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Même si tous les ressorts de ce films ne fonctionnent pas de façons identiques et que l'épilogue est un peu compliqué à comprendre, Vanilla sky est un des films inattendus de cette rentrée de janvier.
La critique complète est disponible sur le site Cine Libre
L'intrigue est parfois confuse mais les inconditionnels de Tom Cruise et Penelope Cruz, sa nouvelle compagne (...), auront le plaisir de les découvrir réunis à l'écran dans une folle et romantique histoire d'amour.
(...) c'est une impression de film miroir, auquel le réalisateur et son acteur principal ont pu intégrer toutes leurs obsessions, quitte parfois à mettre sur le bas côté l'efficacité diabolique du scénario original. Mais il est suffisamment bien mené pour qu'on se laisse prendre au jeu...
Cameron Crowe est resté remarquablement fidèle à l'histoire originale dont la complexité acrobatique a de quoi à la fois imposer le respect aux adaptateurs et encourager le spectateur à des visions répétées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le film est, bien sûr, réalisé avec soin ; on y trouve les derniers effets spéciaux. Volontairement plus explicite que l'original, il réussit à être confus sans dispenser ce plaisir des labyrinthes.
Ce remake américain du thriller espagnol Ouvre les yeux en est une version homogénéisée, rationalisée, bourrée de tubes pop rock jusqu'à la gueule. Joli mais impersonnel.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
CE REMAKE d'Ouvre les yeux, d'Alejandro Amenabar, est un défi au bon sens. (...) Les questions posées dès lors par le film (...) semblent renvoyer le réalisateur au statut d'un enfant qui découvrirait le pouvoir mensonger des images.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Autant de vignettes sonores nostalgiques et d'incitations au consumérisme culturel qui font parfois ressembler le film à un catalogue du Virgin Megastore.
Si le dénouement en valait la chandelle, on ne regretterait pas (trop) de l'avoir suivi dans ses méandres psychologiques fumeux. Comme ce n'est pas le cas -tout ça pour finir par une pirouette sur la cryogénisation-, on sort de Vanilla Sky assommé pour pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Une sorte d'hybride pauvre de Total Recall et de Mulholland Drive. Plus ambitieux qu'un produit hollywoodien de flux, le film souffre de deux maux apparemment contradictoires : la boursouflure et le vide.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Mêmes scènes, mêmes plans, mêmes manipulations mentales à plus grande échelle. Ce qui a changé: les dialogues et les interprètes sont devenus juste plus explicites... mais pas mieux.
Au sortir de ce micmac ruineux, on se dit qu'il a surtout fallu bien des efforts pour l'inventer et la mettre en vitrine parmi d'autres trophées, tous aussi nécessaires que bientôt indifférents.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Cine Libre
Même si tous les ressorts de ce films ne fonctionnent pas de façons identiques et que l'épilogue est un peu compliqué à comprendre, Vanilla sky est un des films inattendus de cette rentrée de janvier.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
L'intrigue est parfois confuse mais les inconditionnels de Tom Cruise et Penelope Cruz, sa nouvelle compagne (...), auront le plaisir de les découvrir réunis à l'écran dans une folle et romantique histoire d'amour.
MCinéma.com
(...) c'est une impression de film miroir, auquel le réalisateur et son acteur principal ont pu intégrer toutes leurs obsessions, quitte parfois à mettre sur le bas côté l'efficacité diabolique du scénario original. Mais il est suffisamment bien mené pour qu'on se laisse prendre au jeu...
Première
Cameron Crowe est resté remarquablement fidèle à l'histoire originale dont la complexité acrobatique a de quoi à la fois imposer le respect aux adaptateurs et encourager le spectateur à des visions répétées.
Aden
Le film est, bien sûr, réalisé avec soin ; on y trouve les derniers effets spéciaux. Volontairement plus explicite que l'original, il réussit à être confus sans dispenser ce plaisir des labyrinthes.
Chronic'art.com
Au-delà d'un succès au box-office, Vanilla sky consacre une fois de plus la toute puissance du cinéma américain. L'attaque des clones a déjà commencé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Ce remake américain du thriller espagnol Ouvre les yeux en est une version homogénéisée, rationalisée, bourrée de tubes pop rock jusqu'à la gueule. Joli mais impersonnel.
Le Monde
CE REMAKE d'Ouvre les yeux, d'Alejandro Amenabar, est un défi au bon sens. (...) Les questions posées dès lors par le film (...) semblent renvoyer le réalisateur au statut d'un enfant qui découvrirait le pouvoir mensonger des images.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Autant de vignettes sonores nostalgiques et d'incitations au consumérisme culturel qui font parfois ressembler le film à un catalogue du Virgin Megastore.
TéléCinéObs
Si le dénouement en valait la chandelle, on ne regretterait pas (trop) de l'avoir suivi dans ses méandres psychologiques fumeux. Comme ce n'est pas le cas -tout ça pour finir par une pirouette sur la cryogénisation-, on sort de Vanilla Sky assommé pour pas grand-chose.
Télérama
Une sorte d'hybride pauvre de Total Recall et de Mulholland Drive. Plus ambitieux qu'un produit hollywoodien de flux, le film souffre de deux maux apparemment contradictoires : la boursouflure et le vide.
Zurban
Mêmes scènes, mêmes plans, mêmes manipulations mentales à plus grande échelle. Ce qui a changé: les dialogues et les interprètes sont devenus juste plus explicites... mais pas mieux.
Libération
Au sortir de ce micmac ruineux, on se dit qu'il a surtout fallu bien des efforts pour l'inventer et la mettre en vitrine parmi d'autres trophées, tous aussi nécessaires que bientôt indifférents.