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Votre avis sur Harry Potter à l'école des sorciers ?
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Vinz1
Ce premier volet réalisé par Chris Columbus contenait déjà tous les ingrédients qui allait faire de l’univers d’Harry Potter, une saga incontournable : des séquences à l’école des sorciers avec des élèves sympas et d’autres moins, des matchs de Quidditch, de la magie, des animaux étranges, une sorte de mystère à résoudre et bien sûr, un méchant de rigueur qui tient la route ! Superbe spectacle familial très fidèle au livre !
Une bonne adaptation du livre, peut être trop tôt à cause des effets spéciaux mais quand même très bon sur les décors et l’ambiance générale dans laquelle on se sent plongé.
Pour moi, les 2 premiers Harry Potter réalisés par Chris Columbus sont les meilleurs. Ce réalisateur a réussi à retranscrire comme nul autre le côté magique et étrange de l'univers du sorcier britannique. La galerie des personnages est absolument sublime. J'ai un faible pour Severus, ce professeur mystérieux tout vêtu de noir. Le 1er film des aventures de Potter possède un parfum mythique, car c'est là où tout commence. Et la musique de John Williams est une grande réussite. La fin du film bascule même légèrement vers l'horreur, avec cette apparition du visage de Voldemort. Bref, ce long métrage est un classique et un chef-d'œuvre.
Si vous aimez regarder un film de fantasy et drama, Harry Potter à l’ecole des sorciers est le film que je recommanderai. C’est un film très bien fait. Les personnages principaux sont des jeunes qui vont à l’école de magie pour la première fois. L’historie est trés intéressante parce que tu peux regarder beaucoup de personnages etd’ activités différents et des lieux. Aussi, puor l’importance d’Harry Potter dans le monde magique. Le film est très long mais il est tr`s intéressant,
Étant un des plus grands fans d'Harry Potter je suis obligé de mettre 5/5. Ça fait rêver les personnages sont super attachants, les décors sont magnifiques. La musique iconiques merci beaucoup John Williams
C'est mignon pour les enfants. En revanche pour les adultes, c'est très léger, je n'y ai pas trouvé mon compte
Chef d'oeuvre meme s'il se fait vieux avec le temps. On voit que certains décors sonnent faux mais cela n'enlève en rien que se film est de la première seconde à la dernière un chef-d'oeuvre
Harry Potter nous plonge dans une fabuleuse aventure remplie de magie, de balai volant et de mystère. Le premier opus intègre des effets spéciaux plutôt bons pour un film de l'époque, et il y a une très grande diversité musicale avec son thème emblématique. J'ai aimé le monde et l'univers dans lesquels l'histoire essaie de nous emmener, et j'ai hâte de voir où nous mènera la suite de l'histoire.
Lorsque l'on choisit d'adopter une approche enfantine, il en résulte souvent deux problématiques : l'intérêt que peut susciter le film chez les adultes et la simplification excessive de son scénario. Maintenant que l'on sait cela, disons autre chose : non, un scénario simple n'en fait pas, en tant que tel, un mauvais scénario. En revanche, le recours à des raccourcis ou approximations scénaristiques devrait éveiller, chez chacun de nous, une forme d'incrédulité.
Ce premier film de la saga Harry Potter nous dresse d'emblée le portrait de personnages facilement identifiables, manquant souvent de nuances, qui nous retire tout de suite toute forme d'ambiguïté ou de complexité. Tout est schématisé pour être sûr que l'enfant qui est ciblé – ou l'enfant qui sommeille en chacun de nous… – ne soit pas perdu dans cette histoire, pourtant accessible. C'est pourquoi on nous sert un Hagrid pataud qui, à la manière d'un meneur de jeu de rôle, permet de faire avancer nos trois protagonistes lorsqu'ils calent.
Ajoutons à cela des incohérences scénaristiques qui contribuent à rendre l'univers – pourtant bien construit, du reste – moins crédible, comme l'accès, dangereux pour un élève mais en aucun cas sécurisé, au troisième étage – n'importe quel élève aventurier finit dans la gueule du cerbère ; ou, mieux, l'heure de colle nocturne dans la Forêt Interdite, sous la surveillance négligée d'Hagrid et de son chien, alors que des créatures très dangereuses y rodent – ce n'est pas pour rien que Dumbledore précise, lors de sa première prise de parole au banquet de bienvenue, de ne pas y aller. Le châtiment infligé à ces quatre élèves apparaît alors comme extrêmement sévère.
Et, autre paradoxe, la confrontation finale a de quoi effrayer beaucoup d'enfants, alors que tout le reste du film s'adresse clairement à eux. Dommage que les péripéties soient aussi grossièrement écrites, car l'univers est esthétiquement réussi. Une histoire riche, à double lecture enfants/adultes, n'est pas de l'ordre du fantasme : Pixar, Ghibli et Disney, pour ne citer que les plus connus, l'ont maintes fois prouvé.
Ce premier film de la saga Harry Potter nous dresse d'emblée le portrait de personnages facilement identifiables, manquant souvent de nuances, qui nous retire tout de suite toute forme d'ambiguïté ou de complexité. Tout est schématisé pour être sûr que l'enfant qui est ciblé – ou l'enfant qui sommeille en chacun de nous… – ne soit pas perdu dans cette histoire, pourtant accessible. C'est pourquoi on nous sert un Hagrid pataud qui, à la manière d'un meneur de jeu de rôle, permet de faire avancer nos trois protagonistes lorsqu'ils calent.
Ajoutons à cela des incohérences scénaristiques qui contribuent à rendre l'univers – pourtant bien construit, du reste – moins crédible, comme l'accès, dangereux pour un élève mais en aucun cas sécurisé, au troisième étage – n'importe quel élève aventurier finit dans la gueule du cerbère ; ou, mieux, l'heure de colle nocturne dans la Forêt Interdite, sous la surveillance négligée d'Hagrid et de son chien, alors que des créatures très dangereuses y rodent – ce n'est pas pour rien que Dumbledore précise, lors de sa première prise de parole au banquet de bienvenue, de ne pas y aller. Le châtiment infligé à ces quatre élèves apparaît alors comme extrêmement sévère.
Et, autre paradoxe, la confrontation finale a de quoi effrayer beaucoup d'enfants, alors que tout le reste du film s'adresse clairement à eux. Dommage que les péripéties soient aussi grossièrement écrites, car l'univers est esthétiquement réussi. Une histoire riche, à double lecture enfants/adultes, n'est pas de l'ordre du fantasme : Pixar, Ghibli et Disney, pour ne citer que les plus connus, l'ont maintes fois prouvé.
"Harry Potter à l'école des sorciers", réalisé par Chris Columbus en 2001, inaugure avec panache la saga cinématographique adaptée des romans de J.K. Rowling. Le film excelle dans sa capacité à concrétiser un monde magique qui avait captivé des millions de lecteurs, offrant un spectacle visuel qui allie fidélité au texte et invention cinématographique.
Daniel Radcliffe, Rupert Grint, et Emma Watson incarnent avec une authenticité saisissante les personnages de Harry, Ron, et Hermione. Leurs performances, bien que parfois un peu vertes, capturent l'essence des jeunes sorciers avec une énergie et une naïveté rafraîchissantes. La chimie entre les trois acteurs sert de fondement solide à l'évolution de leurs personnages tout au long de la série.
La direction artistique de Stuart Craig et les costumes de Judianna Makovsky méritent une mention spéciale. Leur travail remarquable crée un Poudlard à la fois grandiose et intime, un lieu où la magie se mêle à la vie de tous les jours de manière naturelle et envoûtante. La musique de John Williams, avec son thème iconique, renforce cette atmosphère, guidant les émotions du spectateur à travers le récit.
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Le rythme peut parfois paraître inégal, certains aspects du livre étant condensés ou omis, ce qui peut dérouter ceux qui cherchent une fidélité absolue à la source. De plus, bien que les effets spéciaux soient globalement impressionnants, certains n'ont pas résisté à l'épreuve du temps, contrastant avec le réalisme visuel plus contemporain.
En résumé, "Harry Potter à l'école des sorciers" est un film qui réussit à capturer l'essence d'un monde magique adoré par tant de fans, tout en posant les fondations d'une série de films qui allait captiver le public pour les années à venir. Il est à la fois une porte d'entrée fascinante dans l'univers de Harry Potter et une œuvre cinématographique qui se tient fièrement seule.
Daniel Radcliffe, Rupert Grint, et Emma Watson incarnent avec une authenticité saisissante les personnages de Harry, Ron, et Hermione. Leurs performances, bien que parfois un peu vertes, capturent l'essence des jeunes sorciers avec une énergie et une naïveté rafraîchissantes. La chimie entre les trois acteurs sert de fondement solide à l'évolution de leurs personnages tout au long de la série.
La direction artistique de Stuart Craig et les costumes de Judianna Makovsky méritent une mention spéciale. Leur travail remarquable crée un Poudlard à la fois grandiose et intime, un lieu où la magie se mêle à la vie de tous les jours de manière naturelle et envoûtante. La musique de John Williams, avec son thème iconique, renforce cette atmosphère, guidant les émotions du spectateur à travers le récit.
Cependant, le film n'est pas sans défauts. Le rythme peut parfois paraître inégal, certains aspects du livre étant condensés ou omis, ce qui peut dérouter ceux qui cherchent une fidélité absolue à la source. De plus, bien que les effets spéciaux soient globalement impressionnants, certains n'ont pas résisté à l'épreuve du temps, contrastant avec le réalisme visuel plus contemporain.
En résumé, "Harry Potter à l'école des sorciers" est un film qui réussit à capturer l'essence d'un monde magique adoré par tant de fans, tout en posant les fondations d'une série de films qui allait captiver le public pour les années à venir. Il est à la fois une porte d'entrée fascinante dans l'univers de Harry Potter et une œuvre cinématographique qui se tient fièrement seule.
Le film qui pose les bases d'une grande saga cinématographique, qui a marqué la génération. Avec Colombus à la baguette, les producteurs ont misé sur le bon cheval tant le réalisateur sait manier les codes du film pour enfants avec brio. Magique et féerique, le film a pour mission de présenter tout un univers et le fait très bien. Les effets spéciaux comme le Troll ont un peu vieilli mais le film garde sa magie ne serait ce que par sa direction technique, ses décors (la découverte de Poudlard et sa salle principale) et surtout la découverte d'un énième thème musical de John Williams voué à être culte !
L'univers d'Harry Potter a bercé ma tendre enfance, comment ne pas apprécier toute cette magie..
Malgré tout, après avoir lu les romans je trouve que beaucoup de faits marquants dans le livre sont totalement absents du long métrage.
L'histoire parfois même, change.... Une belle adaptation qui reste toutefois la seule, je dirai donc, que tout cela pourra changer avec la série en production et peut être même une nouvelle saga qui sait.
Malgré tout, après avoir lu les romans je trouve que beaucoup de faits marquants dans le livre sont totalement absents du long métrage.
L'histoire parfois même, change.... Une belle adaptation qui reste toutefois la seule, je dirai donc, que tout cela pourra changer avec la série en production et peut être même une nouvelle saga qui sait.
C'est le premier film de la serie Harry Potter qui demarre bien, bon enfant, plein de fantaisies, de poésie ... ce qui lui a valu un certain succès, sans trop de violence pour ainsi dire le moins violent apres HP et le Prisonnier d'Azkaban qui n'est pas franchement mauvais non plus. Je ne comprend pas le classement des films HP qui prétend que c'est le moins bon de la saga.
Une entrée dans le monde merveilleux d'Harry Potter en version film. Plutôt mignon comparé aux suivants car le personnage grandit tome après tome. Cependant je vous recommande de lire les livres dont l'histoire est bien plus complète
Film d'excellente facture, (pouvant faire trop peur pour les moins de 10 ans). On a tout : l'histoire, les effets spéciaux, du mignon, de l'émotion, l'amitié, le grand méchant...C'est très réussi et je comprends que ce soit un régal pour les 11-20 ans !
3,9/5
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