Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Ce que ce premier long métrage tenu de bout en bout nous dit du réel, sans jamais oublier de faire des images, d’être mouvement et son, est bien plus qu’un film à thèse, c’est une immersion, un voyage dans des sensations qui, bien que d’aujourd’hui, nous ramènent à notre enfance, à nos souvenirs et nos ressentis. C’est douloureux et poignant. Indispensable.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une proposition forte, maîtrisée de bout en bout, qui tient aussi bien du drame familial que de l'expérience immersive.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film magistral sur le harcèlement scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Transfuge
par Serge Kaganski
Porté par le regard attentif, précis et humaniste de Laura Wandel, incarné par des acteurs- enfants extraordinaires, Un Monde fait un sort à une vision disneyenne et bêtifiante de l’enfance. Dès le plus jeune âge, les gosses portent en charge à leur échelle les conflits de la société.
20 Minutes
par Caroline Vié
Il n’est effectivement pas besoin d’être mère ou père pour recevoir ce grand film de plein fouet.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
"Un monde" prend le spectateur par la main dès son ouverture et ne le lâche à aucun instant, happé par un récit fragmenté et immersif [...] Ce miroir-monde défile sous nos yeux à travers le récit intérieur de Nora magnifiquement interprété par la débutante Maya Vanderbeque.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Une expérience immersive ultra-réaliste.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un parfum de vérité imprègne ce récit, filmé à hauteur d'enfant.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Avec cette œuvre puissante, la cinéaste, d’une cour d’école, pose une loupe sur la violence de la société. C’est souvent dérangeant, toujours haletant et indubitablement brillant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
En plaçant sa caméra à hauteur d’enfant, Laura Wandel signe un premier film au scalpel, taraudé par l’inquiétude à un âge où ne devrait régner que l’insouciance.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Dick Tomasovic
Il ne faut pas un plan entier pour être pris à la gorge par ce premier film qui fait d’une cour de récréation un monde aussi tumultueux que complexe.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
La cinéaste belge Laura Wandel met en scène deux enfants aux prises avec le harcèlement scolaire dans une école ordinaire. Un premier film implacable qui rend inévitablement curieux de sa carrière à venir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Jef Marcadé
Le remarquable premier film de Laura Wandel est une immersion prenante dans un monde loin d'être paisible, avec ses règles propres, parfois cruelles.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Dans cet univers effrayant, véritable prison (le père, joué par Karim Leklou, ne peut parler à ses enfants qu’à travers des barreaux), Nora tente d’y voir clair et de tenir debout. Mais le monde reste flou et son quotidien est une succession de chutes et de coups. La solidarité entre frère et sœur, un temps mise à mal, existe fort heureusement. Des adultes doux·ces et compréhensif·ives aussi (la très gracieuse “institutrice” Laura Verlinden). Et il y a certaines étreintes qui ont de quoi désarmer le monde.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Sandra Onana
Dans une impressionnante fiction immersive sur l’enfance qui vire au récit de prévention, Laura Wandel filme la société miniature de la cour de récréation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Cette fiction impressionnante autopsie les mécanismes pervers de la domination et de l’acceptation et révèle une réalisatrice talentueuse.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Un premier film très maîtrisé où la rigueur documentaire s'allie à une grande force de récit.
Première
par Thierry Chèze
On en ressort KO, bouleversé et impressionné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Si le jeu, la joie, l’acquisition du savoir sont aussi de la partie, si le film tend vers une forme de salut possible, il reste poignant, nous saisissant plus d’une fois à la gorge, en créant une profonde empathie pour le frère meurtri et sa sœur atteinte par ricochet.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Un monde est un geste de cinéma radical nous confrontant à la pérennité de la violence sociale jusque dans la petite enfance. Un choc de ce début d’année.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Céline Rouden
Grâce à une mise en scène d’une grande précision et à un travail impressionnant sur le montage et le son, on est en osmose avec cette petite fille à l’air buté et aux grands yeux tristes, incarnée par la jeune Maya Vanderbeque, et comme elle, on en ressort lessivé.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Une expérience dont on ressort l'esprit chamboulé et le corps rompu.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film peut sembler parfois un peu théorique, mais la sensibilité et la rigueur avec lesquelles la réalisatrice Laura Wandel escorte son personnage donne au récit une densité poignante.
Critikat.com
par Hugo Mattias
Un monde ne fait malheureusement pas grand-chose de sa propre réserve et affiche une subtilité qui semble lui servir davantage à contourner les pièges d’une représentation trop appuyée qu’à imposer une vision singulière.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Il n'était peut-être pas utile de filmer tout cela avec une caméra à hauteur d'enfant, parti pris qui vire au procédé et dessert le propos d'un pessimisme lucide.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
L’identification recherchée repose sur un principe d’isolement et de restriction : Nora n’est montrée qu’au sein de l’établissement, en particulier pendant les récréations, sans caractérisation psychologique extérieure ; la caméra s’en tient au point de vue de son corps timide qui évolue dans un environnement majoritairement flouté.
Bande à part
Ce que ce premier long métrage tenu de bout en bout nous dit du réel, sans jamais oublier de faire des images, d’être mouvement et son, est bien plus qu’un film à thèse, c’est une immersion, un voyage dans des sensations qui, bien que d’aujourd’hui, nous ramènent à notre enfance, à nos souvenirs et nos ressentis. C’est douloureux et poignant. Indispensable.
Le Journal du Dimanche
Une proposition forte, maîtrisée de bout en bout, qui tient aussi bien du drame familial que de l'expérience immersive.
Le Parisien
Un film magistral sur le harcèlement scolaire.
Transfuge
Porté par le regard attentif, précis et humaniste de Laura Wandel, incarné par des acteurs- enfants extraordinaires, Un Monde fait un sort à une vision disneyenne et bêtifiante de l’enfance. Dès le plus jeune âge, les gosses portent en charge à leur échelle les conflits de la société.
20 Minutes
Il n’est effectivement pas besoin d’être mère ou père pour recevoir ce grand film de plein fouet.
Culturopoing.com
"Un monde" prend le spectateur par la main dès son ouverture et ne le lâche à aucun instant, happé par un récit fragmenté et immersif [...] Ce miroir-monde défile sous nos yeux à travers le récit intérieur de Nora magnifiquement interprété par la débutante Maya Vanderbeque.
Elle
Une expérience immersive ultra-réaliste.
Femme Actuelle
Un parfum de vérité imprègne ce récit, filmé à hauteur d'enfant.
L'Humanité
Avec cette œuvre puissante, la cinéaste, d’une cour d’école, pose une loupe sur la violence de la société. C’est souvent dérangeant, toujours haletant et indubitablement brillant.
L'Obs
En plaçant sa caméra à hauteur d’enfant, Laura Wandel signe un premier film au scalpel, taraudé par l’inquiétude à un âge où ne devrait régner que l’insouciance.
La Septième Obsession
Il ne faut pas un plan entier pour être pris à la gorge par ce premier film qui fait d’une cour de récréation un monde aussi tumultueux que complexe.
Les Echos
La cinéaste belge Laura Wandel met en scène deux enfants aux prises avec le harcèlement scolaire dans une école ordinaire. Un premier film implacable qui rend inévitablement curieux de sa carrière à venir.
Les Fiches du Cinéma
Le remarquable premier film de Laura Wandel est une immersion prenante dans un monde loin d'être paisible, avec ses règles propres, parfois cruelles.
Les Inrockuptibles
Dans cet univers effrayant, véritable prison (le père, joué par Karim Leklou, ne peut parler à ses enfants qu’à travers des barreaux), Nora tente d’y voir clair et de tenir debout. Mais le monde reste flou et son quotidien est une succession de chutes et de coups. La solidarité entre frère et sœur, un temps mise à mal, existe fort heureusement. Des adultes doux·ces et compréhensif·ives aussi (la très gracieuse “institutrice” Laura Verlinden). Et il y a certaines étreintes qui ont de quoi désarmer le monde.
Libération
Dans une impressionnante fiction immersive sur l’enfance qui vire au récit de prévention, Laura Wandel filme la société miniature de la cour de récréation.
Marianne
Cette fiction impressionnante autopsie les mécanismes pervers de la domination et de l’acceptation et révèle une réalisatrice talentueuse.
Marie Claire
Un premier film très maîtrisé où la rigueur documentaire s'allie à une grande force de récit.
Première
On en ressort KO, bouleversé et impressionné.
Télérama
Si le jeu, la joie, l’acquisition du savoir sont aussi de la partie, si le film tend vers une forme de salut possible, il reste poignant, nous saisissant plus d’une fois à la gorge, en créant une profonde empathie pour le frère meurtri et sa sœur atteinte par ricochet.
aVoir-aLire.com
Un monde est un geste de cinéma radical nous confrontant à la pérennité de la violence sociale jusque dans la petite enfance. Un choc de ce début d’année.
La Croix
Grâce à une mise en scène d’une grande précision et à un travail impressionnant sur le montage et le son, on est en osmose avec cette petite fille à l’air buté et aux grands yeux tristes, incarnée par la jeune Maya Vanderbeque, et comme elle, on en ressort lessivé.
Le Monde
Une expérience dont on ressort l'esprit chamboulé et le corps rompu.
Sud Ouest
Le film peut sembler parfois un peu théorique, mais la sensibilité et la rigueur avec lesquelles la réalisatrice Laura Wandel escorte son personnage donne au récit une densité poignante.
Critikat.com
Un monde ne fait malheureusement pas grand-chose de sa propre réserve et affiche une subtilité qui semble lui servir davantage à contourner les pièges d’une représentation trop appuyée qu’à imposer une vision singulière.
Le Figaro
Il n'était peut-être pas utile de filmer tout cela avec une caméra à hauteur d'enfant, parti pris qui vire au procédé et dessert le propos d'un pessimisme lucide.
Cahiers du Cinéma
L’identification recherchée repose sur un principe d’isolement et de restriction : Nora n’est montrée qu’au sein de l’établissement, en particulier pendant les récréations, sans caractérisation psychologique extérieure ; la caméra s’en tient au point de vue de son corps timide qui évolue dans un environnement majoritairement flouté.