Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Enarpilod
32 abonnés
483 critiques
Suivre son activité
5,0
Publiée le 5 avril 2010
Comme souvent avec Steven Spielberg, c'est le côté humain qui est mis en avant à travers l'histoire et les personnages et même si dans A.I. on suit les aventures d'un robot, on arrive à ressentir des émotions fortes dont seul le réalisateur à la recette. On découvre un monde moderne à la fois poétique et chaotique. Un voyage qui ne s'oublie pas.
Un monde futuriste. Des personnages attachants, une belle histoire. Un bon dénouement de l'histoire. en gros tout pour faire un bon film. Une bonne performance de la part du jeune Haley Joel Osment et de Jude Law.
J'ai toujours quelques réserves vis à vis des films de Spielberg; car il fait beaucoup de choses mais finalement on ne retient qu'une minorité avec beaucoup de ratés. Mais cette fois je dois dire qu'il m'a scotché. Quelle magie; quelle émotion et Dieu sait que je ne dis ça que quand c'est mérité. Un film exceptionnel avec le petit Osment en géant du 7 ème art et une belle performance de Jude Law. On sent l'effet Kubrick mélangé à un Spielberg des grands jours. Un silence de majesté et de mystère tout au long d'une épopée futuriste prenant son essence dans les vieux comptes qui nous faisaient rêver. Pour un esprit étroit et cartésien; le film est indigeste. Mais si on le regarde de façon ouverte et décontractée; on est envouté et emporté par la grandeur de cette magistrale réalisation. Pour moi le meilleur film de Spielberg.
On vante souvent les merveilles de ce film : décors futuristes, reprise des idées de Kubrick etc. N'est-ce pas en faire légèrement trop pour ce film qui, si l'on y réfléchit, se pose des questions qui n'existent pas : l'identité voire l'humanité des robots... Le petit David a tout d'un humain, sinon la constitution. Est-ce donc un humain comme les animaux dénaturés de Vercors ? Mais pourquoi donc se poser des questions qui n'ont pas lieu d'être ? Non, c'est une invention de l'homme, cet être démiurge sur qui va fondre le châtiment de Prométhée. Lorsque Spielberg se prend au sérieux, il en devient comique : il force la dose sur les sentiments de ses personnages, et on en vient sérieusement à se demander s'il n'est pas en train de se foutre de nous. Le petit David est un jouet larmoyant que l'on doit supporter pendant tout le film, sa "maman", une princesse sortie des contes de fée, ou du moins c'est l'image qu'on veut lui donner... les autres robots des esclaves imbéciles, asservis par et pour les humains... On se demande toujours ce que Spielberg a voulu dire de profond et d'intelligent.
Quand Spielberg a voulu faire du Kubrick, il a pris soin de demander la bénédiction de tous les proches du fameux réalisateur. Le résultat est peut être (ou pas) à la hauteur de ce qu'aurait fait le réalisateur. Cela ne m'empêche pas de penser que ce film n'est qu'une relecture du mythe de Pinocchio, à la sauce SF et une fin totalement barrée. Niveau mélo, y a mieux. Niveau SF, y a mieux. niveau Spielberg, y a mieux.
Les critiques officielles ont descendu ce film sans état d'âme, ils n'ont pas compris, ont jugés de façon impitoyable la morale de ce film, le fait que Spielberg reprenait le projet de Kubrick.
Je n'ai jamais oublié ce film et le revoir a été une merveilleuse redécouverte, la performance des acteurs est formidable, les décors magiques, un vrai conte de fée modernisé.
Une ENORME deception, pour un film qui avait un énome potentiel. Il y a une vraie cassure dans le film, ce qui laisse le spectateur, avec une sensation étrange. En effet, après un début assez terre à terre, rythmé, et au scénario bien construit, l'on plonge dans quelque chose de beaucoup plus poétique, éphémère et magique. Bref, malgré les qualités indéniables de ces deux parties, le spectateur, malgré lui, fini par trouver le temps long, et ceci à cause d'une réa et d'un scénario qui dérive vers l'imaginaire. Il aurait fallu faire un choix entre ces deux styles et non les mélanger ainsi. Vraiment dommage, parce qu'avec le talent de Kubrick et de Spielberg, ce film aurait pu être exceptionnel.
Un film de Spielberg trop sous-estimé. Il est pourtant magnifique et porte un bon discours sur la nostalgie, la puissance des souvenirs (visionnez la fin complète pour tout cerner). La réalisation est classique, mais les décors et les FX sont époustouflants. Je parle du New York immergé, du design des moyens de transport et bien sûr des robots. Associé à la richesse visuelle s'ajoute la richesse scénaristique. Ok, l'histoire est simple, mais les rebondissements (surtout le dernier chapitre) stimulent l'imagination du spectateur. Haley Joel Osment est un acteur incroyable. La conclusion par la conclusion, la fin du film est tellement émouvante qu'elle fait son effet à chaque fois. A voir absolument.
Spielberg ne lachait toujours pas son theme fetiche de la famille. Ici, un petit garcon droide qui a des sentiments. C'est assez ringard, deja traité 20 ans auparavant et en mieux. Reste quelques scenes impressionnantes (spielberg quand meme), notamment les jeux du cirque avec des vieux robots. Haley joel Osment est insupportable.
Un des meilleurs film de Spielberg, émouvant & pas nian-nian, et au scénario très audacieux. C'est peut être pour cela qu'il n'est pas apprécié à sa juste valeur...
Un flim compliqué, ambitieux, sorte de minestrone des films de science fiction, sans grande originalité finalement (décors du 5ieme Élément, emprunts à La Guerre des Mondes). Ca commence comme Dark Mirrors er ca finit dans le grand guignolesque, comme s'il fallait rentabiliser les décors des films futuristes et dystopiques passés. Beaucoup trop de scènes qui prennent le spectateur pour un imbécile. Spielberg m'a bien déçu sur ce coup la.
Je suis fan de Kubrick, je ne comprends toujours pas qu'il aie confié ce projet à son ami Spielberg qui reste loin loin loin mais alors très très loin derrière le "maitre" dans la réalisation d'un film.
Un bon film de la part de Spielberg. A mon sens il souffre cependant de quelques longueurs, mais celles-ci sont vites oubliées par le dénouement de l'histoire, très poétique.