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    La Planète des singes
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    624 critiques spectateurs

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    NeoLain
    NeoLain

    4 954 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 juin 2013
    Tim Burton et ses mondes macabres, Tim Burton et son goût pour l'absurde, la poésie sombre et la démence caractérisée... Un tempérament pas forcément fusionnel avec le concept de La Planète des singes. Lui-même convaincu qu'il lui faut réfréner ses ardeurs pour illustrer la fable simiesque sans la trahir, le cinéaste verse du Coca-Cola dans son nectar habituel. c'est à la fois la force et la faiblesse du film. Tim Burton n'en demeure pas moins un cinéaste efficace quand il s'agit de dresser le tableau, en quelques scènes, d'une société primate aux travers finalement très humains. Un monde imaginaire graphiquement très différent de celui de 1968 avec Charlton Heston. Pas question de plagier le moindre accessoire. Tout a été réinventé de A à Z : les maquillages, les armes, les armures, les habitations... Une fin pied de nez à de quoi, sur un strict plan spatio-temporel, rendre perplexe. Un astronaute égaré et la belle chimpanzé humaniste. Un jolie embryon d'histoire d'amour que Tim Burton, soupçonné de faire l'apologie de la zoophilie par les cadres de la Fox, n'a pu développer à sa guise. Regrettable, à l'instar de quelques morceaux de bravoure tantôt génial et tantôt un peu décevant question spectacle, ou d'un Mark Wahlberg légèrement insipide et Estella Warren qui à pas une position extraordinaire dans le film, bien que tout de même au moins sur cette terre ou les singes règne en maitre, elle donne le désir de dire, limite cela devient plus La planète des singes mais plutôt La planète des seins et j'aime le tout. Ensuite point très positif, de Tim Roth en général hargneux à Helena Bonham Carter, presque désirable sous les couches de latex, avec tous des expressions magnifique. Avec ses faux airs de péplum, La Planète des singes ne constitue peut-être pas une totale réussite, à l'image de la version de 1968. C'est un vrai bon film de divertissement, ce qui n'est pas mal en soir.
    Ti Nou
    Ti Nou

    492 abonnés 3 491 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 juillet 2010
    Un hybride étrange entre de la science-fiction (réflexion sur l'humanité) et une quête initiatique plus proche de la fantaisie. Le propos de Pierre Boulle est dilué dans une bouillie hollywoodienne indigeste et Tim Burton peine à donner du souffle et de l'ampleur à ses scènes d'action. Le casting est pourtant superbe et les maquillages très réussis laissent les acteurs s'exprimer.
    Maqroll
    Maqroll

    157 abonnés 1 123 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 3 février 2010
    Quand Tim Burton s'attaque à une oeuvre quelconque, il en fait aussitôt du Tim Burton, c'est-à-dire qu'il réduit tout au crible de sa petite imagination étriquée et de son monde pseudo fantastique. Derrière cette façade attractive et colorée, se cache en fait un profond aigri, pourfendeur gratuit de l'humanité qu'il voue (ou feint de vouer) aux pires gémonies... On voit donc pourquoi le thème de La Planète des singes l'a intéressé : au prix d'une subversion subtile (mais honteuse) du roman de Pierre Boulle (et de sa réduction tout aussi honteuse), il nous fait passer le message unique et simpliste que les humains sont pires que des singes ! Au niveau de la forme, ce remake du film de 1967 de Franklin Schaffner est totalement ridicule. Le scénario est creux, les maquillages des singes grossiers, la psychologie des personnages n'est à aucun moment crédible, l'histoire ne tient pas debout et la fin est stupide... Passez votre chemin !
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 février 2012
    malheureusement, le debut de la fin pour tim burton!!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 22 mars 2008
    Surement, l'un des pires Burton, apres les geniaux Edward ou Mars Attack, voici le decevant Planete des Singes, 2 etoiles pour Helena Bonham-Cartes et l'une pour Mark Whalberg. C'est tout ou sinon le reste est d'une rarete dans le navet.
    David V
    David V

    6 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 avril 2014
    Comment faire moins bien 28 après l’orignal avec des moyens financiers et techniques incomparables. Incroyable que Tim Burton se soit lancé dans cette "saga". De plus les décors sont cartons pâtes pas du tout imaginatif... Film sans intérêt.
    Alexis D.
    Alexis D.

    105 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2021
    Tim Burton a longtemps été réticent à l'idée de revisiter un tel classique de la science-fiction. Il considérait (et considère toujours) la pratique comme une hérésie. Mais sa version de "La Planète des Singes" n'a rien à voir avec la version de Schaffner en 1968. Elle part bien évidemment de l'illustre idée de base de Pierre Boule, l'auteur du film qui a inspiré la saga au grand écran : un astronaute échoue sur une planète inconnue où les singes, doués de raison et de la parole, dominent les êtres humains réduits à l'esclavage. Mais les similitudes s'arrêtent là : une toute nouvelle histoire, des nouveaux personnages et surtout une nouvelle fin, tel est le pari du film. La séquence d'ouverture se situe spoiler: en 2029, sur une station orbitale, l'Oberon. De nombreuses études scientifiques sont menées par une équipe de chercheurs pour établir la capacité qu'ont les singes de piloter des capsules spatiales. A cet effet, les primates sont génétiquement modifiés et pris en charge par des pilotes expérimentés. Le capitaine Leo Davidson est chargé d'encadrer le chimpanzé Périclès, malgré ses réserves quant au réel intérêt des recherches. Son animal est cependant désigné pour aller étudier des tempêtes électromagnétiques en capsule. Malgré la préparation et toutes les précautions prises, le chimpanzé se perd dans les orages et disparaît des écrans de contrôle. Bien décidé à prouver à ses supérieurs qu'un vrai pilote était bien plus qualifié pour cette tâche, Leo Davidson part à la recherche du singe. Mais il est également aspiré par plusieurs vagues d'orages et perd le contrôle de son vaisseau. Il finit par s'écraser sur une planète inconnue voisine, dans une épaisse forêt. Il se retrouve très vite au milieu d'une vraie chasse à l'homme où un groupe d'humains en haillons est poursuivi par une horde de primates, vêtus d'armures et munis d'armes en tous genres. Finalement mis en cage avec ses congénères, Leo Davidson découvre qu'il a atterri dans un monde où les singes, doués de la parole, dominent les hommes devenus leurs esclaves
    ... On ne peut s'empêcher d'apprécier les personnages, comme Leo Davidson, le héros du film. Celui-ci se distancie vite des autres par son esprit rebelle : il refuse sa situation de pantin, qui réduit son ego (et aussi sa fierté). Voilà pourquoi, lorsque son singe Périclès (les noms des personnages ne sont pas innocents) se perd dans l'orage électromagnétique, il n'hésite pas à partir à son secours, bien que ses supérieurs le lui aient interdit formellement. Par amour pour son singe ? Peut-être. Pour prouver sa bravoure et ses capacités à ses supérieurs ? Sans doute. Ses motivations sont floues et le seront jusqu'à la fin du film, mails il fait un héros charismatique et assez attentionné. Son arrivée sur cette nouvelle planète, après s'être perdu à son tour dans les tempêtes électromagnétiques, va signifier pour lui comme une nouvelle naissance; son vaisseau ressemble à un œuf dont il s'extirpe, il s'extrait ensuite de l'eau (le liquide amniotique), enfin, il se défait de sa veste telle une mue. Mais sa transformation n'a pas déjà eu lieu pour autant (il en faudrait plus pour le déstabiliser). La planète des singes est conforme à celle imaginée par Pierre Boule. A l'instar de notre monde, cette planète est cosmopolite et complexe : divisée en deux races, les humains et les singes, eux-mêmes scindés en différents groupes ethniques et sociaux. Politiquement instable, elle permet au groupe minoritaire, les singes, de vivre dans la richesse, laissant aux humains le choix entre la vie sauvage ou l'esclavage. La religion et les mythes y tiennent un rôle important : les humains se languissent de leur messie qui viendra les délivrer (et qu'ils voient en Leo) et les singes ont basé leur civilisation autour de Semos, le premier des singes selon la fable. Toute innovation intellectuelle est considérée comme un danger et celui qui l'emporte est celui qui crie le plus fort ou qui emploie la force avec le plus de violence. Dans cette société, on trouve : un chimpanzé tyran, Thade, assoiffé de gloire et de pouvoir, une guenon humaniste, Ari, à l'esprit rebelle (mais bien différent de Leo : elle se révolte pour son prochain, là où Leo se révolte pour lui-même), une jeune femme fougueuse, Daena, ou encore un orang-outang, Limbo, dont les seules questions sont d'ordre financier, etc... Leo découvre finalement qu'il est le créateur de son cauchemar. Si cette planète et ce monde existe, c'est par sa faute : spoiler: son équipage s'est à son tour engouffré dans les orages pour tenter de le sauver, après avoir perdu sa trace. Arrivée des centaines d'années plus tôt que leur pilote dans cet environnement hostile, l'équipe a, peu à peu, perdu sa suprématie sur les singes, génétiquement modifiés, qui se sont établis comme nouveaux maîtres
    … Pour la première fois du film, Leo est pensif. Il semble enfin comprendre que ses actes ont une portée : il est l'unique cause de sa perte. A ses côtés, Ari lui souffle alors ces mots : "nous sommes vivants grâce à toi". Une réplique digne de Daniel Waters (scénariste de "Batman le défi") et qui va résonner dans la tête de Leo. Thade enfermé dans sa cage (symbole d'une violence que l'on croit sous contrôle, voire révolue, raison pour laquelle le jeu de Tim Roth est si peu nuancé : Thade, c'est la violence brute et sanglante qui se tapit en chacun de nous et que l'on arrive à refouler, du moins relativement), Leo pense avoir mené à bien son intervention sur cette planète qui lui a appris à aimer (ses sourires et la tendresse destinés à Ari) et se décide donc à retourner auprès de sa patrie, y retrouver la chaleur de son foyer et ses points de repères. Mais, à son retour, c'est une autre Amérique qui accueille Leo… Il s'agit bien de la même planète Terre, identique à celle qu'il a connu et que nous connaissons. Rien n'a changé. Sauf Leo lui-même : son humanisation lui a ouvert les yeux. Il peut désormais voir à l'intérieur de ses compatriotes et les découvre tels qu'ils sont : des animaux, des descendants de Thade, Thade justement, qui remplace Lincoln, emblème national du "Grand Homme" aux Etats-Unis pour nous montrer la face intrinsèquement barbare de l'Amérique (et de l'Occident aussi). Leo a beau ne plus comprendre ce monde qui l'entoure, il devra vivre avec. Comme nous tous. Une fin vraiment marquante donc, pour ce film de science-fiction qui est un divertissement intelligent et remarquablement efficace, réalisé d'une main de maître par le grand génie Tim Burton, avec un casting en or (Tim Roth, Helena Bonham Carter et Mark Wahlberg en tête)
    Valerie M
    Valerie M

    35 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 juin 2013
    Complètement débile... Même le faciès de certains singes est ridicule...
    Bref, une offense au chef d oeuvre de Schaffner!
    Chuck Carrey
    Chuck Carrey

    311 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 septembre 2014
    « La planète des singes » est une saga commencée en 1968 et qui, jusqu'en 2000, était composée de 4 films. En 2001, les studios ont l'idée de revenir sur la planète des singes en commandant un remake du premier film de 1968. A priori, ce n'était pas une mauvaise idée, le film original avait beaucoup vieillis mais l'histoire restait intéressante et méritait que les nouvelles générations la connaissent. Le problème est que ce remake créé sa propre histoire qui n'a au final que peu de similitudes avec celle du roman (car à l'origine, « La planète des singes » est un roman écrit par Pierre Boulle). Ce remake prend de grandes libertés, certaines de ces libertés étaient plutôt inspirées, d'autres non. Ce qui avait fait la force du premier film, c'était son aspect dénonciateur. C'est un film très intelligent qui pousse le spectateur à se remettre en question sur ses agissements et sur ceux de l'Homme en générale. Le remake quant à lui, abandonne une partie de cette caractéristique pour se concentrer sur le divertissement. Évidemment, le premier film n'avait pas le même budget que celui de Tim Burton et ça se voit aisément. Le film de Burton a de meilleurs costumes, meilleurs maquillages, meilleurs effets spéciaux et un casting talentueux, on ne peut pas lui retirer cela. Mais cette façon de se concentrer sur le divertissement empêche le film d'être plus qu'un simple film de science-fiction avec de l'action. Pourtant, le début du film est réussi. Il est proche du film de 1968 et apporte lui aussi sa critique de l'humanité. Cependant, le film se lance ensuite dans des péripéties et une histoire qui perdent beaucoup de ce côté dénonciateur et qui sont simplement moins intéressantes. De plus, dans ce remake, les singes ne font pas assez « humain » et les hommes font trop « humain ». Néanmoins, le film a des qualités comme celles déjà citées et une bonne BO de Danny Elfman ainsi que le personnage de Tim Roth (le général Thade) assez intimidant. « La planète des singes » version Tim Burton n'est donc pas celle à privilégier. Pour voir u film de SF intelligent, mieux vaut se retourner vers la premier film de 1968.
    Superherautre
    Superherautre

    23 abonnés 349 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2014
    Après l'excellent film : La planète des singes et ces suites complétement merdique qui ridiculisera malheureusement la franchise, on a eu le droit a un remake réaliser par le grand Tim Burton. Personnellement j'ai vue ce remake avant l'originale, ce qui m'a permis de pouvoir juger ce film a sa juste valeurs et je l'ai trouvé plutôt bon malgré de nombreux point négatif. Déjà, les décors sont beau mais loin d'être exceptionnelle et pareille pour les costumes, mais le point le plus négatif et la fin, nettement moins efficace que dans le premier mais aussi beaucoup moins compréhensible (j'ai dut mis reprendre a plusieurs fois et lire des explications avant de comprendre.) Bref, loin d'être le meilleur film de Burton mais ça reste un excellent film d'aventure, de SF et même un bon remake de La planète des singes.
    Gigli
    Gigli

    32 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mars 2009
    Incroyablement faible au niveau du message et de l'action, La Planète des singes de Tim Burton est à l'image de beaucoup de remake (bien qu'il se défende d'en être un) : un film indigne et inutile qui n'a comme seul mérite que celui de nous donner la nostalgie de l'original. Docteur Zaius, Zira et Cornelius, George Taylor et Nova... Ça c'était des personnages qui avaient de l'épaisseur et induisaient de bonnes réflexions sur l'humanité, la guerre froide, la religion. Mais au lieu de ça, faite place pour Mister "génocider des singes c'est cool" Wahlberg, et le chimpanzé démoniaque Tim Roth qui arrive quand même à cabotiner en dépit des quatre kilos de latex qu'il a sur la tronche et n'oubliez pas euh... "Machine" la chimpanzé militante des droits de l'homme et terriblement attiré par les humains en dépit de sa nature de singe. Ce film se paye le luxe d'être zoophile en plus ? Mark Wahlberg vient vraiment d'embrasser une guenon ?!? la "planète de 2001" est une nazerie sans bornes. Outre le fait de nous présenter un Mark Whalberg "plus Américain t'es Georges W Bush", une Estella Warren totalement inexpressive, des personnages singes complètement faire-valoir et inutiles, tout ce qui faisait l'intérêt d'un film pareil sur le racisme et la xénophobie est complètement passé à la trappe avec cette intrigue qui ressemble a une mauvaise histoire du journal de Mickey. Les humains qui parlent, ben alors c'est pas des animaux ! Et cette attaque de camp de gorilles mon Dieu quelle connerie : "Les gars, j'ai une idée, on s'est enfuis en toute discrétion de la ville des singes alors on va attaquer de front un camp plein de soldats histoire de filer un coup de pouce au scénario" Et que dire de la dernière minute à Washington ! Quelle infamie, voilà peut-être le film qui aurait valu le coup d'œil et les 100 millions de dollars investis, au lieu de nous servir la débile randonnée d'une bande de primates et de singes tellement transparents qu'on voit au travers.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 14 septembre 2010
    Ah mon gout le plus mauvais film de Tim Burton, l'histoire est raté on n'accroche pas et on s'ennuie
    Bearnais64
    Bearnais64

    38 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2010
    Ce remake de la planète des singes de Tim Burton est plutôt pas mal même si il manque pas mal d'élément important du livre, cela reste un bon film
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 août 2014
    Excellent film! Je n'aime pas le travail de Burton mais la rien a dire! Tout simplement excellent!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2017
    Un remake qui n'avait pas forcément besoin d'être réalisé mais qui reste convaincant par sa réalisation , ses maquillages et par une prestations propre des acteurs. On aurait juste aimé un peu plus de peps , de folie de la part d'un réalisateur comme Tim Burton.
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