Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Sur la défaite de la chair et le triomphe de la parole, sur la force du silence et l'ironie des apparences, Le Pornographe est l'un des plus beaux films qui soient.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Fluctuat.net
par Laurence Reymond
Film magnifique, mélodieux et inspiré, il ne cesse d'étonner par sa maîtrise et sa liberté et donne sérieusement envie de se pencher de plus près sur le cas Bonello, le jeune réalisateur le plus impressionnant depuis Carax dans les années 80.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Humanité
par Jean Roy
Adepte de la gomme, à l'instar d'un Bresson ou d'un Dreyer, Bonello retranche le superflu et traque ses protagonistes jusqu'à l'intime. Son film est une sorte de danse des sept voiles de l'âme.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Acteurs géniaux, film précieux, à tous les sens du terme.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Sur la pornographie, quelque chose dans le second film de Bertrand Bonello s'est refusé à l'assimilation mécanique, a résisté au suivisme. (...) Un Léaud maître du film, par le mystère entier de son corps «fatigué», mélancolique, traversé pourtant d'adolescence, portant Bonello vers l'angoisse qui le ceint : la filiation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
De la chair à la grâce, il n'y a qu'un pas, que Bonello franchit allegro, dans le sillage de Pasolini, influence finalement majeure ici.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Thierry Jousse
C'est cette double-ligne de fuite, ce devenir-imperceptible, cette lame de fond que Bonello capte au plus juste avec ce mélange d'intensité et de déflation qui lui est propre et qui fait du Pornographe un des films français les plus singuliers de l'époque.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Elysabeth François
(...) un film éblouissant, porté par l'interprétation d'un Jean-Pierre Léaud en grande forme, dont la composition aussi fantaisiste que tragique illumine de bout en bout les affres de son personnage, un réalisateur de films X forcé de reprendre du service pour gagner sa vie.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Grégoire Leménager
Bonello maîtrise l'art de suggérer, avec une distance respectueuse, les interrogations de ses personnages. Celles de Jean-Pierre Léaud notamment, dont la mélancolie imprègne le film sans jamais le rendre austère.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Dominique Borde
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) ce Pornographe récompensé à Cannes du prix international de la critique, est interprété par un Jean-Pierre Léaud qui ne manque ni de force ni d'humour. La fin est très belle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Olivier de Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Yann Kerloc'h
Le film cherche de l'amour dans un univers gouverné par le sexe. Il est parfois maladroit, il est surtout touchant. Sur ce sujet, faire de la poésie tout en étant très réaliste était risqué. C'est réussi.
Novaplanet.com
par Alex Masson
Il émane du Pornographe une vraie et belle mélancolie quand il s'agit de capter l'impermanence des choses. Après La Chambre du fils, voici l'antichambre du père. Magnifiquement incarné par Jean-Pierre Léaud.
La critique complète est disponible sur le site Novaplanet.com
Positif
par Matthieu Darras
Ce qui caractérise Le Pornographe, c'est l'habile juxtaposition d'une structure narrative clairement segmentée et d'une bande-sonore éclatée, créant du neuf à partir d'éléments très classiques.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Urbuz
par Jean Philippe Tessé
(...) malgré la lisibilité des intentions de mise en scène, Bertrand Bonello tient fermement ses propositions en imposant à chaque scène une pesanteur et une durée assez inconfortables.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Olivier de Bruyn
Bertrand Bonello fabrique de belles images mais ne traite que partiellement son sujet et son personnage.
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
Sur la défaite de la chair et le triomphe de la parole, sur la force du silence et l'ironie des apparences, Le Pornographe est l'un des plus beaux films qui soient.
Fluctuat.net
Film magnifique, mélodieux et inspiré, il ne cesse d'étonner par sa maîtrise et sa liberté et donne sérieusement envie de se pencher de plus près sur le cas Bonello, le jeune réalisateur le plus impressionnant depuis Carax dans les années 80.
L'Humanité
Adepte de la gomme, à l'instar d'un Bresson ou d'un Dreyer, Bonello retranche le superflu et traque ses protagonistes jusqu'à l'intime. Son film est une sorte de danse des sept voiles de l'âme.
Les Inrockuptibles
Acteurs géniaux, film précieux, à tous les sens du terme.
Libération
Sur la pornographie, quelque chose dans le second film de Bertrand Bonello s'est refusé à l'assimilation mécanique, a résisté au suivisme. (...) Un Léaud maître du film, par le mystère entier de son corps «fatigué», mélancolique, traversé pourtant d'adolescence, portant Bonello vers l'angoisse qui le ceint : la filiation.
Télérama
De la chair à la grâce, il n'y a qu'un pas, que Bonello franchit allegro, dans le sillage de Pasolini, influence finalement majeure ici.
Cahiers du Cinéma
C'est cette double-ligne de fuite, ce devenir-imperceptible, cette lame de fond que Bonello capte au plus juste avec ce mélange d'intensité et de déflation qui lui est propre et qui fait du Pornographe un des films français les plus singuliers de l'époque.
Chronic'art.com
(...) un film éblouissant, porté par l'interprétation d'un Jean-Pierre Léaud en grande forme, dont la composition aussi fantaisiste que tragique illumine de bout en bout les affres de son personnage, un réalisateur de films X forcé de reprendre du service pour gagner sa vie.
L'Obs
Bonello maîtrise l'art de suggérer, avec une distance respectueuse, les interrogations de ses personnages. Celles de Jean-Pierre Léaud notamment, dont la mélancolie imprègne le film sans jamais le rendre austère.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
(...) ce Pornographe récompensé à Cannes du prix international de la critique, est interprété par un Jean-Pierre Léaud qui ne manque ni de force ni d'humour. La fin est très belle.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
Le film cherche de l'amour dans un univers gouverné par le sexe. Il est parfois maladroit, il est surtout touchant. Sur ce sujet, faire de la poésie tout en étant très réaliste était risqué. C'est réussi.
Novaplanet.com
Il émane du Pornographe une vraie et belle mélancolie quand il s'agit de capter l'impermanence des choses. Après La Chambre du fils, voici l'antichambre du père. Magnifiquement incarné par Jean-Pierre Léaud.
Positif
Ce qui caractérise Le Pornographe, c'est l'habile juxtaposition d'une structure narrative clairement segmentée et d'une bande-sonore éclatée, créant du neuf à partir d'éléments très classiques.
Urbuz
(...) malgré la lisibilité des intentions de mise en scène, Bertrand Bonello tient fermement ses propositions en imposant à chaque scène une pesanteur et une durée assez inconfortables.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
Bertrand Bonello fabrique de belles images mais ne traite que partiellement son sujet et son personnage.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com