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Votre avis sur A.I. Intelligence artificielle ?
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Le monde privé d'une véritable luminosité se retrouve sous l'emprise d'expédients jouissifs et temporaires pendant qu'une mécanique écorchée vive tente désespérément de conquérir une identité émotive basée sur le comportement d'un esprit.
Intelligence artificielle opus étrange et bouleversant délivre une émotion intense projetée sur une toile de fond futuriste époustouflante.
Une œuvre magnifique sur l'extinction de nos ressentis purs mis en bouteille dans une robotique destinée à l'éxécution d'un concept sans en ressentir l'authenticité.
Finalement, qui est esclave de l'autre, l'homme ou la machine?
Intelligence artificielle opus étrange et bouleversant délivre une émotion intense projetée sur une toile de fond futuriste époustouflante.
Une œuvre magnifique sur l'extinction de nos ressentis purs mis en bouteille dans une robotique destinée à l'éxécution d'un concept sans en ressentir l'authenticité.
Finalement, qui est esclave de l'autre, l'homme ou la machine?
Un film unique en son genre, qui me fait beaucoup penser à Black Mirror. On est boulversé et happé par l'histoire du jeune enfant robotisé et on y est ému et reparti plein de questions sur la vie et l'avancée technologique !
J'ai trouvé ce film magnifique de part déjà son histoire qui ressemble à un conte de fée.
De plus la réalisation et l'interprétation est au top.
Du grand spielberg
De plus la réalisation et l'interprétation est au top.
Du grand spielberg
Quel ennui mais quel ennui je ne crois pas m'être ennuyé autant devant un film à part peut être rencontre avec le dragon.
🎬 RENGER 📼
Longtemps en chantier bien avant sa mort, le réalisateur d’Eyes Wide Shut (1999), le regretté Stanley Kubrick, confia finalement son œuvre à Steven Spielberg, à qui l’on doit désormais, cet hommage posthume : A.I - Intelligence Artificielle (2001).
Un très beau film sur le monde de demain, l’avenir des robots et aussi leur place au sein de la société où le cinéaste nous livre ici une œuvre anti-raciste, où il répétera à maintes reprises, que l’amour entre humains et robots, est bel et bien possible, plus aucune barrière ne peut empêcher cela, les mœurs ont changé, les robots ont évolué et sont devenus des répliques des êtres humains.
Si certains sont en droit de descendre ce film sous prétexte que Spielberg n’aurait pas adapté à 100% l’œuvre originale de Kubrick, il faut remarquer qu’il nous livre ici un film remarquable, d’une beauté visuelle époustouflante (on le doit à ILM - Industrial Light and Magic), que ce soit la qualité des nombreux SFX ou l’animatronique quasi présent sur tout le film, sans oublier un scénario original remanié, certes, mais tout à fait acceptable ! Des acteurs excellents, dont Jude Law et le tout jeune Haley Joel Osment (Sixième Sens - 2000), 12 ans lors du tournage. D’une stupéfiante crédibilité en robot, touchant et vulnérable, crédible et impressionnant, il obtient là le premier rôle et vole la vedette aux acteurs confirmés !
Bien qu’il n’ait plus rien à prouver, Spielberg confirme son talent de grand cinéaste avec cette œuvre puissante et révolutionnaire.
Un très beau film sur le monde de demain, l’avenir des robots et aussi leur place au sein de la société où le cinéaste nous livre ici une œuvre anti-raciste, où il répétera à maintes reprises, que l’amour entre humains et robots, est bel et bien possible, plus aucune barrière ne peut empêcher cela, les mœurs ont changé, les robots ont évolué et sont devenus des répliques des êtres humains.
Si certains sont en droit de descendre ce film sous prétexte que Spielberg n’aurait pas adapté à 100% l’œuvre originale de Kubrick, il faut remarquer qu’il nous livre ici un film remarquable, d’une beauté visuelle époustouflante (on le doit à ILM - Industrial Light and Magic), que ce soit la qualité des nombreux SFX ou l’animatronique quasi présent sur tout le film, sans oublier un scénario original remanié, certes, mais tout à fait acceptable ! Des acteurs excellents, dont Jude Law et le tout jeune Haley Joel Osment (Sixième Sens - 2000), 12 ans lors du tournage. D’une stupéfiante crédibilité en robot, touchant et vulnérable, crédible et impressionnant, il obtient là le premier rôle et vole la vedette aux acteurs confirmés !
Bien qu’il n’ait plus rien à prouver, Spielberg confirme son talent de grand cinéaste avec cette œuvre puissante et révolutionnaire.
Un film très long, et un peu ennuyeux à vrai dire. J'ai pas trop accroché à l'histoire. A noter de bons effets spéciaux même si assez rares. 2,5/5
J'ignore ce que cela aurait donné si le génial Stanley Kubrick avait eu la possibilité de réaliser ce film, mais on peut légitimement penser que le résultat aurait été beaucoup moins niais et simpliste que ce qu'en a donné Steven Spielberg. Les grandes qualités du cinéma de ce dernier sont ici présentes à savoir des brillants effets spéciaux, un visuel soigné et un bon rythme... Mais pas d'univers vraiment attachant, puissant et marquant, on tourne à vide en grande partie à cause des deux gros défauts cités plus haut et puis l'interprétation n'est pas terrible non plus, en particulier celle d'Haley Joel Osment qui porte hélas une grande partie du film. Un ratage dans la carrière de Spielberg ; je ne pense pas que Stanley aurait été content du résultat..
A.I. intelligence artificielle est un bon film de Steven Spielberg. La mise en scène du célèbre réalisateur est irréprochable, le sujet est intéressant et bien traité, le scénario est travaillé et original, le spectateur reste scotché au film du début à la fin et pour finir, les acteurs comme Haley Joel Osment, Jude Law ou encore Frances O'Connor sont convaincants dans leurs rôles.
A ça sortie le film avait un point fort , des effets spéciaux haut de gamme.l'histoire reste assez enfantine.certains apprécieront le film dans se monde futuriste et très enchanté.le film ne reste pas le plus grand film à succès de spielberg.
L'histoire commence pourtant bien mais la suite du film, ampoulée, ambrouillée et tournant en rond plombe l'intérêt du film et Haley Joel Osment déja insuportable dans le 6eme Sens et encore une fois enervant et seul Jude Law reste convaincant. spielberg semble submergé par son sujet et nous laisse un film fade, sans histoire tangible ni intéressante pour une fin interminable, stérile et finalement prétentieuse.
Bof. Je m'attendais à mieux. C'est vraiment trop long et on s'ennuie parfois. Mais c'est plutôt bien joué et certaines scènes sont magnifiques.
A.I. où quand Spielberg retrouve la science-fiction, un pur plaisir. Il livre un film très beau sur les dangers et la tristesse de la robotique ainsi qu'une éventuelle substitution de celle-ci au genre humain.
Kubrick, Spielberg, Kubrick, Spielberg, Kubrick, Kubrick, Kubrick, Spielberg, blablabla...
En vrai, peut être que si Kubrick n'a pas réalisé ce film, c'est parcequ'il avait l'air chiant, mou et inintéressant ? Ou alors c'est la vision qu'a apporté Spielberg au projet ? Bref, c'était nul quand je l'ai vu au ciné à 8 ans, ca l'est encore plus aujourd'hui
En vrai, peut être que si Kubrick n'a pas réalisé ce film, c'est parcequ'il avait l'air chiant, mou et inintéressant ? Ou alors c'est la vision qu'a apporté Spielberg au projet ? Bref, c'était nul quand je l'ai vu au ciné à 8 ans, ca l'est encore plus aujourd'hui
Je fais partie de ceux qui pensent (même s'il ne sont pas nombreux je sais) que Kubrick n'avait rien d'un génie. Juste un artiste à l'égo surdimensionné qui, à l'instar d'un Lynch ou Cronenberg, a gardé son côté "Mais tu peux pas comprendre !!! Pardon si je choque, mais au final un "rain man" en puissance, super intelligent, mais qui vit dans son monde. Très proche de Kubrick, Spielberg reprend les commandes de son projet en s'autoproclamant héritier direct du cinéaste disparu...rien que ça. Comme si Spielberg avait besoin de ça franchement. Reste un film Kubrickien donc, avec la Spielberg-touch qui, malheureusement, ne fait pas office ici. Ca dégouline de bons sentiments d'un côté (avec un HJ Osment larmoyant et pénible, de l'autre on a des scènes de pur délires scénaristiques, sur fond d'éternité et d'extra-terrestres compatissants (ou robots first classe peut-être), sous des références (ou hommage allez savoir) à Pinocchio. Un bien mauvais cocktail, trop alcoolisé, qui saoule, qui reste sur l'estomac, et une énorme déception pour ceux (dont je fais partie) qui apprécient d'ordinaire le travail fabuleux de Spielberg le conteur d'histoire. Les effets spéciaux sont superbes, ça oui y'a rien à dire, mais ça ne suffit pas forcément pour un faire un grand et beau film. La SF est avant tout l'extrapolation (future donc) de technologies déjà existentes ou sur le point de l'être. Ca ne veut pas dire un grand n'importe quoi dénué de crédibilité (dans science-fiction, il y a science). A sa manière, le désir d'émancipation des réplicants de Blade Runner était bien plus crédible. En toute modestie, Ridley Scott a mené son projet sans se prendre pour ce qu'il n'était pas, ce que n'a pas su faire Spielberg sur ce coup-là. Et puis mélanger deux styles aussi différents que ceux de Kubrick et Spielberg, ça ne pouvait décemment pas donner quelque chose de correct...Les chiens ne font pas des chats. Désolé, Steven, mais j'ai carrément donné mon DVD, j'ai même pas pu le vendre.
Film de science fiction qui doit normalement vous bluffer, il nous fait entrer dans un univers hors du commun que nous n'avons pas l'habitude de croiser. Entre émerveillements et émotions, ce film est un petit bijou en matière de SF.
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