Un jeu d’enfants est un film de genre français réalisé par Laurent Tuel en 2001 et c’est aussi le premier des 5 films qu’à réaliser le label « Bee Movie ».. Ce film dispose d’un casting décevant au niveau des interprétations et des prestations fournis (par l’intermédiaire de Charles Berling et Marianne Viard, les 2 parents)qui dans un film tel que celui-ci mériterait au moins que les acteurs prennent le risque de « sur-jouer » le film pour masquer tout ces incohérences scénaristiques s’essayant à l’original et aux révélations qui ici, sont déjà révélés inconsciemment sans trop le savoir et cette mise en scène à la limite du ridicule, véritable film de série B, les enfants que sont Camilla Vatel et Alexandre Bongibault s’essayent à être inquiétant, en vain. L’on reconnait bien de par ce film le style francophone (par son décor, ses jeux d’acteurs et d’autres détails). Le film s’inspire maladroitement du film « La Malédiction ». Le film nous laisse jongler avec nos hésitations à savoir les enfants sont-ils possédés ?(Et dans ce cas-ci suite au comportement des petits j’appelle mais juste des abrutis) ou est-ce juste les parents qui perd la boule ? Malheureusement, il est évident que ce film n’est pas assez professionnel débordant juste d’un souhait de faire un film de genre pour une fois français car en 2001 on les comptait sur les doigts (aujourd’hui avec 2 mains c’est suffisant…) Juste une bonne scène selon-moi est à retenir, celle du père Jacques qui dans les toilettes de son entreprise se défoule et libère toute cette haine, vraiment bien orchestré (non pas par cette violence quelque peu masqué) mais par la mise en scène vraiment original et efficace de cette scène. Concernant le reste, ce film est une vraie déception d’autant plus que ce thème des enfants possédées, démoniaques ou psychopathes est mon préféré et après des chefs d’œuvre comme Esther, Le Cas 39, L’Exorciste, Eden Lake, Hard Candy, on en ressort évidemment un film mou et c’est le premier de ce thème qui arrive à me décevoir, dommage !
Un Jeu d’Enfants bénéficie d’un casting bien senti et distille une ambiance lourde et pleine de non-dit malgré (ou grâce à ?) sa mise en scène minimaliste. Néanmoins, le manque flagrant de rythme et d’originalité empêche ce film de rester dans les annales.
Très bon film d'épouvante jouant principalement sur les nerfs du spectateur, des moments de frissons qui nous font froid dans le dos. L'histoire est pasmal mais pas original non plus, les jeux d'acteurs sont convaincant et la bande son rend le film encore plus angoissant.
Film "d'épouvante" tout à fait correct, "Un Jeu d'Enfants", de Laurent Tuel, peut s'appuyer sur un duo d'acteurs de qualité, et plus particulièrement Karine Viard, qui prouve une fois de plus qu'elle excelle dans bien des styles... Les enfants, du genre stoïques, sont également convaincants, et finissent même par en devenir inquiétants. Le scénario est quant à lui assez classique, mais son côté tarabiscoté fait se poser continuellement des questions au spectateur, quoique l'épilogue le laissera sans doute dubitatif. Côté réalisation, l'atmosphère est là, certains plans sont stylés ; en revanche, le montage est plutôt laborieux. Bon, par contre, les dialogues sont sans intérêt et le rythme un peu lent, ce qui n'est pas très bon signe sur un film de moins d'1h20...
Ce film engage des promesses non tenues. Ni l'ambiance, ni les événements ne provoquent un quelconque émoi chez le spectateur. Malgré cela, on regarde, pour Karin Viard et Charles Berling qui tentent de sauver le film.
Un sympathique film français, qui laisse bien monter le suspense avec une peur croissante, qui grimpe de plus en plus. Les gosses jouent bien, mon principal argument pour les 3 étoiles. Mais sinon, j'ai toujours rien compris à l'histoire, si c'est une histoire de possession, où si ce sont des substitutions de gosses, car le film n'explique rien. Ca n'intéresse pas le réal. Mais moi, ça m'aurait intéressé. Dommage.
A trop vouloir se la péter parigot-intello on en vient à se prendre à son propre piège: celui de ne plus savoir apprécier le genre horreur fantastique et compagnie à sa juste valeur... Des films aux qualités artistiques indéniables qui parfois ou régulièrement vehiculent des idées, avouons-le. Pour ce jeu d'enfants, oubliez le genre, on a ici un film français, et cela change tout. L'histoire est forte de son classicisme, propre aux productions désargentées, où pour seuls effets spéciaux vous aurez droit à un faux incendie... Le reste est affaire de maux de tête, schizophrénie, hallucinations de caméras ou de je ne sais quoi issu des maladresses des vieilles productions carton-pâte. Mais ces remarques désobligeantes s'évanouirraient si l'élément moteur de l'angoisse et ou de la peur trouvait forme: l'ambiance. Une image froide et sombre ne parvenant pas à elle-seule à créer une ambiance adéquate, il convient malheureusement de tirer les conclusions qui s'imposent. C'est râté, tout les comme les critiques professionnels.
Un thriller qui veut nous suggérer la peur mais qui parvient difficilement à créer quelques moments de tension. Beaucoup trop de question sans réponses et d'incohérences.
Avant son célèbre « Jean-Philippe », Laurent Tuel se fait connaître au cinéma par cet étrange film « un jeu d’enfants » qui est une impressionnante copie de « Shining » ! (les deux enfants, les plans dans les couloirs, un père qui devient fou...) d’une part ! Et d’autre part alors que le film s’introduit bien comme il faut, il tombe ensuite dans le cliché : un couple étrange passe à la maison et c’est le début des emmerdes ! On aura par la suite aucun développement sur la folie des membres de la famille et de ce qu’il s’est passé d’étrange dans l’appartement : peu de scènes réellement horrifiques, une tension digne d’un Derrick puisque le film est absolument mou du genou niveau rythme (scène de l’enquête policière, même Derrick aurait été plus rapide !) qui permet d’aboutir à un film qui passe atrocement vite ! Un espèce d’ovni dans le paysage cinématographique français en cette année 2001, ce film est a percevoir plus comme un drame qu’un film d’horreur notamment pour les crises de Karin Viard au bord du gouffre et qui est peut-être la seule à jouer correctement dans ce film ! On a l’a un pitch intéressant mais un rythme, une mise en scène et surtout un scénario à retravailler de toute urgence, qui en plus d’être mauvais peine à conclure et à apporter des réels sentiments d’horreur chez le spectateur ! Points positifs : le jeu de Karin Viard, la lumière gérée avec brio qui permet de beaux plans et les certains plans surréalistes d’un malaise et d’une beauté effroyable !
un pur chef d'oeuvre! il mérite sa place dans ma vidéothèque a coté du sacré graal! enfin, la ou les monthy python faisaient une déconstruction absurde et volontaire d'un genre, ce jeu d'enfants collectionne es clichés du fantastique pour en démontrer involontairement l'absurdité...
j'ai commencé par m'ennuyer devant ce non-scenario qui essaye d'instaurer du suspense avec des gamins qui jouent aux 7fammilles (véridique), quand j'ai compris que ce film avait de bonnes intentions mais transmises par des incompétents
entre les dialogues magitraux comme "dépéchez vous les enfants il va pleuvoir" les scenes incompréhensibles et bien évidemment les scenes de meublage.... en plus du jeu de carte en direct, on a le droit à une scène que les mots ne suffiraient pas à décrir...
plan fixe sur viard sur son balcon, plan fixe sur la rue (vide), plan fixe sur viard, plan fixe sur la rue ( ya des figurants qui sont revenus) plan fixe sur viard, plan fixe sur la rue, plan fixe sur viard (heureusement ca s'arretela); d'autant que les plans sont assez longs pour faire mourir une pierre d'ennui..
ya les film qu'pn comprend, ya les films qu'on coprend pas; ya les films qu'on aime et ceux qu'on aime pas; ya les bons films et les mauavais films; celui ci se place dans les films dont les intentions sont incompréhensibles et la forme assez mauvaise pour rn faire un chez d'oeuvre magistral de cohérence dans l'absurde! le nanar ultime pour ceux qui ne conaissaient pas le concept... n'hésitez que si vous voulez avoir per... vous ne serez pas décus pour le rire!