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Le plus mauvais Brosnan, l'un des plus mauvais James Bond. La poursuite sur la glace n'est pas réaliste et le méchant avec les diamants sur le visage est affligeant. La seule note positive est lorsque Halle Berry sort de l'eau en maillot ...
soniadidierkmurgia
« Meurs un autre jour » marque la fin de la participation de Pierce Brosnan à la saga James Bond. En quatre épisodes, il aura fait décoller le box-office sans aucun baisse de régime et n’aura pas été vraiment remercié pour cela puisque envisageant de rempiler une cinquième fois comme le prévoyait en option son contrat, il sera remercié par un simple coup de fil émanant des producteurs Barbara Broccoli et Michael G. Wilson. Tenant compte de l’expérience avec Roger Moore qui avait endossé le costume de l’agent 007 à 58 ans, il a été jugé bon de ne pas dépasser cette fois-ci la barre des 50 ans. Ce dernier opus de l’ère Brosnan est donc confié à Lee Tamahori, réalisateur néo-zélandais exilé à Hollywood qui vient de remporter un succès d’estime convaincant avec « Le masque de l’araignée » (thriller avec Morgan Freeman) . « Meurs un autre jour » étant le 20ème épisode d’une saga fêtant ses quarante ans d’existence, le scénario original toujours écrit par le tandem formé par Neal Purvis et Robert Wade est truffé de références à chacun des précédents épisodes.
spoiler:
James Bond passe un sale quart d’heure quand il est fait prisonnier par un général nord-coréen alors que l’agent secret au service de sa Majesté enquête sur un trafic d’armes et de diamants. Au bout d’un an, il ressort hirsute de sa captivité pour être échangé. De retour au MI6, il est désormais persona non grata car supposé avoir trahi. Retiré du service actif, il est placé en confinement. Remis sur pied, il s’échappe pour prouver son innocence et continuer l’enquête
. Le sujet plutôt en rupture avec les trames habituelles de la saga se laisse regarder avec plaisir même si l’on peut regretter le penchant de plus en plus évident de vouloir faire de Bond un super héros à l’image des figures de comics qui commencent à faire fureur à Hollywood. Mais l’arrivée explosive de Halle Berry sortant de l’eau telle Ursula Andress dans « Docteur No » suffit à réconcilier la gent masculine avec toutes les imperfections de ce 20ème épisode. Miss Berry mise à part, le spectateur pourra être satisfait des quelques bonnes surprises réservées par un scénario qui ne ménage pas sa peine, quitte à être parfois un peu confus, pour fêter dignement les quarante ans de James Bond au cinéma. On notera la courte participation de Madonna qui en sus interprète la chanson du générique. Pierce Brosnan s’il n’a pas pu prolonger sa participation à une saga dans laquelle il évoluait comme un poisson dans l’eau, aura sans doute été le James Bond idéal, ralliant sur sa personne toutes les qualités de ses prédécesseurs et même une petite part de la brutalité marmoréenne de son successeur.
. Le sujet plutôt en rupture avec les trames habituelles de la saga se laisse regarder avec plaisir même si l’on peut regretter le penchant de plus en plus évident de vouloir faire de Bond un super héros à l’image des figures de comics qui commencent à faire fureur à Hollywood. Mais l’arrivée explosive de Halle Berry sortant de l’eau telle Ursula Andress dans « Docteur No » suffit à réconcilier la gent masculine avec toutes les imperfections de ce 20ème épisode. Miss Berry mise à part, le spectateur pourra être satisfait des quelques bonnes surprises réservées par un scénario qui ne ménage pas sa peine, quitte à être parfois un peu confus, pour fêter dignement les quarante ans de James Bond au cinéma. On notera la courte participation de Madonna qui en sus interprète la chanson du générique. Pierce Brosnan s’il n’a pas pu prolonger sa participation à une saga dans laquelle il évoluait comme un poisson dans l’eau, aura sans doute été le James Bond idéal, ralliant sur sa personne toutes les qualités de ses prédécesseurs et même une petite part de la brutalité marmoréenne de son successeur.
Un des plus mauvais James Bond qui me fut donner de voir... Y a pas plus à dire
Le plus mauvais des james bond ( non en faite ils ont sorti quantum of solace depuis). je comprend que pierce brosnan est arreter après celui la car il a remarquer que les producteurs et realisateur lui faisait faire n'importe quoi car ce n'est pas sa prestation dans le film qui est si mauvaise que ca, c'est surtout que l'on s'ecarte d'un james bond. sans saveur.
caro18
Un James Bond torturé dans un film divertissant.
ConFucAmuS
Quatrième James Bond pour Pierce Brosnan, et le premier de l'ère post-11 Septembre. Que faisait-il donc ce jour, où le monde à fait connaissance avec une nouvelle forme de terrorisme? Ceux qui espéraient une vraie remise en question de la légitimité du plus célèbre des espions en seront pour leur frais. Par le biais d'une astuce scénaristique, on découvre que Bond est resté enfermé et torturé pendant que le monde basculait. C'est bien pratique, mais purement vain. Car non seulement l'excuse est facile, mais apparemment, le MI6 comme son meilleur agent semblent ne pas être au courant du malaise qui a secoué la planète. Du coup, que fait-on? Eh bien on célèbre les 40 ans de notre bon(d) ami. Et comme il est plus qu'évident que lors d'un anniversaire, il ne faut pas pourrir l'ambiance, on ne parle pas de vraies choses. Le 11 Septembre? On oublie pour l'instant, regardons ailleurs. C'est à dire? Vers une intrigue digne des Roger Moore, aussi inoffensive que bourrine. Nous faire avaler l'ignorance des services secrets était déjà difficile, alors maintenant imaginez que l'équipe du film n'a pourtant pas occulté la montée du numérique, les triomphes de Matrix ou de Mission: Impossible 2, la saga concurrente. Là, ça fait vraiment beaucoup de choses à accepter sans sourciller. Il semble malgré tout qu'on ne devrait pas s'étonner de voir Pierce Brosnan faire du surf au beau milieu de glaciers, de cette histoire de transformation faciale, de ce combat au milieu de lasers. Pourtant, on s'étonne. Où est passé le James Bond qu'on remettait en cause dans le brillant Goldeneye(1995)? Où est donc passé cette volonté de rester connecter au monde réel? Car même si Demain ne meurt jamais(1997) et Le monde ne suffit pas (1999) n'ont pas su égaler le premier volet du "cycle Brosnan", ils ont toujours au moins essayé de rester en lien avec l'actualité. Mais bon, une remise en question post- Guerre Froide semble avoir suffit. Donc, pas besoin de faire une piqûre de rappel à une période où le monde a brusquement changé? Apparemment oui. On se contentera donc d'un volet désincarné, car trop occupé à faire jeu égal avec les nouveaux venus dans le domaine de l'action. Ce qui paradoxalement contribue à ringardiser encore plus 007. Dans cette intrigue, mêlant action et fantastique, on est plus proche de Moonraker et Octopussy, à notre grand regret, qu'à Bon Baisers de Russie ou...Goldeneye. On sent que Brosnan ne sait plus trop sur quel pied danser, et il se débat comme il peut le bougre. Qu'il se rassure, il reste impeccable. Halle Berry assure bien dans le rôle de la "James Bond girl qui en a" malgré quelques moments limites. Toby Stephens est pas mal dans la peau de la némésis. Mais voilà, c'est bien tout ce qu'on a à se mettre sous la dent pour cet anniversaire, bourratif et indigeste. Il était temps que Daniel Craig prenne la succession.
Un des plus mauvais James Bond : Hale Berry pas crédible, une voiture invisible, un grand laser venu du ciel.. James Bond torturé.. non mais oh.
Pour moi c'est l'un des meilleurs James Bond. Meurs un autre jour est vraiment bien rythmé et les scènes d'actions sont spectaculaire et s'enchainent bien. L'histoire, qui sans être extraordinaire, ce laisse suivre avec plaisir.
Un excellent James Bond avec Pierce Brosnan. Ce film évoque la dictature de la Corée du Nord. Cela nous replonge en pleine guerre froide. La bande originale du générique est chanté par Madonna. Halle Berry joue très bien son rôle de james bond girl. Cette fiction évoque aussi la dictature de Cuba.
Vraisemblablement l'un des pires James Bond avec Pierce... Ridicule de bout en bout, lorgnant vers de la SF bas de gamme, complêtement incohérent, et par dessus tout des scènes d'actions complétement loupé, qui décridibilisent complêtement Brosnan (ahh cette scène de combat à l'épée molle comme un épisode de Derrick !)
Cinéphiles 44
Halle Berry, Rosamund Pike et Madonna entourent Pierce Brosnan pour son dernier rôle de James Bond. Belles voitures (Ford Fairlane, Aston Martin, Jaguar), escrime, saut en parachute, armes à feu, combats à mains nues, station de métro abandonné, course poursuite en Hovercraft, gadgets, palais de glace, smokings, canon laser dans le ciel...le tout dans une bande son qui décape et une énergie folle.
weihnachtsmann
Action, spectacle et exotisme sont au menu du film.
Mention spéciale au combat de lames et à la poursuite sur la glace. Franchement impressionnant !!!!
PB mérite bien son pédigrée.
Mention spéciale au combat de lames et à la poursuite sur la glace. Franchement impressionnant !!!!
PB mérite bien son pédigrée.
Les James Bond avec Pierce Brosnan sont clairement en fin de course depuis l'épisode précédent. Plutôt mou et sans originalité, celui-ci ne relève pas le niveau malgré la sortie de mer de Halle Berry. Un peu d'action, un peu de technologie, le cocktail habituel... Des dialogues très "macho des années 2000" et de mauvais effets spéciaux. Pas terrible.
Un 20e épisode divertissant avec un scénario qui combine action et humour à un rythme soutenu, porté par l'interprétation classieuse de Pierce Brosnan et par l'apparition plantureuse d'Halle Berry qui ressuscite le mythe d'Ursula Andress.
spoiler:
C'est l'histoire d'un film dans lequel notre globe trotter fait du surf au beau milieu de l'arctique.
- Cette critique contient des spoilers -
Un opus qui creuse le sillon de sa saga : des gadgets parfaitement calibrés pour sauver la vie de notre espion dans la scène suivante, des scènes d'actions entre spectaculaires et ridicules et des plans de méchants 100% ridicules. Les James Bond girls sont toujours aussi jolies et à la fin c'est toujours 007 qui gagne.
Plus je vois des James Bond mieux je comprend ce qui me gêne, la misogynie bien sûr, le fait que les scènes d'actions partagent avec les Marvels cette incapacité à créer de la tension par leur absurdité, leur viol des lois élémentaires de la physique, l'invulnérabilité du héro et leur kitsch involontaire. Enfin et surtout James Bond, sa froideur, ses répliques éclatées au sol et sa frénésie à consommer les femmes m'est très antipathique.
La séance de torture de Halle Berry est gentiment ridicule et m’a rappelé la danse des robots du Futuroscope. Très en phase avec la bande son électrodaube de Madonna d'ailleurs. On note que la seule femme qui résiste à Bond est forcément une traîtresse. On n'essaye plus de comprendre la puissance du rayon laser, variable selon les scènes, le pourquoi de la voiture invisible ni comment peut-on mettre 2 tonnes de munition dans une Jaguar et une Aston Martin invisible.
Je retiendrais de Die Another Day les retournements de situation sur l'identité des deux méchants que je n'ai vu venir que peu de temps avant leur révélation, beaucoup moins les dialogues digne d’un film érotique de série B.
- Cette critique contient des spoilers -
Un opus qui creuse le sillon de sa saga : des gadgets parfaitement calibrés pour sauver la vie de notre espion dans la scène suivante, des scènes d'actions entre spectaculaires et ridicules et des plans de méchants 100% ridicules. Les James Bond girls sont toujours aussi jolies et à la fin c'est toujours 007 qui gagne.
Plus je vois des James Bond mieux je comprend ce qui me gêne, la misogynie bien sûr, le fait que les scènes d'actions partagent avec les Marvels cette incapacité à créer de la tension par leur absurdité, leur viol des lois élémentaires de la physique, l'invulnérabilité du héro et leur kitsch involontaire. Enfin et surtout James Bond, sa froideur, ses répliques éclatées au sol et sa frénésie à consommer les femmes m'est très antipathique.
La séance de torture de Halle Berry est gentiment ridicule et m’a rappelé la danse des robots du Futuroscope. Très en phase avec la bande son électrodaube de Madonna d'ailleurs. On note que la seule femme qui résiste à Bond est forcément une traîtresse. On n'essaye plus de comprendre la puissance du rayon laser, variable selon les scènes, le pourquoi de la voiture invisible ni comment peut-on mettre 2 tonnes de munition dans une Jaguar et une Aston Martin invisible.
Je retiendrais de Die Another Day les retournements de situation sur l'identité des deux méchants que je n'ai vu venir que peu de temps avant leur révélation, beaucoup moins les dialogues digne d’un film érotique de série B.
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