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Votre avis sur Les Algues vertes ?
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Un polar écolo engagé et partisan sur la problématique des algues vertes en Bretagne. L'interprétation est impeccable, Céline salette est très convaincante, celle qui joue sa compagne également. L'intrigue et l'enquête sont fouillées, le suspense et les investigations très présents. On pourra regretter 20 mn de trop et un parti pris est un peu trop caricatural mais on reste sur un bon film français
Un film français, issue du livre "Algues vertes, l'histoire interdite", est en ce moment au cinéma. Tirée d'un fait réel, l'histoire est donc passionnante, très intéressante. Cependant la réalisation est vraiment bas de gamme, on pourrait penser à un film avec peu de budget, mais il comptabilise quand même 3,7 millions d'euros. Un montant assez élevé quand on voit la qualité du film. On sent la pauvreté de la réalisation à travers le film, il y a notamment la présence de faux raccords assez visible. Ceci dit l'aspect comique, quelque fois utilisé marche fortement bien et les acteurs sont tout à fait correctes. Le scénario/ l'histoire est le moteur du film, ce qui le rend si bon, de plus venant d'une histoire vraie. Le schéma est certes assez répétitif, par le billet [spoiler]des différentes interviews données par le personnage principal [spoiler] mais chaque scène a toujours une utilité, un rôle dans l'histoire. C'est le coeur du film, la mission de cette journaliste qui sera agrémenté de différentes péripéties intervenant durant son périple. Un film a voir pour la beauté de son histoire.
J'aime généralement beaucoup le cinéma de Pierre Jolivet. Mais si je trouve ce film utile, il n'est à mon sens pas réussi. Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas aller le voir : je sépare juste le sujet - fort intéressant - et la façon de le développer cinématographiquement. Plombé par des dialogues parfois étonnamment plats (que même l'excellente Céline Sallette n'arrive pas à sauver) et quelques comédiens au jeu approximatif, j'ai eu le sentiment que Jolivet était prisonnier du livre, trop affairé à respecter l'enquête de la journaliste, ( l'erreur fut peut-être de co-écrire le film avec elle), à vouloir nous expliquer bien les choses, à être trop didactique ( Halala, ce passage maladroit sur le plan Marshall, le remembrement… ). On frise le docu-fiction. Mais où est le cinéma là dedans ? Alors peut-être que oui, ce n'est pas important, que c'est le fond qui compte et que tout le reste n'est qu'accessoire. Peut-être. Quoi qu'il en soit, je souhaite au film d'engranger les entrées…
J'étais très intéressé par le sujet, et la bande-annonce avait réussi à me convaincre. J'ai été déçu. Vous connaissez peut-être ce genre de personnes, particulièrement irritantes : celles qui, au lieu de vous envoyer par MMS l'image d'un objet quelconque, vous envoient un selfie dans lequel leur visage occupe les trois quarts de l'image, et l'objet, qu'elles tiennent à la main, n'est qu'un petit détail. C'est exactement l'impression que ce film me laisse : un sujet intéressant, une documentation qui mérite le détour, mais tout cela n'est finalement que le prétexte pour parler du personnage (qui est également l'auteur du scénario, et de toute évidence sa propre personne est un thème qui la passionne), de sa découverte du problème des marées vertes, de son rapport personnel à ce sujet, de son couple confronté à ses recherches sur ce sujet, de son chien ... mais finalement très peu, trop peu, des algues vertes elles-mêmes, de leurs causes de leurs origines, de l'omerta qui les entoure. Bref : ce qui était vendu comme une enquête ou de docu-fiction est en réalité une sorte de drame intimiste lent, dans lequel le sujet principal n'est évoquée que par petites touches, ici et là, et jamais vraiment en profondeur.
Mais le film n'est même pas bon en tant que film intimiste : l'écriture des personnages est creuse et monolithique : Inès est toujours vertueuse, convaincue qu'elle a raison, courageuse; Judith est toujours aimante, toujours d'humeur égale, toujours pleine de compréhension : il n'y a ni subtilité, ni conflit émotionnel, ni toutes ces petites contradictions qui font qu'un personnage est humain et nous donne envie de développer de l'empathie pour lui. De sorte que la conclusion de l'histoire du couple, à la fin du film, tombe totalement à plat, puisqu'il n'y a jamais eu, au long de la narration, d'enjeu ni de conflit à résoudre.
Dans l'ensemble, l'écriture reste le problème principal. Des scènes entières ne servent à rien spoiler: (comme quand, à plusieurs reprises, après une scène significative, on a droit à Inès réexpliquant à Judith, quasiment mot pour mot, ce qu'on vient de voir à l'écran; ou encore la scène de la rivière ensanglantée, visuellement réussie et avec un certain effet choc, et même présente dans la bande-annonce ... et qui n'a ensuite AUCUNE conséquence dans la narration);
d'autres créent des attentes qui ne seront jamais réalisées spoiler: (le chien est longuement présenté, pour finalement ne jamais servir à l'intrigue; des rodeurs autour de la maison font monter une tension qui n'aboutira jamais à rien, etc.)
, d'autres encore spoiler: (la rencontre avec le dirigeant FNSEA, la discussion avec le gendarme...)
sont si mal jouées que ça en est dérangeant; certains conflits qui semblent majeurs spoiler: (comme l'histoire du rapport de gendarmerie)
sont finalement résolus hors-champ .... bref, en tant que narration cinématographique, c'est très mauvais.
Alors bien entendu, c'est un film basé sur des faits réels, à peine romancés. Certes. Mais justement. Il reste au milieu du gué, et c'est bien là le problème : en tant qu'oeuvre cinématographique, c'est un documentaire insatisfaisant, tout en étant une fiction particulièrement mal écrite. A rechercher le meilleur des deux mondes, on se trouve avec, sinon le pire, du moins le médiocre. Un vrai documentaire, un vrai polar ou un vrai drame personnel auraient été préférables à ce film qui ne sait jamais vraiment ce qu'il est et qui, au final, se perd et s'affadit sans jamais trouver son ton.
Pour autant, tout n'est pas à jeter : "Les Algues Vertes" n'est pas un mauvais film; juste un film moyen, un peu médiocre. Mais la photographie est belle, le jeu de Céline Sallette est agréable et convaincant (difficile à juger pour Nina Meurisse, desservie par un personnage qui, bien que principal second rôle, n'a aucune consistance ni personnalité) et quelques-uns des seconds rôles sont très bien campés.
Mais le film n'est même pas bon en tant que film intimiste : l'écriture des personnages est creuse et monolithique : Inès est toujours vertueuse, convaincue qu'elle a raison, courageuse; Judith est toujours aimante, toujours d'humeur égale, toujours pleine de compréhension : il n'y a ni subtilité, ni conflit émotionnel, ni toutes ces petites contradictions qui font qu'un personnage est humain et nous donne envie de développer de l'empathie pour lui. De sorte que la conclusion de l'histoire du couple, à la fin du film, tombe totalement à plat, puisqu'il n'y a jamais eu, au long de la narration, d'enjeu ni de conflit à résoudre.
Dans l'ensemble, l'écriture reste le problème principal. Des scènes entières ne servent à rien spoiler: (comme quand, à plusieurs reprises, après une scène significative, on a droit à Inès réexpliquant à Judith, quasiment mot pour mot, ce qu'on vient de voir à l'écran; ou encore la scène de la rivière ensanglantée, visuellement réussie et avec un certain effet choc, et même présente dans la bande-annonce ... et qui n'a ensuite AUCUNE conséquence dans la narration);
d'autres créent des attentes qui ne seront jamais réalisées spoiler: (le chien est longuement présenté, pour finalement ne jamais servir à l'intrigue; des rodeurs autour de la maison font monter une tension qui n'aboutira jamais à rien, etc.)
, d'autres encore spoiler: (la rencontre avec le dirigeant FNSEA, la discussion avec le gendarme...)
sont si mal jouées que ça en est dérangeant; certains conflits qui semblent majeurs spoiler: (comme l'histoire du rapport de gendarmerie)
sont finalement résolus hors-champ .... bref, en tant que narration cinématographique, c'est très mauvais.
Alors bien entendu, c'est un film basé sur des faits réels, à peine romancés. Certes. Mais justement. Il reste au milieu du gué, et c'est bien là le problème : en tant qu'oeuvre cinématographique, c'est un documentaire insatisfaisant, tout en étant une fiction particulièrement mal écrite. A rechercher le meilleur des deux mondes, on se trouve avec, sinon le pire, du moins le médiocre. Un vrai documentaire, un vrai polar ou un vrai drame personnel auraient été préférables à ce film qui ne sait jamais vraiment ce qu'il est et qui, au final, se perd et s'affadit sans jamais trouver son ton.
Pour autant, tout n'est pas à jeter : "Les Algues Vertes" n'est pas un mauvais film; juste un film moyen, un peu médiocre. Mais la photographie est belle, le jeu de Céline Sallette est agréable et convaincant (difficile à juger pour Nina Meurisse, desservie par un personnage qui, bien que principal second rôle, n'a aucune consistance ni personnalité) et quelques-uns des seconds rôles sont très bien campés.
que dire! concernant les algues vertes je n'ai rien appris . toutes les informations données peuvent êtres trouvées si on s'intéresse au sujet . quelques faussetés médicales et d'autres sujets sont abordés comme les pesticides , les déchets des usines agroalimentaires quel intérêt? il y a les bons et les méchants , pas de nuances .
Les agriculteurs et les coopératives sont accusés mais pas de remarque sur les centrales d'achats et les grandes surfaces qui imposent les prix . on évoque un peu le rôle des consommateurs .
l'image de l'agriculteur bio est idéalisée mais lui aussi semble vivre difficilement de son métier à moins qu'il faut avoir l'image de l'agriculteur bio vivant modestement , travaillant durement et être heureux . il faut probablement rappeler que l'agriculture bio utilise aussi des produits chimiques qui peuvent aussi aller dans les nappes phréatiques et qui peuvent être aussi toxique pour leur santé. ils sont aussi adhérents de coopérative .ils ne sont pas tous en vente directe . le sujet est vaste ....
j'ai regardé plus ce film comme le travail d'investigation d'un journaliste mais je n'ai pas réussi à êtr api
Les agriculteurs et les coopératives sont accusés mais pas de remarque sur les centrales d'achats et les grandes surfaces qui imposent les prix . on évoque un peu le rôle des consommateurs .
l'image de l'agriculteur bio est idéalisée mais lui aussi semble vivre difficilement de son métier à moins qu'il faut avoir l'image de l'agriculteur bio vivant modestement , travaillant durement et être heureux . il faut probablement rappeler que l'agriculture bio utilise aussi des produits chimiques qui peuvent aussi aller dans les nappes phréatiques et qui peuvent être aussi toxique pour leur santé. ils sont aussi adhérents de coopérative .ils ne sont pas tous en vente directe . le sujet est vaste ....
j'ai regardé plus ce film comme le travail d'investigation d'un journaliste mais je n'ai pas réussi à êtr api
Ai vu le dernier film de Pierre Jolivet, "Les algues vertes". Avant tout il faut séparer le fond de la forme. Evidemment que le scandale des algues vertes en Bretagne,
spoiler:
conséquence d'une agriculture intensive et dévastatrice spoiler:
, est a dénoncer haut et fort et en cela le scénario (tiré de l'enquête et du roman graphique d'Inès Léraud) rempli tout à fait son rôle tant il est didactique. spoiler:
Rapports d'expertise perdus, autopsies faites hors les temps, politiques corrompus, intimidation et menaces de mort spoiler:
... tous les ingrédients étaient réunis dans cette histoire véridique pour donner lieu à un film palpitant, haletant, un vrai thriller. Mais il n'en est rien. Pierre Jolivet se contente d'une illustration assez planplan. Il faut dire qu'il a eu beaucoup de mal à mener le tournage jusqu'à son dernier jour tant les autorités locales bretonnes lui ont mis des bâtons dans les roues pour que le film ne voit jamais le jour. Le sujet est suffisamment grave et important pour qu'un montage plus affuté et moins chronologique, un jeu plus ardent, une mise en scène plus travaillée donne naissance à autre chose qu'un téléfilm France 3 Bretagne. Céline Sallette est une excellente actrice mais ici son jeu est trop inégal et manque de puissance (Marina Foïs aurait été parfaite). Nina Meurisse ne joue que les faire valoir. Seule Julie Ferrier a une réelle présence, mais son rôle est assez court. Certaines scènes sont mal ficelées et interprétées (notamment celle de la rencontre avec le responsable de la FNSEA). Est-ce que le support cinématographique était le mieux adapté pour dénoncer une réalité que personne ne veut vraiment entendre ? Les "Chroniques Bretonnes" radiophoniques du personnage principal nous semblent bien plus palpitantes et habitées que ce long métrage dans lequel il y a plus de journalisme que de cinéma.
conséquence d'une agriculture intensive et dévastatrice spoiler:
, est a dénoncer haut et fort et en cela le scénario (tiré de l'enquête et du roman graphique d'Inès Léraud) rempli tout à fait son rôle tant il est didactique. spoiler:
Rapports d'expertise perdus, autopsies faites hors les temps, politiques corrompus, intimidation et menaces de mort spoiler:
... tous les ingrédients étaient réunis dans cette histoire véridique pour donner lieu à un film palpitant, haletant, un vrai thriller. Mais il n'en est rien. Pierre Jolivet se contente d'une illustration assez planplan. Il faut dire qu'il a eu beaucoup de mal à mener le tournage jusqu'à son dernier jour tant les autorités locales bretonnes lui ont mis des bâtons dans les roues pour que le film ne voit jamais le jour. Le sujet est suffisamment grave et important pour qu'un montage plus affuté et moins chronologique, un jeu plus ardent, une mise en scène plus travaillée donne naissance à autre chose qu'un téléfilm France 3 Bretagne. Céline Sallette est une excellente actrice mais ici son jeu est trop inégal et manque de puissance (Marina Foïs aurait été parfaite). Nina Meurisse ne joue que les faire valoir. Seule Julie Ferrier a une réelle présence, mais son rôle est assez court. Certaines scènes sont mal ficelées et interprétées (notamment celle de la rencontre avec le responsable de la FNSEA). Est-ce que le support cinématographique était le mieux adapté pour dénoncer une réalité que personne ne veut vraiment entendre ? Les "Chroniques Bretonnes" radiophoniques du personnage principal nous semblent bien plus palpitantes et habitées que ce long métrage dans lequel il y a plus de journalisme que de cinéma.
Très bonne cause et mise en lumière que ce problèmes d'algues vertes et la difficulté des agriculteurs d'y faire face. Malheureusement un peu perdu par une interprétation pas assez convaincante et des approximations sur les faits
que c'est long ! et ennuyeux ! (pour rester poli)
Drame, Thriller ?? pas du tout, c'est un documentaire, bien peu intéressant ; il serait passé à la télé, je ne l’aurais pas regardé
Drame, Thriller ?? pas du tout, c'est un documentaire, bien peu intéressant ; il serait passé à la télé, je ne l’aurais pas regardé
Film édifiant sur la façon dont l'Etat, les institutions et les lobbys industriels traitent les agriculteurs, les éleveurs, les consommateurs, les journalistes et polluent les rivières, les océans, la nature et impactent les êtres vivants qui la peuplent.
Film édifiant aussi sur l'omerta qui amène de nombreuses personnes à se taire et à faire le jeu de la FNSEA, des grands groupes industriels et des coopératives qui exploitent sans complexe la santé et le bien-être de leurs salariés et de leurs adhérents.
Les courageux journalistes comme Inès Léraud qui osent et ont le courage d'enquêter sur les pratiques scandaleuses de ces alliances nébuleuses permettent aux citoyens de comprendre la réalité sombre des actes par rapport aux belles paroles et intentions formulées.
Film édifiant aussi sur l'omerta qui amène de nombreuses personnes à se taire et à faire le jeu de la FNSEA, des grands groupes industriels et des coopératives qui exploitent sans complexe la santé et le bien-être de leurs salariés et de leurs adhérents.
Les courageux journalistes comme Inès Léraud qui osent et ont le courage d'enquêter sur les pratiques scandaleuses de ces alliances nébuleuses permettent aux citoyens de comprendre la réalité sombre des actes par rapport aux belles paroles et intentions formulées.
PLR
Un avertissement préalable à l’écran précise qu’il s’agit d’une œuvre de fiction mais inspirée par des évènements réels, les lieux et les personnages ayant été à l’occasion modifiés. Utile précaution juridique sans doute sur un sujet sensible mettant en scène plusieurs autorités publiques dont l’action (ou plutôt l’inaction sur le théâtre d’une guerre économique) n’est pas présentée sous son meilleur angle. Mea culpa, la région Bretagne est néanmoins partenaire du film. La présentation en avant-première de ce film dans les communes où il a été tourné a parfois été émaillée de protestations (d’agriculteurs). Et pendant le tournage, l’équipe du film a rencontré les pires difficultés pour déposer ses caméras en certains lieux. Voilà pour l’ambiance qui entoure ce film (de fiction donc ? hum…) sur le registre écolo lanceur d’alerte. Car les algues vertes dans le département des Côtes d’Armor (en volume, deuxième département d’élevage intensif porcin devant le Finistère), ce n’est pas de la fiction, c’est une réalité avec ses ressorts géopolitiques, économiques et sociaux. Le public Breton de ces régions côtières sera donc a priori attentif et réceptif puisque déjà sensibilisé au sujet. Peut-être moins évident, moins compréhensible pour le spectateur lambda qui n’arrivera pas forcément à prendre entièrement la mesure de… l’intrigue (encore que les choses sont très claires, trop !).
Céline Sallette se glisse dans la peau d'Inès Léraud pour retranscrire sur grand écran le travail de fourmi de la journaliste sur des morts suspectes en se rendant en Bretagne. On est ici dans une enquête d'investigation sur les méfaits de ces fameuses algues vertes. Pierre Jolivet signe un film cohérent adapté de la BD de celle-ci, où l'on peut voir cette femme se heurter dans un premier temps aux agriculteurs et élus locaux. Le constat écologique est glaçant et la frontière entre environnement et rendement est souvent ténue pour les exploitants. La FNSEA et les lobbys agricoles ne sont pas épargnés non plus, mais malgré l'abattage de Céline Sallette, cette oeuvre souffre de quelques baisses de régime préjudiciables à son intérêt. Hormis cela, le cinéaste a le mérite de mettre en lumière ce scandale sanitaire en Bretagne, et malheureusement ailleurs aussi.
Il faut aller voir Les Algues Vertes pour comprendre comment un système organisé peut étouffer une vérité qui dérange même les premières victimes. Sous la carte postale de la Bretagne que l'on aime tant, les problèmes à régler ensemble. Merci à ce film qui permettra peut être de résoudre des problèmes environnementaux pour le mieux être de tous. J'ai aussi été impressionnée par le travail et le courage de la journaliste, son combat est bien décrit.
Film militant dont je ne connaissais que très peu le sujet.
Pour prévenir, c'est plus un film sur l'enquête et la vie de la journaliste que réellement un film sur les dangers et l'omerta concernant les algues vertes. Ce n'est ni un défaut ni une qualité, mais il est important de le savoir pour ne pas être un peu déçu comme moi, qui attendait un film uniquement sur les dangers et l'historique des algues vertes (cela est présenté mais il ne représente que la moitié du film).
Ce film disposent de très bonnes qualités avec de très bon acteurs, des mises en scènes très bien faites, un rythme soutenu malgré les quelques années séparant le début de la fin de ce long-métrage.
Le soucis quand on souhaite présenter plusieurs années dans un film de moins de 2h est de se perdre dans les détails sans trop d'importance. Ce film arrive à ne pas trop tomber dans ce piège même s'il persiste des éléments parasitant l'histoire comme l'histoire de la rivière rouge qui est mentionnée sans être plus approfondi, et l'huile de moteur. Ce dernier point est montré comme un élément important pour la s
u
Pour prévenir, c'est plus un film sur l'enquête et la vie de la journaliste que réellement un film sur les dangers et l'omerta concernant les algues vertes. Ce n'est ni un défaut ni une qualité, mais il est important de le savoir pour ne pas être un peu déçu comme moi, qui attendait un film uniquement sur les dangers et l'historique des algues vertes (cela est présenté mais il ne représente que la moitié du film).
Ce film disposent de très bonnes qualités avec de très bon acteurs, des mises en scènes très bien faites, un rythme soutenu malgré les quelques années séparant le début de la fin de ce long-métrage.
Le soucis quand on souhaite présenter plusieurs années dans un film de moins de 2h est de se perdre dans les détails sans trop d'importance. Ce film arrive à ne pas trop tomber dans ce piège même s'il persiste des éléments parasitant l'histoire comme l'histoire de la rivière rouge qui est mentionnée sans être plus approfondi, et l'huile de moteur. Ce dernier point est montré comme un élément important pour la s
u
magnifique retranscription de la triste réalité. le pire c'est que rien n'a changé depuis. de nombreuses personnes sont impliquées dans cette omerta
Cela ressemble plutôt à un téléfilm. Assez plat : pas d'intensité dramatique, pas de lyrisme, pas de moment fort. Le thème est pourtant grave et aurait mérité mieux.
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