Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
L'Obs
par F. F.
Les deux cinéastes (et rappeurs) des « Derniers Parisiens » réussissent un beau canto de la misère, à la fois puissant et original.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Film noir de tradition, avec ses flics et ses caïds, « Rue des Dames » dresse aussi un portrait précis, humain, des années 2020.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
On pense, bien sûr, à Mean Streets, référence éminente. Mais aussi aux Safdie, dont beaucoup de motifs se retrouvent ici : les formes méconnues de survie et de travail dans les entrailles de la ville ; le soin apporté à la topographie, à l’écosystème ; et bien sûr les personnage d’éclopé·es, de marginaux·les, magistralement regardés.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Garance Marillier se montre incroyable de justesse et d'intensité.
Positif
par Fabien Baumann
Ce film attachant se refuse à toute emphase mais y gagne une remarquable densité.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Cette chronique de quelques galériens du quartier La Fourche à Paris cumule trop d’invraisemblances qui finissent par nuire à sa crédibilité. Restent une belle nervosité dans la mise en scène, de bons moments de tension, et surtout la composition enlevée de Garance Marillier (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film dense, tendu, prenant.
Libération
par Sandra Onana
Si les embrouilles sont filmées à hauteur de nerfs, c’est en «désenervant» le jeu et le tempo que les cinéastes parviennent le plus souvent à léviter autour de leur sujet, se laissant le loisir d’attraper des attitudes, glaner des portraits comme autant de mini-films dans le film. On s’intéresse au cinéma du binôme pour ça – moins pour l’engrenage d’intrigues, qui roule trop des mécaniques ce coup-ci.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Rue des dames est un film sous tension qu’on vit à travers cette course contre la montre de son héroïne flirtant avec la loi et les embrouilles. La vérité dans l’écriture de la dizaine de personnages qui le composent donne du relief à une fiction dominée par une totale absence de manichéisme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par S.O.
Malgré (ou grâce à ?) un récit mal structuré et une réalisation à l'emporte-pièce, une forte impression de réalisme se dégage du film.
Télérama
par Jérémie Couston
L’intrigue, enfin, pourrait sembler un peu chargée, les auteurs voulant embrasser en moins de deux heures l’ensemble des problématiques qui creusent la fracture entre les Parisiens d’en haut et ceux d’en bas – mal-logement, travail au noir, prostitution, chantages… L’ensemble reste pourtant équilibré, entre sincérité et âpreté.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Le tissage du scénario de ce film choral est habile, et son point de vue humble sur des humains sans grandeur est indéniablement attachant. L’ensemble pèche cependant par ses partis pris formels [...].
Le Monde
par Ma. Mt.
Chronique de la débrouillardise interlope adossée à la logique de survie, le film se veut aussi topographie d’un territoire flottant, à la frontière des 17e et 18e arrondissements, dans l’axe Pigalle-La Chapelle, celui d’une marginalité déjà poreuse avec la banlieue. Mais la mise en scène caméra portée, très serrée sur les visages, en oublie parfois de prendre du recul, d’ouvrir le champ, de respirer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un cinéma certes bouillonnant mais trop explosé pour emporter le morceau.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
L'Obs
Les deux cinéastes (et rappeurs) des « Derniers Parisiens » réussissent un beau canto de la misère, à la fois puissant et original.
Les Echos
Film noir de tradition, avec ses flics et ses caïds, « Rue des Dames » dresse aussi un portrait précis, humain, des années 2020.
Les Inrockuptibles
On pense, bien sûr, à Mean Streets, référence éminente. Mais aussi aux Safdie, dont beaucoup de motifs se retrouvent ici : les formes méconnues de survie et de travail dans les entrailles de la ville ; le soin apporté à la topographie, à l’écosystème ; et bien sûr les personnage d’éclopé·es, de marginaux·les, magistralement regardés.
Ouest France
Garance Marillier se montre incroyable de justesse et d'intensité.
Positif
Ce film attachant se refuse à toute emphase mais y gagne une remarquable densité.
Le Parisien
Cette chronique de quelques galériens du quartier La Fourche à Paris cumule trop d’invraisemblances qui finissent par nuire à sa crédibilité. Restent une belle nervosité dans la mise en scène, de bons moments de tension, et surtout la composition enlevée de Garance Marillier (...).
Les Fiches du Cinéma
Un film dense, tendu, prenant.
Libération
Si les embrouilles sont filmées à hauteur de nerfs, c’est en «désenervant» le jeu et le tempo que les cinéastes parviennent le plus souvent à léviter autour de leur sujet, se laissant le loisir d’attraper des attitudes, glaner des portraits comme autant de mini-films dans le film. On s’intéresse au cinéma du binôme pour ça – moins pour l’engrenage d’intrigues, qui roule trop des mécaniques ce coup-ci.
Première
Rue des dames est un film sous tension qu’on vit à travers cette course contre la montre de son héroïne flirtant avec la loi et les embrouilles. La vérité dans l’écriture de la dizaine de personnages qui le composent donne du relief à une fiction dominée par une totale absence de manichéisme.
Télé 2 semaines
Malgré (ou grâce à ?) un récit mal structuré et une réalisation à l'emporte-pièce, une forte impression de réalisme se dégage du film.
Télérama
L’intrigue, enfin, pourrait sembler un peu chargée, les auteurs voulant embrasser en moins de deux heures l’ensemble des problématiques qui creusent la fracture entre les Parisiens d’en haut et ceux d’en bas – mal-logement, travail au noir, prostitution, chantages… L’ensemble reste pourtant équilibré, entre sincérité et âpreté.
Cahiers du Cinéma
Le tissage du scénario de ce film choral est habile, et son point de vue humble sur des humains sans grandeur est indéniablement attachant. L’ensemble pèche cependant par ses partis pris formels [...].
Le Monde
Chronique de la débrouillardise interlope adossée à la logique de survie, le film se veut aussi topographie d’un territoire flottant, à la frontière des 17e et 18e arrondissements, dans l’axe Pigalle-La Chapelle, celui d’une marginalité déjà poreuse avec la banlieue. Mais la mise en scène caméra portée, très serrée sur les visages, en oublie parfois de prendre du recul, d’ouvrir le champ, de respirer.
Paris Match
Un cinéma certes bouillonnant mais trop explosé pour emporter le morceau.