Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Aden
par Philippe Piazzo
Le film, d'une longueur égale à la durée de l'opéra de Puccini (deux heures), nous happe dès les premières mesures. Les voix sont magnifiques et les chanteurs se révèlent excellents acteurs
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Habité par une émotion qui lui appartient en propre et ne doit plus rien à l'hérédité culturelle qui précède son film, l'environne et la menace de toutes parts autant qu'elle l'alimente, Jacquot réinvente pour lui seul une liberté des formes (visuelles, sonores) qui fait battre nos coeurs.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La rédaction
En portant à l'écran l'oeuvre de Puccini, Benoït Jacquot réussit à ne signer ni un opéra filmé, ni un film d'opéra. (...) Le casting est un rêve. (...) Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Chronic'art.com
par Elise Bourges
(...) on entre de plain-pied dans l'univers du bel canto et l'on (re)découvre le sens exact et profond des paroles où l'émotion affleure à chaque note.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Figaro
par Jacques Doucelin
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Echos
par Annie Coppermann
Le réalisateur de La Fille seule n'aime pas l'opéra italien. Il a pourtant réussi une originale, émouvante et fidèle mise en images du célèbre opéra de Puccini.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Frédéric Bonnaud
Adaptant Tosca au cinéma, Benoît Jacquot prenait le risque du film-opéra, genre ingrat. Sa version, enregistrée en play-back, fera peut-être grincer les oreiles des puristes du bel canto mais réjouira les cancres cinéphiles.
Libération
par Eric Dahan
Par sa façon de jouer la carte du vérisme autant que celle du gadget conceptuel, Jacquot réussit à divertir tout en donnant le frisson, ce qui à Hollywood est généralement la recette du succès.
La critique complète est disponible sur le site Libération
MCinéma.com
par Rémy Batteault
Ce film opéra, en voulant un peu renouveler le genre, fait parfois fausse route, mais entendre cette musique vibrante (qui annonce la comédie musicale) reste un bonheur intact.
Première
par Jean-Baptiste Drouet
Technicien dans sa mise en scène, Jacquot a préféré le cinématographique au scénique, filmant les divas en gros plan, avec un cadre très serré et dans un décor épuré, privilégiant l'expressionisme des visages aux farandoles costumées d'une Traviata (Franco Zefirelli).
La critique complète est disponible sur le site Première
Urbuz
par Vincent Malausa
L'épure des scènes lyriques (...), le fait même qu'elles s'insèrent dans une mécanique un peu trop visible (les procédés de mise en abîme assez grossiers) permettent de dégager, dans un mouvement d'une saisissante pureté, la quintessence d'un cinéma de pure transcendance.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
L'Humanité
par Vincent Ostria
(...) Benoît Jacquot qui, à force de commandes, tourne des films moins personnels. Ses touches d'auteur, ses effets modernistes font un peu gadget (...) Mais les scènes d'opéra tournées dans des décors somptueux et épurés, la musique, et les interprètes, en particulier Angela Gheorghiu (Tosca) et Ruggero Raimondi (Scarpia), valent tout de même le détour.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Jean-Philippe Guérand
La force du film est de s'appuyer sur la partition et d'accepter ces deux conventions que sont le décor et le play-back. Sa faiblesse est qu'il risque de ne passionner que les initiés par sa sécheresse et son austérité.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
par Véronique Le Bris
Côté musique et chant, la partition est parfaite. Quant à la mise en scène, reconnaissons à Benoît Jacquot de ne pas s'être jamais limité à filmer un opéra, même si sa réalisation pêche par quelques maladresses et que sa direction d'acteurs souffre de trop de pesanteur.
Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
par François Gorin
C'est l'intensité furieuse, l'outrance expressionniste du muet qu'on retrouve ici sur ces visages aux voix feintes (...) La nuit lui apporte quelques beaux plans, les voix des maîtres chanteurs s'envolent, mais l'essentiel s'est déjà joué : l'opéra est devenu film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
Le film, d'une longueur égale à la durée de l'opéra de Puccini (deux heures), nous happe dès les premières mesures. Les voix sont magnifiques et les chanteurs se révèlent excellents acteurs
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Monde
Habité par une émotion qui lui appartient en propre et ne doit plus rien à l'hérédité culturelle qui précède son film, l'environne et la menace de toutes parts autant qu'elle l'alimente, Jacquot réinvente pour lui seul une liberté des formes (visuelles, sonores) qui fait battre nos coeurs.
Le Parisien
En portant à l'écran l'oeuvre de Puccini, Benoït Jacquot réussit à ne signer ni un opéra filmé, ni un film d'opéra. (...) Le casting est un rêve. (...) Magnifique.
Chronic'art.com
(...) on entre de plain-pied dans l'univers du bel canto et l'on (re)découvre le sens exact et profond des paroles où l'émotion affleure à chaque note.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Les Echos
Le réalisateur de La Fille seule n'aime pas l'opéra italien. Il a pourtant réussi une originale, émouvante et fidèle mise en images du célèbre opéra de Puccini.
Les Inrockuptibles
Adaptant Tosca au cinéma, Benoît Jacquot prenait le risque du film-opéra, genre ingrat. Sa version, enregistrée en play-back, fera peut-être grincer les oreiles des puristes du bel canto mais réjouira les cancres cinéphiles.
Libération
Par sa façon de jouer la carte du vérisme autant que celle du gadget conceptuel, Jacquot réussit à divertir tout en donnant le frisson, ce qui à Hollywood est généralement la recette du succès.
MCinéma.com
Ce film opéra, en voulant un peu renouveler le genre, fait parfois fausse route, mais entendre cette musique vibrante (qui annonce la comédie musicale) reste un bonheur intact.
Première
Technicien dans sa mise en scène, Jacquot a préféré le cinématographique au scénique, filmant les divas en gros plan, avec un cadre très serré et dans un décor épuré, privilégiant l'expressionisme des visages aux farandoles costumées d'une Traviata (Franco Zefirelli).
Urbuz
L'épure des scènes lyriques (...), le fait même qu'elles s'insèrent dans une mécanique un peu trop visible (les procédés de mise en abîme assez grossiers) permettent de dégager, dans un mouvement d'une saisissante pureté, la quintessence d'un cinéma de pure transcendance.
L'Humanité
(...) Benoît Jacquot qui, à force de commandes, tourne des films moins personnels. Ses touches d'auteur, ses effets modernistes font un peu gadget (...) Mais les scènes d'opéra tournées dans des décors somptueux et épurés, la musique, et les interprètes, en particulier Angela Gheorghiu (Tosca) et Ruggero Raimondi (Scarpia), valent tout de même le détour.
L'Obs
La force du film est de s'appuyer sur la partition et d'accepter ces deux conventions que sont le décor et le play-back. Sa faiblesse est qu'il risque de ne passionner que les initiés par sa sécheresse et son austérité.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Zurban
Côté musique et chant, la partition est parfaite. Quant à la mise en scène, reconnaissons à Benoît Jacquot de ne pas s'être jamais limité à filmer un opéra, même si sa réalisation pêche par quelques maladresses et que sa direction d'acteurs souffre de trop de pesanteur.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Télérama
C'est l'intensité furieuse, l'outrance expressionniste du muet qu'on retrouve ici sur ces visages aux voix feintes (...) La nuit lui apporte quelques beaux plans, les voix des maîtres chanteurs s'envolent, mais l'essentiel s'est déjà joué : l'opéra est devenu film.