Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
Peu à peu, la tête de Luma, blanche tachetée de noir, finit par apparaître comme un visage dont on connaît les moindres détails. Et ce visage, décidément, nous regarde.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Même si la fin du film est plus brutale et radicale que dans le moindre polar, la cinéaste a surtout le mérite de modifier notre point de vue en prenant la peine de personnaliser les ruminants, qui sont bien plus que des « bêtes » interchangeables.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Le film entend dépasser cet état de fait en allant plus loin qu’une reconnaissance, en adoptant le point de vue de l’héroïne-vache : en épousant le regard d’un être dont on fait le portrait. C’est-à-dire, dont on mesure les parts d’ombre et de lumière, dont on extrait sa singularité même. Cow ne fait que demander : peut-on faire le portrait d’une vache sur 1h30 de cinéma comme on le ferait avec un être humain ?
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Verra-t-on cette année plus dystopique que ces vaches réunies en rond pour la traite, alors que résonnent dans leur hangar des chansons pop de bas étage crachées par une radio ?
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par Nicolas Schaller
Mélo bovin, docu puissant, « Cow » est une pure expérience de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
De cet étrange documentaire, dénué de tout commentaire, Andre Arnold livre une œuvre déterminée et audacieuse qui, peut-être, poussera le spectateur à une remise en question.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La Rédaction
Un film majeur sur l'exploitation animale.
Positif
par Eithne O’Neill
Un très beau film.
Télé 2 semaines
par Camille Brun
Cow se révèle pourtant aussi riche que bouleversant.
Critikat.com
par Étienne Cimetière-Cano
Par le truchement du montage, la réalisatrice met en scène l’interférence des humains jusque dans les mécanismes les plus naturels.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La mise en scène naturaliste ne cache rien de la cruauté, tout en gratifiant le spectateur d’images d’une beauté absolue. Une expérience à la fois captivante et révoltante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Murielle Joudet
Tristes et lyriques sont tous ses moments où, dans un hangar où s’ébat Luma, surgit d’une source lointaine des tubes pop de la chanteuse Kali Uchis ou des Pogues, témoignant d’une harmonie perdue, d’une poésie de pacotille qui tenterait vainement de maquiller le glauque de la condition bovine.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Laura Tuillier
En ouvrant son film par un vêlage, filmé au plus près, Andrea Arnold annonce la couleur : sa caméra reniflera la vache, la suivra à la trace, fouinant sans répit pour trouver quelque chose plutôt que rien au fond du beau regard résigné de Luma.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Nulle trace de discours verbeux, le cinéma d’Andrea Arnold – en docu comme en fiction – passe par les sensations qu’elle crée par la puissance tranquille de sa mise en scène. Et le résultat en impose.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
La réalisatrice Andrea Arnold filme Luma, une vache qui mène sa vie de vache dans une ferme. Exercice de contemplation.
Télérama
par Virginie Félix
Beaucoup de noir et peu de vert dans ce tableau réaliste sans paroles, d’où sourd une atmosphère de tristesse et d’ennui. Le reflet dans un œil de vache de la rude condition animale.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
Peu à peu, la tête de Luma, blanche tachetée de noir, finit par apparaître comme un visage dont on connaît les moindres détails. Et ce visage, décidément, nous regarde.
L'Humanité
Même si la fin du film est plus brutale et radicale que dans le moindre polar, la cinéaste a surtout le mérite de modifier notre point de vue en prenant la peine de personnaliser les ruminants, qui sont bien plus que des « bêtes » interchangeables.
Les Inrockuptibles
Le film entend dépasser cet état de fait en allant plus loin qu’une reconnaissance, en adoptant le point de vue de l’héroïne-vache : en épousant le regard d’un être dont on fait le portrait. C’est-à-dire, dont on mesure les parts d’ombre et de lumière, dont on extrait sa singularité même. Cow ne fait que demander : peut-on faire le portrait d’une vache sur 1h30 de cinéma comme on le ferait avec un être humain ?
CinemaTeaser
Verra-t-on cette année plus dystopique que ces vaches réunies en rond pour la traite, alors que résonnent dans leur hangar des chansons pop de bas étage crachées par une radio ?
L'Obs
Mélo bovin, docu puissant, « Cow » est une pure expérience de cinéma.
Les Fiches du Cinéma
De cet étrange documentaire, dénué de tout commentaire, Andre Arnold livre une œuvre déterminée et audacieuse qui, peut-être, poussera le spectateur à une remise en question.
Ouest France
Un film majeur sur l'exploitation animale.
Positif
Un très beau film.
Télé 2 semaines
Cow se révèle pourtant aussi riche que bouleversant.
Critikat.com
Par le truchement du montage, la réalisatrice met en scène l’interférence des humains jusque dans les mécanismes les plus naturels.
Le Journal du Dimanche
La mise en scène naturaliste ne cache rien de la cruauté, tout en gratifiant le spectateur d’images d’une beauté absolue. Une expérience à la fois captivante et révoltante.
Le Monde
Tristes et lyriques sont tous ses moments où, dans un hangar où s’ébat Luma, surgit d’une source lointaine des tubes pop de la chanteuse Kali Uchis ou des Pogues, témoignant d’une harmonie perdue, d’une poésie de pacotille qui tenterait vainement de maquiller le glauque de la condition bovine.
Libération
En ouvrant son film par un vêlage, filmé au plus près, Andrea Arnold annonce la couleur : sa caméra reniflera la vache, la suivra à la trace, fouinant sans répit pour trouver quelque chose plutôt que rien au fond du beau regard résigné de Luma.
Première
Nulle trace de discours verbeux, le cinéma d’Andrea Arnold – en docu comme en fiction – passe par les sensations qu’elle crée par la puissance tranquille de sa mise en scène. Et le résultat en impose.
Sud Ouest
La réalisatrice Andrea Arnold filme Luma, une vache qui mène sa vie de vache dans une ferme. Exercice de contemplation.
Télérama
Beaucoup de noir et peu de vert dans ce tableau réaliste sans paroles, d’où sourd une atmosphère de tristesse et d’ennui. Le reflet dans un œil de vache de la rude condition animale.