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Votre avis sur American Pie 2 ?
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Une suite bâclée, qui se contente de mal décliner les gags du premier volet.
Re-gags potaches, Re-plaisanteries assez crues et primaires… Telle est la Re-devise de cette comédie, qui me rappelle mes années universitaires.
Totalement réussi, dans la droite lignée du précédent. Extrêmement drôle!! Et on a grand plaisir à retrouver les personnages. Très très réussi, dans son style (qu'on peut ne pas aimer...) un chef d'oeuvre.
Une très bonne suite qui nous fait toujours autant rire un de mes préférés de la saga haha .. Peter le meilleur de tous .. Avec une bande son juste énorme et indémodable...
Un deuxième volet qui pousse encore plus loin les limites de la perversité sexuelle.
On reprend les mêmes et on recommence. J'ai pas accroché.
Le film est profond, touchant, impactant. Il réalise le, ma foix considérable, exploit de surpasser le premier volet qui m'avait à l'époque bluffé par son scénario. Ce second volet ajoute une dimension philosophique aux personnages rappelant Shakespeare et ses émois les plus inspirants
Toujours aussi drôle et embarrassant pour Jim ! Peut-être même plus embarrassant. Cette fois-ci, notre groupe de jeunes louent un chalet au bord de la plage où une fête de retrouvailles s'annonce. Les couples vont-ils se reformer ? Jim arrivera-t-il à ses fins avec la belle Nadia ? Ou retournera-t-il avec Michelle ? Un peu plus "osé" que le premier, American Pie 2 en est la digne suite.
Une bonne suite au film America Pie avec Jason Biggs, Sean William Scott . Une très bonne comédie marrante .
Surfant sur le succès du premier opus, ce film, sorte de remake suite, en reprend tous les éléments pour essayer de frapper encore plus fort.
Le sexe est ici omniprésent et on ne se cache plus vraiment pour en parler.
Encore une fois: citations et situations cultes, nos héros sont bien de retour avec leur éternel problème: vont ils à nouveau coucher?
Plus beaucoup de surprises, beaucoup de redite, mais on rigole encore beaucoup.
Le sexe est ici omniprésent et on ne se cache plus vraiment pour en parler.
Encore une fois: citations et situations cultes, nos héros sont bien de retour avec leur éternel problème: vont ils à nouveau coucher?
Plus beaucoup de surprises, beaucoup de redite, mais on rigole encore beaucoup.
En reprenant le style éhontément graveleux du premier,"American Pie 2" tombe encore plus bas,car il n'y a cette fois pas de scénario du tout!La porte ouverte à une accumulation de bêtises,où Jim,Kevin,Finch,Oz et Stiffler se retrouvent en vacances près de la mer.Sea,sex and sun au programme,histoire de nous prouver que les ados américains sont bas du front,et ne pensent qu'à faire la fête une bière à la main,en débitant des cochonneries.Il est beau l'exemple!Bon,après,pour passer un moment détente,en laissant son cerveau au vestiaire et ses zygomatiques en marche,ça peut passer,d'autant que certains gags,à défaut d'être fin,sont franchement poilants.C'est le cas du tripotage de lesbiennes,ou de la main coinçée dans le caleçon.Je soupçonne les auteurs d'être misogynes,et de ne jamais avoir eu d'enfants!Cette comédie trash,sans aucune limites,si ce n'est celle du porno,a marqué la jeunesse en 2000 et a donné naissance à toute une lignée de teen-movies plus crétins les uns que les autres.Du sous-cinéma.
Le premier épisode de la saga American Pie fut un succès assez impressionnant, tant est si bien qu’on organisa très vite un nouvel épisode, réalisé par le réal deuxième équipe du premier. Alors on prend les mêmes et on recommence ?
Eh bien non, American Pie 2 ne tombe pas dans la facilité crasse. En effet, nos quatre amis ne vont pas encore une fois essayer de coucher, ni même passer un pacte dans cet épisode. Ils vont juste passer des vacances pour se retrouver ensemble. Malheureusement, J.B. Rogers est un bien piètre réalisateur, très maladroit dans ce qui est de la durée des scènes (la scène des pseudo-lesbiennes est bien trop longue). En revanche, on continue à sentir la chaleur présente dans le premier film. Les personnages sont tous très bien troussés, jamais trop caricaturaux, toujours réalistes, les situations oscillent entre le fantasmé et l’expérience personnelle et le scénario tient à peu près la route. Au moins n’ont-ils pas recopié celui du premier opus.
Mais où American Pie 2 a presque un kilomètre d’avance sur ses copies, c’est dans la qualité de son interprétation, vraiment satisfaisante. Si le premier opus était un festival de Jason Biggs, c’est ici Alyson Hannigan et surtout, l’excellentissime Eugene Levy qui se distinguent, la première par son air ingénu qui contraste avec ses dialogues (véritable fondatrices des rôles d’Ellie Kemper), le deuxième pour sa bonhomie et par sa capacité à faire rire avec lui et non pas de lui, malgré des dialogues casse-gueules. La scène de l’hôpital est son grand moment (et le climax du film, par extension). L’autre point où American Pie 2 impressionne, c’est dans son happy end, qui laisse à réfléchir, tant il est réaliste et assez digne pour un teen movie. En effet, l’amour à distance entre Tara Reid et Thomas Ian Nicholas n’a pas marché et Paul Finch reste tout seul.
American Pie 2 souffre malheureusement d’un scénario qui met du temps à se mettre en marche et de quelques gags en dessous de la ceinture un peu abusés, mais reste un film très intéressant et plus intelligent que prévu. Une suite réussie. Cerise sur le gâteau ? Une apparition du très jeune Adam Brody !
Eh bien non, American Pie 2 ne tombe pas dans la facilité crasse. En effet, nos quatre amis ne vont pas encore une fois essayer de coucher, ni même passer un pacte dans cet épisode. Ils vont juste passer des vacances pour se retrouver ensemble. Malheureusement, J.B. Rogers est un bien piètre réalisateur, très maladroit dans ce qui est de la durée des scènes (la scène des pseudo-lesbiennes est bien trop longue). En revanche, on continue à sentir la chaleur présente dans le premier film. Les personnages sont tous très bien troussés, jamais trop caricaturaux, toujours réalistes, les situations oscillent entre le fantasmé et l’expérience personnelle et le scénario tient à peu près la route. Au moins n’ont-ils pas recopié celui du premier opus.
Mais où American Pie 2 a presque un kilomètre d’avance sur ses copies, c’est dans la qualité de son interprétation, vraiment satisfaisante. Si le premier opus était un festival de Jason Biggs, c’est ici Alyson Hannigan et surtout, l’excellentissime Eugene Levy qui se distinguent, la première par son air ingénu qui contraste avec ses dialogues (véritable fondatrices des rôles d’Ellie Kemper), le deuxième pour sa bonhomie et par sa capacité à faire rire avec lui et non pas de lui, malgré des dialogues casse-gueules. La scène de l’hôpital est son grand moment (et le climax du film, par extension). L’autre point où American Pie 2 impressionne, c’est dans son happy end, qui laisse à réfléchir, tant il est réaliste et assez digne pour un teen movie. En effet, l’amour à distance entre Tara Reid et Thomas Ian Nicholas n’a pas marché et Paul Finch reste tout seul.
American Pie 2 souffre malheureusement d’un scénario qui met du temps à se mettre en marche et de quelques gags en dessous de la ceinture un peu abusés, mais reste un film très intéressant et plus intelligent que prévu. Une suite réussie. Cerise sur le gâteau ? Une apparition du très jeune Adam Brody !
La saga "American Pie" représente une part non négligeable du cinéma de mon adolescence. Je me suis toujours montré d'une grande tolérance avec les trois premiers films, qui regorgeait de personnages géniaux, de dialogues cultes et de séquences sexy gentiment transgressives. Ce second opus n'en demeure pas moins le moins bon de la "trilogie" originale (et qui aurait dû rester une trilogie au lieu de se perdre dans des DTV indignes et un quatrième opus officiel très en dessous). La faute en incombe, bien évidemment, à un manque patent de renouvellement de l'histoire (même ton trash, mêmes problèmes existentiels, mêmes fêtes organisées par Stifler, mêmes ressorts comiques...) et à la gêne évidente qu'on éprouvé les scénaristes avec certains des personnages. Car, clause contractuelle oblige, tous les personnages du premier opus sont de retour... mais tous n'ont pas eu droit au même traitement, à commencer par les filles ! Ainsi, on se demande un peu ce que Tara Reid, Mena Suvari, Natasha Lyonne ou encore Shannon Elizabeth sont venues faire dans cette histoire... Seul Alyson Hannigan parvient à tirer son épingle du jeu, voir à émouvoir. Quant aux mecs, Oz (Chris Klein) et Kevin (Thomas Ian Nicholas) confirment qu'ils ont moins de potentiel comique que Jim (Jason Biggs en éternel maladroit), Finch (Eddie Kaye Thomas en séducteur de cougar) et, surtout, que Stifler (Sean William Scott). Ce dernier voit, ainsi, son rôle s'étoffer très considérablement et s'offre, sans difficulté, le statu d'attraction principale du film. Il serait, cependant, injuste d'oublier l'énorme Eugene Levy, qui rempile dans le rôle de l'hilarant père de Jim, aux conseils toujours très avisés et l'étonnant Cris Owen, qui reprend son rôle de "Sherminator" avec une certaine "profondeur" inattendue. Il n'y a pas, pour autant, beaucoup de subtilité à attendre de ce second opus qui a, avant tout, pour but de sitraire, au besoin par le biais de séquences et de dialogues trash (enfin, pour l'époque). On retiendra, ainsi, l'indispensable scène d'intro (dont Jim ne sort jamais grandi), la séquences dite de la "VHS collée", la scène avec les deux lesbiennes ou encore la conversation téléphonique entre Oz et Heather interrompue par Stifler... Mais "American Pie", c'est, également, une BO topissime (avec Sum 41 en tête) et, surtout, une complicité qui fait plaisir à voir... surtout quand on a l'âge des personnages ! Dommage, tout de même, que ce second opus ne se soit pas davantage risqué à un peu plus de renouvellement. Le troisième opus ne reproduira pas cette erreur !
film connu a l'époque comme étant ULTRA nanardesque, deuxième suite et pourtant le film est quasi identique au premier, le film est aussi très caricatural sur les jeunes en particulier les ados: c'est INSSUPORTABLE, rien est drole, la plupart des scènes deviennent complètement malsaines, des jeunes ados ULTRA bof, vous etes tellement loin de la réalité rien est réalistes, c'est très malsains au point de se demander comment les scénaristes ont pu en arriver là. a fuir. en fait je plain les acteurs qui ont été forcé de jouer dans ce film (j'imagine la dépression après ça)
Stephenballade
On reprend les mêmes et on recommence… un an plus tard (deux ans séparent les deux films). Dès la fin de l'année scolaire, ils se retrouvent tous ensemble à évoquer l’année passée et à se rappeler le bon vieux temps. 12 mois ont passé. Et il s’en passe des choses en 12 mois ! Mais eux ne changent pas. Le toujours aussi naïf Jim (Jason Biggs) n’a pas perdu son habitude de se mettre dans des situations embarrassantes, Oz (Chris Klein) est toujours aussi fleur bleue (et ce n’est pas un reproche, bien au contraire), Kevin (Thomas Ian Nicholas) rêve toujours à l’impossible, et Stifler (Seann William Scott) est toujours aussi dingue. D’ailleurs, pourquoi changer le rigolo de service quand celui-ci sert de locomotive jamais en panne d'énergie ? Et Paul (Eddie Kaye Thomas) s’intéresse encore plus à davantage de choses pour retrouver sa déesse… la maman de Stifler. Remarquez, moi je le comprends : Jennifer Coolidge dégage un tel glamour ! Mmmmmm !!!..................... (Stephenballade en mode rêveur...) ... (soupir…)……………… (Hé Steph ! Yohooo !) ……………… Mesdames messieurs, votre attention s’il vous plait : suite à un petit problème technique d’indisposition subite (non, y’a pas de jeu de mots) momentanée, cette critique s’en trouve temporairement suspendue (non, là non plus y’a pas de jeu de mot... raaaa Stifler, sors de ce corps !) jusqu’à nouvel avis. Nous faisons tout ce qui est en notre pouvoir pour vous faire retrouver Stephenballade dans son état normal. Veuillez nous excuser pour ce désagrément, merci…………….. Bon, suffit les bêtises ! Pour en revenir à notre sujet, il est certain que les galipettes avec la maman de Stifler n’allaient pas rester sans suites ! Au contraire, c’est un élément qui va être exploité tout le long avec beaucoup de subtilité (hein ? "American pie" subtil ? ça se saurait !), c’est-à-dire à petites doses mais toujours de façon efficace. C’est d’ailleurs cet élément parmi tant d’autres qui va faire démarrer cette suite sur les chapeaux de roues. Outre une entame où on retrouve Jim de nouveau dans une situation (encooore ? noooon ? si ? eh bien si !) embarrassante (sauf que cette fois, ce n’est absolument pas de sa faute !), les gags s’enchaînent les uns derrière les autres selon une logique naturelle étonnante. Le point d’orgue ? Le coup du champagne ! Une scène à mourir de rire ! De quoi se pisser dessus tellement c’est tordant. Cela ne vaut que si ces scènes sont exclusivement dans leur contexte. Des extraits pris au hasard ici et là passeront pour des séquences ni plus ni moins pipi-caca sans aucun intérêt. En plus des bonnes recettes du premier épisode hormis la tarte aux pommes qui a vite fait de tomber à plat (si j’ose dire), on retrouve l’ensemble des personnages qui ont contribué au succès de "American pie" premier du nom : le père de Jim (Eugene Levy), Nadia (Shannon Elizabeth), Michelle (Alyson Hannigan), et Sherman (Chris Owen) qui fait une entrée remarquée grâce à… grâce à qui ? Stifler bien sûr ! Cependant ce deuxième opus reste qualitativement en-deçà de son aîné. Déjà on rit un peu moins, ou plutôt les rires vont être surtout concentrés sur le début et la fin. Le milieu parait bien vide, finalement. Serait-ce en raison du changement de réalisateur ? Peut-être… le fait est que James B. Rogers ne sera pas reconduit. Quoiqu’il en soit le constat est là : Seann William Scott tombe dans le surjeu, et Eddie Kaye Thomas se fait piéger par une caricature trop poussée. Nous sommes d’accord, ce n’est pas du grand cinéma. Mais pour ceux qui ont osé voir le premier, ils auront quand même grand plaisir de retrouver tous ces personnages décidément attachants. D’autant plus que l’ambiance est restée bon enfant, et que la vulgarité ne nous saute toujours pas aux yeux malgré un langage toujours aussi fleuri. On dit merci qui pour ce langage exotique ? On dit « merci Stifler ! ».
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