça ses compétences en arts martiaux et il n'est pas très expressif dans son rôle de protecteur. Néanmoins, ce film est l'un des moins mauvais de sa carrière et il se laisse voir sans problèmes.
Jean Claude revient avec ses muscles pour contrer toutes les superproductions de l'année 93 du patron Stallone que sont Demolition Man,Cliffhanger et j'en passe.Mais cette fois-ci Jcvd n'aura pas d'occasion de sortir son celebre mawashigeri coup de pied circulaire dans l'air car Robert Harmon auteur du culte Hitcher lui a reservé un traitement qui n'a strictement rien à voir avec ses précedents film.Partant d'un scénario et d'une ambiance déja vue des centaine des fois,cavale sans issue raconte l'histoire d'un évadé qui va décider d'aider d'une famille.Tous les trucs auxquels on s'attendait arrivent,JCVD arrange tout et se tape la donzelle qui pourtant dans la précédente scéne pleurait sur le sort de son defunt mari.Bref Cavale sans issue ne casse pas 3 pattes à un canard mais le savoir faire de Robert Harmon rend le tout un peu plus interessant.Cependant les allergiques de JCVD crieront tout de suite à la daube dés sa premiere réplique:Vole la tire,je tire!JCVD non content de pouvoir placer son coup de pied joue la paralysie du visage alors qu'il est capable de mieux.
«Cavale sans issue» occupe une place vraiment à part au sein de la filmographie de Jean-Claude Van Damme. En effet, dans ce film notre ami belge est pris à contre emploi ! Incroyable ! Robert Harmon a décidé de faire jouer JCVD dans un rôle dramatique ! Il faut le voir pour y croire ! Il joue un prisonnier évadé qui va se prendre d'affection pour une mère et ses deux gosses et va les aider afin de leur éviter l'expropriation. Dans un rôle qui demande un peu plus de subtilité, Van Damme ne s'en sort pas si mal que ça, il est bien dirigé et arrive même à se faire émouvant. Mais il n'est pas complètement à l'aise et ça se voit. Il n'a pas l'occasion de balancer quelques coups de tatanes et ça lui manque. Mais son problème reste le même: il est très inexpressif. Dans ce film, on pourrait le croire frappé d'une paralysie du visage tant son faciès n'évolue jamais. Il y a très peu d'action, très peu de combats. Mais les quelques scènes de castagnes et d'action (la course poursuite à moto) sont relativement bien troussées. Objectivement parlant, «Cavale sans issue» n'est pas une réussite mais s'il y a un film avec Van Damme à voir, c'est celui là.
De tous les Van Damme "Grande époque", j'entends par là 1987/1994, celui-ci fait partie de ceux qui ont le moins mal vieillis. Cette cavale sans issue, bien que banale et fortement rejetée à l'époque de sa sortie (Un Van Damme sans arts martiaux étant alors assez inédit) s'en tire aujourd'hui avec les honneurs et a premise à JCVD de montrer d'autres facettes, même s'il était encore moyennement convaincant dans le "dramatique". Il reste un western moderne comme l'Amérique en fait tant, bien mis en scène, aux cascades peu nombreuses mais réjouissantes et au casting fort sympathique. Un film tout à fait honnête même si les eternels "Anti Van Damme" trouveront forcément à redire...