Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Bande à part
par Olivier Pélisson
De lynchage sur le bitume en lutte en cage d’escalier, de frénésie dans une galerie marchande en déclaration d’amour déglinguée, le ton Mariko séduit autant qu’il décontenance. Il convainc aussi par la force de sa mise en scène sans esbroufe ni crainte.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Monde
par Mathieu Macheret
On n’avait pas vu ça depuis Tokyo Fist (1995), de Shinya Tsukamoto, ou Kids Return (1996), de Takeshi Kitano : cette rage froide et sans retour, une énergie folle du désespoir, typique d’un certain cinéma japonais des années 1990, depuis mis en veilleuse, telle une grenade que l’on aurait oublié de dégoupiller.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Lelo Jimmy Batista
Tetsuya Mariko ne transforme véritablement l’essai qu’en dépassant le sujet, cherchant finalement davantage à dresser un portrait cru et sans limite de l’être humain, au sens le plus large. Lâche, faible, dégueulasse, impuissant, pétri de contradictions, luttant avec ses émotions et toujours prêt au pire. Impénétrable, parfois. Désarmant, souvent. Mais toujours terriblement fascinant.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Gilles Esposito
Mariko rejoint un certain cinéma japonais récent, mêlant des protagonistes à la pureté lunaire, une bonne dose de cynisme grinçant et des explosions de lyrisme incongru.
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
L’originalité du film tient à la façon dont il mêle des composantes de comédie romantique à une analyse plus théorique des moyens par lesquels une idée de la virilité peut se perpétuer au sein d’une société, des plus banals aux plus délirants.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Becoming Father ne s'effondre toutefois jamais, au contraire, parce qu'il parvient dans le même temps à capter le ridicule de l'égo masculin et du virilisme (...).
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
On peut considérer "Becoming Father" comme le plus lisible, le plus abouti, le plus directement critique des deux films de Mariko ; on peut paradoxalement penser, peut-être précisément pour ces raisons, qu'il est aussi le moins passionnant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Deux drôles d’objets, peu aimables, au naturalisme transfiguré par le jeu outré des acteurs, trop japonais peut-être pour que l’on en apprécie toutes les facettes. Adapté d’un manga à succès, « Becoming Father » est le plus intéressant. Prémices d’une œuvre singulière ou feux de paille ? Quoi qu’il en soit, de vraies curiosités.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Paris Match
par Yannick Vely
Si le «concept» peut lasser, le film monte crescendo dans les tours pour nous offrir une incroyable scène de baston dans un escalier dont l'issue fera son effet - surtout chez la gent masculine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Hubert Niogret
Tout en reconnaissant une énergie, un volontarisme, une franchise, une lucidité sociale, dans le style et l’approche de thèmes intéressants, on reste dans l’attente de films plus convaincants.
Première
par Thomas Baurez
A ce pessimisme, la mise en scène tout en grâce de Tetsuya Mariko apporte un salvateur contre-poids.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Si l’intrigue souffre de longueurs, on est embarqué dans la spirale de violence à laquelle succombe le héros et par la mise en scène, qui multiplie les audaces et les excès.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Bande à part
De lynchage sur le bitume en lutte en cage d’escalier, de frénésie dans une galerie marchande en déclaration d’amour déglinguée, le ton Mariko séduit autant qu’il décontenance. Il convainc aussi par la force de sa mise en scène sans esbroufe ni crainte.
Le Monde
On n’avait pas vu ça depuis Tokyo Fist (1995), de Shinya Tsukamoto, ou Kids Return (1996), de Takeshi Kitano : cette rage froide et sans retour, une énergie folle du désespoir, typique d’un certain cinéma japonais des années 1990, depuis mis en veilleuse, telle une grenade que l’on aurait oublié de dégoupiller.
Libération
Tetsuya Mariko ne transforme véritablement l’essai qu’en dépassant le sujet, cherchant finalement davantage à dresser un portrait cru et sans limite de l’être humain, au sens le plus large. Lâche, faible, dégueulasse, impuissant, pétri de contradictions, luttant avec ses émotions et toujours prêt au pire. Impénétrable, parfois. Désarmant, souvent. Mais toujours terriblement fascinant.
Mad Movies
Mariko rejoint un certain cinéma japonais récent, mêlant des protagonistes à la pureté lunaire, une bonne dose de cynisme grinçant et des explosions de lyrisme incongru.
Cahiers du Cinéma
L’originalité du film tient à la façon dont il mêle des composantes de comédie romantique à une analyse plus théorique des moyens par lesquels une idée de la virilité peut se perpétuer au sein d’une société, des plus banals aux plus délirants.
CinemaTeaser
Becoming Father ne s'effondre toutefois jamais, au contraire, parce qu'il parvient dans le même temps à capter le ridicule de l'égo masculin et du virilisme (...).
Culturopoing.com
On peut considérer "Becoming Father" comme le plus lisible, le plus abouti, le plus directement critique des deux films de Mariko ; on peut paradoxalement penser, peut-être précisément pour ces raisons, qu'il est aussi le moins passionnant.
L'Obs
Deux drôles d’objets, peu aimables, au naturalisme transfiguré par le jeu outré des acteurs, trop japonais peut-être pour que l’on en apprécie toutes les facettes. Adapté d’un manga à succès, « Becoming Father » est le plus intéressant. Prémices d’une œuvre singulière ou feux de paille ? Quoi qu’il en soit, de vraies curiosités.
Paris Match
Si le «concept» peut lasser, le film monte crescendo dans les tours pour nous offrir une incroyable scène de baston dans un escalier dont l'issue fera son effet - surtout chez la gent masculine.
Positif
Tout en reconnaissant une énergie, un volontarisme, une franchise, une lucidité sociale, dans le style et l’approche de thèmes intéressants, on reste dans l’attente de films plus convaincants.
Première
A ce pessimisme, la mise en scène tout en grâce de Tetsuya Mariko apporte un salvateur contre-poids.
Le Journal du Dimanche
Si l’intrigue souffre de longueurs, on est embarqué dans la spirale de violence à laquelle succombe le héros et par la mise en scène, qui multiplie les audaces et les excès.