Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Closer
par La Rédaction
A voir absolument si vous aimez les chats, les bonbons et les jolis moments du quotidien !
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’héroïne amnésique de La Page blanche , c’est Sara Giraudeau : sa fantaisie se prête idéalement à cette comédie pétillante, loufoque et fraîche, qui fait des pas de côté romantiques avec Pierre Deladonchamps et Grégoire Ludig en amoureux décalés.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Sara Giraudeau clown transforme l’ordinaire en extraordinaire, transfigure la vie par le jeu et l’émerveillement. Un clown ne fait pas seulement rire les gens : il anime la vie, la bouscule, la métamorphose. L’art du clown de Sara Giraudeau vibre positivement, joyeux et inspirant.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
La réalisatrice Murielle Magellan offre à Sara Giraudeau un formidable premier rôle où l’actrice donne toute la mesure de sa fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par La Rédaction
Derrière la comédie, un film qui touche au plus profond : perdre la mémoire pour retrouver sa tête et changer de vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Le film révèle avec subtilité sa dimension fantaisiste et intimiste, portée par une émouvante Sara Giraudeau.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une comédie romantique douce et déjantée.
Positif
par Eithne O’Neill
Avec un dialogue pimpant, un chromatisme succulent, des acteurs excellents, des écrans divisés et des accélérés chaplinesques, cette adaptation de la bande dessinée homonyme du duo Pénélope Bagieu et Boulet (2012) aura ses adeptes.
Télé 2 semaines
par Pierre Chagny
L'humour et la poésie sont au rendez-vous avec une excellente Sara Giraudeau et un Pierre Deladonchamps émouvant.
Télé Loisirs
par Pierre Chagny
Murielle Magellan réussit à mêler humour et poésie avec une excellente Sara Giraudeau (tout en fraîcheur et naïveté, et particulièrement drôle) et un Pierre Deladonchamps attachant en inventeur fou.
L'Obs
par Amandine Schmitt
Adapté d’une BD calibrée pour le succès avec ses deux auteurs stars (Pénélope Bagieu et Boulet), le film pâtit d’un flagrant manque de relief et d’idées. Un vrai syndrome de la page blanche.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Al.C.
Une réussite qui doit beaucoup à la présence solaire et clownesque de Sara Giraudeau épatante, ainsi qu’à tous les autres personnages, secondaires mais pas transparents.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Cl. F.
Le film séduit davantage dans les petits dérèglements de la vie quotidienne qui s’installent, scène après scène.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Murielle Magellan adapte la bande dessinée à succès de Pénélope Bagieu et dresse le portrait farfelu d'une jeune Parisienne amnésique, incarnée par Sara Giraudeau. Malgré des facilités, son film ne manque pas de charme.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Florent Boutet
Cette adaptation d’une bande dessinée à succès est une comédie drôle et sensible quimanque toutefois de subtilité dans son écriture.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Sans aucune prétention auteuriste, La page blanche dresse le portrait impressionniste d’une jeune fille amnésique et, malgré ses nombreuses facilités, n’est pas dépourvu d’un certain charme, en premier lieu grâce à la prestation de Sara Giraudeau, convaincante dans la peau d’une héroïne égarée.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Sans garder intact l’immense charme de la bande dessinée éponyme de Boulet et Pénélope Bagieu, dont il est inspiré, le film avance avec délicatesse, entre mélancolie et fantaisie.
Télérama
par Guillemette Odicino
Adaptée de la bande dessinée de Boulet et Pénélope Bagieu, une charmante comédie existentielle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Un genre d’Amélie Poulain de l’âge des mises à jour iCloud plombé par un humour terne et des personnages soit parfaitement transparents [...] soit totalement infernaux [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Pour son premier long, Murielle Magellan adapte la BD de Pénélope Bagieu et Boulet, en restitue le charme mais bute sur le même écueil : une dernière ligne droite fade par rapport aux méandres ludiques qui y conduisent.
La critique complète est disponible sur le site Première
Closer
A voir absolument si vous aimez les chats, les bonbons et les jolis moments du quotidien !
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’héroïne amnésique de La Page blanche , c’est Sara Giraudeau : sa fantaisie se prête idéalement à cette comédie pétillante, loufoque et fraîche, qui fait des pas de côté romantiques avec Pierre Deladonchamps et Grégoire Ludig en amoureux décalés.
Le Dauphiné Libéré
Sara Giraudeau clown transforme l’ordinaire en extraordinaire, transfigure la vie par le jeu et l’émerveillement. Un clown ne fait pas seulement rire les gens : il anime la vie, la bouscule, la métamorphose. L’art du clown de Sara Giraudeau vibre positivement, joyeux et inspirant.
Le Figaro
La réalisatrice Murielle Magellan offre à Sara Giraudeau un formidable premier rôle où l’actrice donne toute la mesure de sa fantaisie.
Le Parisien
Derrière la comédie, un film qui touche au plus profond : perdre la mémoire pour retrouver sa tête et changer de vie.
Marie Claire
Le film révèle avec subtilité sa dimension fantaisiste et intimiste, portée par une émouvante Sara Giraudeau.
Ouest France
Une comédie romantique douce et déjantée.
Positif
Avec un dialogue pimpant, un chromatisme succulent, des acteurs excellents, des écrans divisés et des accélérés chaplinesques, cette adaptation de la bande dessinée homonyme du duo Pénélope Bagieu et Boulet (2012) aura ses adeptes.
Télé 2 semaines
L'humour et la poésie sont au rendez-vous avec une excellente Sara Giraudeau et un Pierre Deladonchamps émouvant.
Télé Loisirs
Murielle Magellan réussit à mêler humour et poésie avec une excellente Sara Giraudeau (tout en fraîcheur et naïveté, et particulièrement drôle) et un Pierre Deladonchamps attachant en inventeur fou.
L'Obs
Adapté d’une BD calibrée pour le succès avec ses deux auteurs stars (Pénélope Bagieu et Boulet), le film pâtit d’un flagrant manque de relief et d’idées. Un vrai syndrome de la page blanche.
Le Journal du Dimanche
Une réussite qui doit beaucoup à la présence solaire et clownesque de Sara Giraudeau épatante, ainsi qu’à tous les autres personnages, secondaires mais pas transparents.
Le Monde
Le film séduit davantage dans les petits dérèglements de la vie quotidienne qui s’installent, scène après scène.
Les Echos
Murielle Magellan adapte la bande dessinée à succès de Pénélope Bagieu et dresse le portrait farfelu d'une jeune Parisienne amnésique, incarnée par Sara Giraudeau. Malgré des facilités, son film ne manque pas de charme.
Les Fiches du Cinéma
Cette adaptation d’une bande dessinée à succès est une comédie drôle et sensible quimanque toutefois de subtilité dans son écriture.
Marianne
Sans aucune prétention auteuriste, La page blanche dresse le portrait impressionniste d’une jeune fille amnésique et, malgré ses nombreuses facilités, n’est pas dépourvu d’un certain charme, en premier lieu grâce à la prestation de Sara Giraudeau, convaincante dans la peau d’une héroïne égarée.
Télé 7 Jours
Sans garder intact l’immense charme de la bande dessinée éponyme de Boulet et Pénélope Bagieu, dont il est inspiré, le film avance avec délicatesse, entre mélancolie et fantaisie.
Télérama
Adaptée de la bande dessinée de Boulet et Pénélope Bagieu, une charmante comédie existentielle.
Libération
Un genre d’Amélie Poulain de l’âge des mises à jour iCloud plombé par un humour terne et des personnages soit parfaitement transparents [...] soit totalement infernaux [...].
Première
Pour son premier long, Murielle Magellan adapte la BD de Pénélope Bagieu et Boulet, en restitue le charme mais bute sur le même écueil : une dernière ligne droite fade par rapport aux méandres ludiques qui y conduisent.