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    A.I. Intelligence artificielle
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    3,5
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    571 critiques spectateurs

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    Roub E.
    Roub E.

    957 abonnés 4 997 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2018
    Je me souviens être allé le voir à sa sortie ciné et l’avoir trouvé très mauvais. Quasiment vingt ans après ma seconde impression est pire que mon souvenir. Ce film annoncé comme une reprise d’un projet de Kubrick est presque un blasphème car comment penser que le sieur Stanley aurait put faire un film aussi niais. Le gros talon d’Achille de ce film est son personnage principal, tellement dégoulinant d’amour qu’il en devient rapidement insupportable. Sa variation sur l’histoire de Pinocchio ne joue pas dans sa faveur non plus. Tout les rebondissements et thèmes annexes sont soit plats soit même agaçants. Et que dire de son final interminable qui donne l’impression qu’il y a 20 minutes de trop a un film ou on s’est déjà franchement ennuyé. Bref c’est un film que je déteste au plus haut point, à plus forte raison parce que c’est le talentueux Spielberg qui le réalise, à mon goût son pire film avec le terminal.
    T-Tiff
    T-Tiff

    95 abonnés 1 186 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2014
    "A.I. Intelligence artificielle" est un film de science-fiction par Steven Spielberg mené par le jeune et brillant Haley Joel Osment. Le film débute avec une première demi-heure absolument géniale et innovante, avec le jeune robot qui est à l'origine d'un conflit familiale. Cette première partie aborde aussi la question de la relation entre l'homme et la machine qui dépasse, ici, l’entendement. Puis, la mère décide d'abandonner le robot dans une scène vraiment touchante et presque surprenante. Ensuite Spielberg lance une seconde partie, plus technique visuellement avec un monde moderne où les effets spéciaux sont bien utilisés sans être non plus extraordinaires. Cette seconde partie permet l'arrivé de Jude Law, parfait dans son rôle mais qui passe un peu à la trappe sur la globalité du film. Le rapport entre l'oeuvre "Pinocchio" et "A.I. Intelligence artificielle" n'est pas caché et rajoute de l'intérêt au film qui se présente un peu comme un remake moderne du conte. Pour cela, on a droit, bien-sûr, à une superbe musique nous rappelant que ce film est avant tout fait pour les enfants, pourtant, il nous plaît bien quand même, avec une fin osé mais qui fonctionne à merveille et qui laisse une part de mystère à ce très bon film.
    ER  9395
    ER 9395

    86 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2012
    Loin d’être dans les meilleurs films de Steven Spielberg , parfois surprenant et simpliste , il reste quand
    même intéressant à voir .
    yohanaltec
    yohanaltec

    97 abonnés 767 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 mars 2013
    Visuellement époustouflant par ses effets spéciaux et son histoire extraordinaire, AI Intelligence Artificielle est un film magnifique qui raconte l'histoire d'un méca (sorte de robots humains) qui va vire une dure histoire en se faisant adopté par deux parents jusqu'au jour ou leurs fils guérira, mais le jour ou guéri le vrai fils, une rivalité né entre lui et le robot. Il va alors être lâché dans la nature par sa fausse mère. D'après une idée original du très (très) grand réalisateur Stanley Kubrick, Spielberg nous livre ici un conte de science-fiction ultra moderne à la sauce pure d'un Pinocchio ultra futuriste. Le rôle principal, interprété par Haley Joel Hosmont (qui est aujourd'hui inexistant) est extraordinaire. Je me demande comment fait- il pour interprété un robot alors que ce n'est pas un robot. Le film produit par Jan Harlan (producteur principal des films de Stanley Kubrick) , nous offre des effets spéciaux énorme à un film qui est pour moi plus ou moins séparé en deux parties. En tout cas, grand chef d'oeuvre de la science-fiction (un peit peu égale à Minority Report j'ai envie de dire). Un des meilleurs films de Spielberg.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 335 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juillet 2010
    Alors que Kubrick en aurait certainement fait un splendide conte métaphysique digne de Philip K. Dick, Spielberg s’enlise lui dans le sentimentalisme bon marché et l'onirisme mal venu. On ne peut donc qu’être déçu de cette "Intelligence Artificielle" sans véritable relief.
    Oh yeah
    Oh yeah

    13 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 19 octobre 2014
    Decidement, Spielberg, je n'y arrive pas.
    Tout sonne faux, ça ne fonctionne pas, c'est incohérent, on n'y croit vraiment pas... En plus c'est larmoyant. Beurk.
    camray54
    camray54

    30 abonnés 1 010 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 novembre 2009
    Certains crient au chef d'oeuvre, moi je déplore une vaste blague. Très bon et très accrochant les 3 premiers quarts d'heures, le film passe au ridicule et à l'inventivité désastreuse. La morale est pauvre et les choix scénaristique sont mauvais. Le plus mauvais des Spielberg que j'ai pu voir. Au final, la seule qualité de ce film, et le seul intérêt à ne pas arrêter la vision en cours de route, se trouve dans la performance du jeune Haley Joel Osment.
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 août 2023
    En reprenant le projet de Kubrick, Spielberg réalise un film d'anticipation inégal mais ambitieux et souvent fascinant. La première partie est la plus réussie. H J Osment est inoubliable dans le rôle de David. 3,75
    carter311
    carter311

    10 abonnés 113 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    NONNNN!!!Que t'es t-il arrivé spielberg!!!Mais qu'est ce que c'est que cette daube!!!!Pendant la 1ére demi heure on se dit qu'il n'as rien perdu de son talent.Puis pendant 2 heure ca devien un navet ultra planétaire avec une fin digne des plus longue que je n'ai jamais vu!!!Mais comment peut on mettre 4 étoiles????
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 114 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mars 2011
    La marque des grands films n'est de ne pas prendre une ride ? Si tel est le cas, alors A.I en est assurément un.
    Arthus27
    Arthus27

    93 abonnés 562 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 août 2023
    Qu'est-ce qui fait de nous des humains? Nos émotions? Nos aspirations? Notre comportement? Au travers de ce film, Steven Spielberg réussit l'exploit de questionner notre humanité au travers du regard de 2 robots. L'un est conçu comme un enfant, destiné à combler une perte dans un couple. L'autre est un adulte, nommé Gigolo Joe et destiné à assouvir nos désirs. La qualité première de A.I., Intelligence Artificielle est son écriture et notamment le soin apporté à la caractérisation de chaque personnage. Les enjeux et les péripéties qui nous sont présentées nous touchent et nous emportent tout au long du film. D'un côté, le jeune David est conçu pour éprouver un amour inconditionnel pour sa "mère", mais ne fait que prouver à quel point il n'est qu'un robot au fur et à mesure qu'il tente de devenir humain... De l'autre, Gigolo Joe, bien qu'ayant une fonction plus "mécanique", brille par son dévouement pour les autres, spoiler: allant jusqu'à se sacrifier pour David,
    devenant ainsi plus humain que les humains eux-mêmes. Malheureusement, le récit se perd sur le dernier tiers du film plus maladroit et bien moins finement écrit que le reste du récit.
    En termes de réalisation, c'est évidemment un sans faute de Spielberg dont la mise en scène mêle les points de vue et redouble d'ingéniosité. La direction artistique est sublime, nous présentant un univers particulièrement riche. A.I. gagne à être vu et revu afin d'en saisir toutes les subtilités.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2018
    Conte futuriste un brin périmé dans le propos de l'intelligence artificielle (et surtout de l'enfant méca de substitution), mais mis en scène de manière absolument admirable de la part de Spielberg, bourré d'idées et avec une relative tenue concernant l'univers, rien de sensationnaliste alors que c'était tellement portes ouvertes. Après ça n'échappe pas à la mièvrerie, mais ça ne me dérange pas outre mesure ici, bien que dans le fond c'est un peu la "disneyrisation" d'un projet de Kubrick, je me souviens qu'on avait reproché ça à tonton Steven à l'époque, je reste partagé sur la question, c'est mon côté normand.
    videoman29
    videoman29

    246 abonnés 1 832 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 octobre 2020
    Fruit d'un travail commun entre Stanley Kubrick et Steven Spielberg, « A.I.Intelligence Artificielle » ne pouvait qu'interpeller le petit monde de la science-fiction. Une bonne partie des spectateurs a été clairement décontenancée par l'aridité du scénario et quelques longueurs scénaristiques, inhérente à ce genre d’œuvre futuriste et un peu onirique. Pourtant, si l'on parvient à entrer dans l'histoire, on est vite conquis par sa richesse philosophique et l'universalité du discours. Évidemment, depuis 20 ans le point de vue sur l'intelligence artificielle a encore évolué et devient de plus en plus tangible, pour autant ce sont deux visionnaires de génies qui sont aux commandes et ça se ressent sur la qualité de l'ensemble. Au niveau de la technique, on est également très proche de la perfection. Les effets spéciaux sont très « propres », mais c'est bien la réalisation grandiose qui met tout le monde d'accord. Évidemment, Stanley Kubrick était décédé au moment de la sortie de cette œuvre intemporelle (dont il avait commencé à écrire le scénario)... mais il n'aurait certainement pas renié le travail de son (non moins célèbre) collègue cinéaste. Du grand art, un point c'est tout !
    Ricco92
    Ricco92

    225 abonnés 2 150 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mai 2018
    Projet que Stanley Kubrick a développé pendant une vingtaine d’années, l’adaptation très libre (seule la thématique de base est commune) de la courte nouvelle Les Supertoys durent tout l’été de Brian Aldiss s’est heurtée pendant de nombreuses années aux limites technologiques des effets spéciaux de l’époque. La sortie de Jurassic Park en 1993 a convaincu le réalisateur d’Orange mécanique qu’il était désormais possible de retranscrire cette nouvelle à l’écran mais proposa à Steven Spielberg de le réaliser pendant que lui le produirait car il trouvait que la sensibilité du film était plus adaptée à ce cinéaste. Spielberg préférant que ce soit son ami qui le réalise, Kubrick décida de le tourner après Eyes wide shut. Hélas, peu avant la sortie de ce dernier, Kubrick décéda. Jan Harlan, beau-frère et producteur exécutif de Kubrick, proposa donc tout naturellement à Spielberg de réaliser cette adaptation depuis retitrée A.I. Intelligence artificielle, chose que Spielberg accepta pour rendre hommage à son ami.
    Cette genèse compliquée explique l’accueil critique mitigée que le film rencontra à l’époque (la plupart des films de Kubrick ont d’ailleurs fait l’objet de ce type de réception à leurs sorties pour être considérés quelques années plus tard comme étant des chefs-d’œuvre). En effet, il fut reproché à Spielberg à la fois de vouloir copier Kubrick et de le trahir. Toutefois, si Kubrick avait proposé à Spielberg de réaliser ce projet, c’est qu’il estimait que ce dernier était plus adapté à cette histoire. De plus, le cinéaste avait tenu son confrère informé du développement du projet pendant toutes ces années. En outre, les projets de Kubrick connaissant de très longues périodes de développement et de nombreuses modifications, on ne peut pas savoir quel aurait été le résultat final (sûrement aurait-il été au final très différent de la version de Spielberg). Enfin, il est tout à fait normal que Spielberg adapte son film à sa sensibilité pour pouvoir le réaliser, chose très courante lorsqu’un projet change de réalisateur : il ne prétendra d’ailleurs jamais se mettre à la place de Kubrick mais seulement vouloir lui rendre hommage.
    Cette critique peut toutefois un peu se comprendre par la structure esthétique et narrative du film. En effet, le film est construit en trois parties. spoiler: La première raconte la vie de David au sein de sa famille et possède un rythme assez calme, une esthétique et des couleurs assez froides pouvant rappeler justement le regard distanciée de Stanley Kubrick. La seconde, clairement séparée par un fondu au noir, décrit le parcours de ce même personnage dans Rouge City, un univers aux couleurs plus chaudes qui est plus bruyant et mouvementé. Enfin, la troisième, se situant dans un Manhattan envahi par les eaux, revient vers une esthétique plus froide et plus centrée sur la douceur. Surtout, cette dernière partie se conclue avec la présence de personnages qui font penser à des extraterrestres mais qui seraient en réalité de robots super développés (ce qui est loin d’être clairement expliqué et qui donc peut être considéré comme un point faible amenant le spectateur à mal interpréter le film).
    Mais, en réalité, la plupart des éléments attribués à Spielberg à l’époque viennent de Kubrick spoiler: (cette fameuse fin était d’ailleurs un point de désaccord entre Kubrick et Brian Aldiss, à l’époque où ce dernier était rattaché au scénario)
    . De même, la première partie, malgré sa froideur apparente, possède déjà certains aspects purement spielbergien spoiler: (première apparition de David qui fait penser aux extraterrestres de Rencontres du troisième type, émotions exacerbées de David, thématique de l’abandon de la séparation d’un enfant avec ses parents…)
    . À contrario, d’autres éléments dans les parties faisant plus penser à Steven Spielberg revêtent des côtés kubrickiens spoiler: : l’esthétique des fauteuils se trouvant chez le Dr Sais-Tout (Dr Know en V.O.) fait penser à celle de 2001, l’Odyssée de l’espace, la fin énigmatique renvoie à celle de ce même film…
    De même, les nombreuses allusions à Pinocchio font penser à Rencontres du troisième type (Roy Neary veut emmener ses enfants voir son adaptation de Disney, quelques notes de la bande originale de cette dernière sont reprises dans la séquence finale…) mais sont en réalité présentes dès le début du projet par Kubrick : on peut donc penser que l’aspect conte de fée que possède le film était lui aussi déjà là.
    Cette double paternité de l’œuvre aurait pu offrir un résultat instable mais Steven Spielberg a une fois de plus prouvé tout son génie en arrivant à unifier ces aspects disparates sans que cela soit choquant un quelconque instant et montre tout le long du film sa maîtrise de la caméra (pour comprendre comment Spielberg peut raconter une histoire à travers un simple cadrage, il suffit de voir le plan où David est filmé à travers un lustre en forme de soucoupe volante signifiant que David est un extraterrestre à l’intérieur de cet univers). De plus, il est aidé par des effets spéciaux tout bonnement incroyables spoiler: (les séquences de la Foire de la chair)
    . Mais le film est également porté par l’impressionnante prestation de Haley Joel Osment qui arrive à la fois faire ressentir le fait qu’il ne soit pas humain (David a beau aimer, il ne possède pas des réflexes et des réactions humaines) tout en arrivant à nous faire ressentir ses émotions spoiler: jusque dans une fin d’autant plus émouvante que l’on sait que c’est un faux happy-end (s’il retrouve sa mère ressuscitée pour l’occasion une journée, c’est pour ne plus jamais pouvoir la retrouver un jour)
    et par une très belle musique, à la fois discrète et porteuse d’émotions, de John Williams.
    Ainsi, malgré les légères réticences que l’on peut ressentir sur les dernières séquences, cette adaptation très libre des Supertoys durent tout l’été (œuvre à laquelle Brian Aldiss a offert deux suites, Les Supertoys quand arrive l’hiver et Les Supertoys les autres saisons, qui possèdent certains aspects du film, mais qui ont été écrites entre la mort de Kubrick et l’aboutissement de l’œuvre par Spielberg) est une œuvre magnifique qui permet à un génie du cinéma de porter à l’écran un projet d’un autre génie du 7ème art tout en lui rendant hommage.
    CH1218
    CH1218

    201 abonnés 2 879 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2022
    Portée durant de nombreuses années par Stanley Kubrick, cette adaptation échoit, au décès du réalisateur britannique, entre les mains de Steven Spielberg. On retourne d’ailleurs la patte de l’un et de l’autre dans ce conte futuriste. Visuellement, la barre est très très haute (merci aux magiciens d’ILM]. Revu dernièrement, l’ambitieux « A.I. Intelligence Artificielle » m’est apparu beaucoup moins froid et réducteur que l’empreinte qu’il avait laissé à l’époque dans mon esprit, le film nécessitant assurément, comme d’autres, plusieurs visionnages pour en apprécier les qualités. Bluffant dans « Sixième Sens » le jeune Harley Joel Osment fait à nouveau sensation dans la peau d’un Pinocchio mécanique à travers la justesse et l’émotion de son interprétation.
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