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    La Panthère des neiges
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    287 critiques spectateurs

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    Paul
    Paul

    2 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 décembre 2021
    Ce film est parfait, c'est un chef d'oeuvre. C'est d'une beauté indescriptible, qui requiert de la patience et tente de nous l'inculquer, pour accéder aux plus belles réalisations de la vie, et tout ça en poésie. Ça donne du recul sur ce qu'est la place de l'homme, un animal, parmi les autres animaux aujourd'hui. Les images sont sublimes, et le film est d'une richesse poétique incommensurable, avec un script pourtant léger. Un des films de l'année.
    Sami
    Sami

    6 abonnés 73 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 décembre 2021
    Les images sont super (superbes). Mais les dialogues sont S.U.P.E.R.F.L.U.S (trop de bla-bla narcissique). En bref, ce film n'est pas silencieux et n'a rien d'une panthère des neiges quand elle se déplace sur la neige (avec ses coussinets).
    Armando A
    Armando A

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 décembre 2021
    Deux ans après la lecture du passionnant récit du même nom, et la découverte du livre photo "Tibet : minéral animal" de Vincent Munier, ce film invite à contempler une nouvelle fois une réalité extraordinaire que l'on croirait tout droit issue de l'imagination des deux comparses.
    Ponctué de commentaires rares mais touchants, voire drôles certaines fois, ce film nous fait vivre l'aventure de plus près encore, à vibrer avec les personnages, à s'impatienter lors des affûts, à redouter la proximité des prédateurs, et, enfin, à jubiler à la vue du tant attendu félin.
    Le réalisateur prend le pari d'aborder la Nature par le Beau, en évitant tout discours moralisateur. Il nous renvoie à notre instinct sauvage révélé comme par le regard perçant et inquisiteur des bêtes qu'il a brillamment su immortaliser.
    Les images de ce film sauront certainement éveiller les consciences à l'écologie, non par culpabilité mais par amour du vivant.
    Un film bouleversant que je prendrai plaisir à revoir.
    Agl-Paris
    Agl-Paris

    1 abonné 23 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 décembre 2021
    J'ai été envahie par l'émotion devant ces si belles images sur grand écran, avec une bande son qui porte ce documentaire à merveille et les quelques mots dits parfois. Merci pour ce bijou.
    Jean-Sébastien Bernard
    Jean-Sébastien Bernard

    8 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 décembre 2021
    Une magnifique ode à la nature, à la patience et à l'émerveillement procurée par l'observation à l'affût de la vie sauvage et de l'environnement des plateaux tibétains.
    L'immersion avec Vincent Munier, dans sa quête photographique de capturer l'instant de sa rencontre avec la panthère des neiges et de cette recherche à plus de 5000 mètres d'altitude par des températures bien inférieures à 0 degrés Celsius, est prenante.
    La magie opère sur les différents plans alternant entre paysages splendides et arrêt photo sur la faune sauvage.
    En résumé, un documentaire prônant le respect de la nature et la patience et pointant également le décalage entre l'Homme et son environnement (comme n'en faisant plus vraiment parti).
    Aurégane Lemière
    Aurégane Lemière

    13 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2022
    Hier, j’ai été voir La Panthère des neiges de Vincent Munier et Marie Amiguet au cinéma. Il s’agit d’un documentaire au cours duquel on suit l’exploration des hauts plateaux tibétains avec Vincent Munier (photographe) et Sylvain Tesson (écrivain), à la recherche de la fameuse panthère des neiges. Ils sont tous les deux à l’affût, cachés, camouflés, à l’écoute du moindre indice, de la moindre trace animale, et s’arment de patience pour espérer apercevoir les animaux qu’ils recherchent. Les images vidéographiques sont alternées au montage avec les photos de Vincent Munier. Le parti pris est probablement celui de traiter le réel comme une image. En associant l’art cinématographique à l’art photographique, le montage semble chercher à faire de la nature même un art visuel. Comme s’il s’agissait de proposer aux spectateurs et spectatrices plusieurs strates visuelles : le paysage en premier lieu, ensuite le regard de Munier sur lui -les photographies-, et enfin, le point de vue du caméraman -les vidéos en plan large comprenant les deux protagonistes.

    Nous sommes invités à contempler la beauté de la nature, ainsi qu’à réfléchir à notre place, en tant qu’êtres humains, en son sein. Au-delà de ces éléments, nous pouvons déceler des problématiques sous-jacentes, notamment la question du visuel interrogée par le film. Comment aller au-delà du visuel ? Je voudrais commencer par vous raconter une anecdote du film. Au cours de son précédent voyage pour voir la panthère des neiges, Munier commençait à être découragé de ne pas trouver cette dernière et finit par rentrer bredouille en France. Deux mois plus tard, il regarde ses photos plus en détail. La panthère est sur l’une d’elles et il ne le savait pas. Il s’agit d’une photo d’un faucon sur une paroi rocheuse. Avec son pelage comparable à une tenue de camouflage, elle est invisible pour un œil non-averti. Ce qu’il cherchait tant à voir était en réalité sous son nez. La panthère l’observait. Il était l’objet d’étude et pas l’inverse. Nous pourrons ici pointer la réelle dichotomie entre le regardant et le regardé. La photographie agit comme un révélateur. Elle permet de voir ; de mieux regarder. Munier questionne ce que l’on voit à la surface des choses, et ce que l’on pense voir.

    Cette incapacité propre à l’être humain serait peut-être due à notre perte d’instinct. Le temps passe et nous nous éloignons de plus en plus de la nature ; nous perdons nos compétences animales naturelles. Cela vaut sur le plan physique comme c’est dit dans le film : « nous sommes les gros lourdauds de la nature ; on marche 300m en montagne et on est essoufflé alors que les grands bharals, par exemple, sont capables de courir longtemps et silencieusement ». Même différence pour les pièges photographiques. Vincent Munier en installe un pour trouver la trace de la panthère. Cela fonctionne ; elle passe devant la caméra. Mais au bout de quelques jours, on peut observer qu’elle vient dormir devant toutes les nuits. Cela n’est sûrement pas un hasard ; elle a ressenti la présence humaine. Qui surveille qui ?

    Le documentaire donne à voir la nature et les animaux qui sont alors d’une magnificence sublime. Le recul pris là-dessus, intégrant Sylvain Tesson et Vincent Munier au cadre, avec leurs équipements, leurs vêtements, les met en exergue comme des intrus. Pourquoi la présence d’un animal sur une photo de paysage participe à la beauté, alors que celle d’un humain gâche la photo ? L’idée que l’espèce humaine n’a plus sa place dans la nature devient flagrante. Les animaux sont en avance sur les humains. Ils savent, ils sentent, et pas nous. Ils voient, et pas nous. Ils sont à leur place, et pas nous.

    Selon moi, l’apparition dans le film n’est en aucun cas l’apparition de la panthère sous les yeux des humains comme on peut le penser au premier abord. Il s’agirait plutôt de l’apparition de l’humain là où il n’a rien à faire.

    🎵 à écouter “L’apparition/We are not alone” de Nick Cave et Warren Ellis.
    fleurt
    fleurt

    18 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 janvier 2022
    Sublime
    Magistral
    Une ode à la nature préservée à laquelle il est dommage que nous ne soyons pas tous sensibles
    A voir en grand écran
    Marika Vialis
    Marika Vialis

    6 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 décembre 2021
    Un film qui fait du bien à l'âme. Une ode à la vie sauvage et bien sûr, aux animaux, à commencer par la panthère des neiges. Vincent Munier et Sylvain Tesson nous embarquent tellement dans leur quête, qu'on a froid avec eux ! Le propos de ce documentaire soulève la question du sens de notre style de vie capitaliste, propre à toute société civilisée, si déconnectée du vrai poème de la nature.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 209 abonnés 7 512 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 décembre 2021
    Sur les hauts plateaux tibétains, le photographe animalier Vincent Munier entraîne l’écrivain Sylvain Tesson dans sa quête de la panthère des neiges. Le fauve fait office de légende tant cette dernière s’avère difficile à trouver. Leur patience est mise à rude épreuve durant cette traque inlassable, qu’il neige ou qu’il vente, les deux hommes se sont donnés pour mission de la débusquer. Sur leur route, les deux hommes font face aux terres désertiques & enneigées du Tibet, à la beauté incroyable des paysages et à des rencontres toutes plus mignonnes (Le Manul ou chat de Pallas) ou inquiétantes (les loups) les unes que les autres.

    La Panthère des neiges (2021) c’est surtout un affût de 90min, durant lesquelles les deux hommes se consacrent entièrement dans la quête de cet animal insaisissable. Un voyage qui les entraîne dans une quête aux conditions extrêmes, situé entre 4500 & 5000 mètres d’altitude et frôlant parfois les -28°C ! Marie Amiguet parvient à nous retransmettre cette incroyable épopée, grâce à des échanges passionnants entre Vincent Munier & Sylvain Tesson. Ce dernier en a même tiré un roman à l’issu de ce voyage (La Panthère des neiges, édité en 2019 chez Gallimard et couronné du "Prix Renaudot"), un roman qu’il nous fait partager en voix-off sur les superbes images de Marie Amiguet. Les paysages y sont sublimés et l’on ne cesse d’aller de découverte en découverte. Toute la faune sauvage du Tibet oriental se dévoile sous nos yeux, c’est un émerveillement de chaque instant (grands Bharal, chats de Pallas, marmottes, renards roux & renards du Tibet, antilopes, faucons, loups, bisons, hiboux, vautours, Pika du Ladakh, gazelles du Tibet, lièvres, yaks, ours, …).

    Un très beau voyage qui nous permet d’apprendre les vertus de la patience, à l’image de Sylvain Tesson qui se doit de ne faire plus qu’un avec la nature, patientant tant bien que mal jusqu’à ce que la panthère daigne enfin se montrer, face à un Vincent Munier habitué à ces conditions (planques interminables pour peu voire pas de résultat).

    Les images se passent de commentaire, c’est visuellement beau, voir hypnotiques et certaines rencontres marquent la rétine plus que d’autres, notamment le chat de Pallas et son incroyable démarche saccadée, sans oublier la toute première apparition de la panthère, celle qui nous aura fait languir pendant toute la durée du film.

    Une ode à la nature et à la contemplation, magnifié par les propos de Tesson et les images d’Amiguet & Munier.

    ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄
    velocio
    velocio

    1 303 abonnés 3 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 décembre 2021
    A la vision du film, on oublie vite le côté forcément un peu artificiel de sa genèse : on voit deux hommes qui, malgré le froid extrême, doivent malgré tout s’abstenir de bouger et on oublie qu’à côté, forcément, il y a une femme et un homme qui sont là pour les filmer. On s’amuse en constatant combien Sylvain Tesson donne parfois l’impression de s’ennuyer lors des longues périodes d’affût. Comme, durant le film, il fait des commentaires, cela donne : « Il faut avoir une sacrée vie intérieure pour les supporter ». Toutefois, il apprend aussi et, de ces moments d’observation, il déduit : « J’ai beaucoup voyagé, j’ai été beaucoup observé et je ne le savais pas ». Et puis, il y a le reste, le plus important, la vision magnifique d’une nature grandiose et celle d’un certain nombre d’animaux à la beauté exceptionnelle : des yaks sauvages, des renards du Tibet, des chirus appelés également antilopes du Tibet, des ours du Tibet, des manuls, également appelés chats de Pallas, et puis, bien sûr, parce que Sylvain Tesson a eu de la chance, cette fameuse panthère des neiges qui vient lui faire un petit coucou. Une nature, des animaux, dont le film, discrètement, nous fait sentir combien leur préservation est essentielle pour nous autres, humains. Tout cela accompagné par la musique de Warren Ellis, ce musicien australien membre du groupe The Bad Seeds, groupe accompagnateur de Nick Cave, lequel, à la fin du film, intervient vocalement dans la chanson « We are not alone » qui reprend un texte de Sylvain Tesson qui arrive à bien résumer le sujet du film :

    Ce monde a des oreilles et les rochers ont des yeux
    La nature aime se cacher
    Le monde est un buisson plein de regards de feu
    La nature aime se cacher
    J’ai beaucoup voyagé, j’ai été observé
    J’ai été observé et inconscient
    J’ai beaucoup voyagé sans me douter qu’on m’observait
    On n’est pas seuls (Bonne nouvelle pour la vie)
    ferdinand75
    ferdinand75

    549 abonnés 3 869 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 janvier 2024
    Beaucoup de poésie , pour ce film qui nous donne à voir la nature , comme on ne la voit pas souvent ,et surtout qui prend son temps. Une philosophie de la vie , de la communion avec la nature et du respect de l'autre . et bien sûr de très belles images , très bien filmé, un régal visuel.
    bobmorane63
    bobmorane63

    189 abonnés 1 964 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 janvier 2022
    Je l'attendais avec impatience ce documentaire parce que je suis fan de certains livres de Sylvain Tesson et aussi fan de ce que fait le photographe Réalisateur Vincent Munier l'éternel émerveillé de la nature et des animaux, en voyant cette oeuvre, "La panthère des eniges" le livre (prix Renaudot 2019) est bien retranscrit à l'écran dans son ensemble !!
    Doté de belles images avec une équipe réduite dans des conditions difficiles dans les montagnes du Tibet, Sylvain Tesson et Vincent Munier décident de s'aventurer dans les hauteurs Asiatiques pour trouver une espèce rare de la civilisation animale "La panthère des neiges". Sur leurs chemins, ils visionneront des animaux de toutes espèces (ours, bouques etc..) avec un regard et un parler comme deux enfants cultivés , discuteront écologie et pertes d'espèces animaux sur notre planète. Il y a de superbes paysages , de belles rencontres, une expérience humaine qu'on apprend acteur et spectateur. Certains passages du livre de Sylvain Tesson sont gommés à l'écran comme le deuil de sa mère décédée et la séparation de sa conjointe qu'a vécu l'écrivain. Bref un joli film qui nous apèse et fait voyager dans un monde peu connu de la civilisation humaine d'aujourd'hui.
    Charlotte28
    Charlotte28

    123 abonnés 2 002 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 décembre 2022
    Un rythme évidemment lent puisque la quête mise en images n'est autre que la contemplation respectueuse de la nature ainsi que l'apprentissage de l'attente offrant de magnifiques plans sur les paysages tibétains sublimés et leur faune captée avec une indubitable fascination. De rares commentaires inévitablement bien tournés scandent le séjour de ces hommes épris d'écologie (au sens étymologique). Et comment ne pas être fasciné(e) par l'apparition tant espérée de cette panthère neigeuse?!
    Dynastar21
    Dynastar21

    31 abonnés 438 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 décembre 2021
    Magnifique documentaire écrit et réalisé par Marie Amiguet et Vincent Munier dans lequel ce dernier, accompagné de Sylvain Tesson, partent sur les haut plateaux Tibétains sur la trace de la panthère des neiges. Pour tout amoureux des Félidés comme je le suis, ce film s'avère être une sublime découverte, une heure et trente-deux minutes de communion avec la nature et avec un mammifère peu connu car vivant dans des zones inhabitées et inhospitalières de la planète, à plus de 4500m d'altitude. Les images sont toutes plus belles les unes que les autres et les paysages lunaires de montagne sous différents aspects météorologiques rendent la quête du majestueux "grand félin" des neiges (ou "panthérinés" en opposition à la sous famille des "félinés" autrement dit "petits félins" comme le Lynx ou le Chat sauvage) toujours plus captivantes. Avec leurs mots, les deux protagonistes nous livrent également une réflexion philosophique sur l'homme, les animaux et la notion de patience ; celle-là qui fut nécessaire à la rencontre avec la panthère. Un très beau travail qui mériterait d'être largement diffusé dans les écoles pour éduquer de manière pragmatique simple les enfants à la protection de la nature et des animaux.
    Audrey L
    Audrey L

    636 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Quel film reposant, comme une parenthèse ouverte dans notre quotidien effréné, un moment pour respirer (par procuration) l'air frais des montagnes tibétaines (quels plans incroyables, on pourrait les encadrer chez soi), découvrir des animaux qu'on ne connaissait pas vraiment, et surtout repenser au rapport qu'on a avec la nature qui nous entoure...de moins en moins, justement. Sylvain Tesson, Vincent Munier et Marie Amiguet (camérawoman de l'expédition) s'embarquent dans une attente (un "affut") de plusieurs semaines afin d'essayer d'apercevoir celle qui est une légende dans les montagnes enneigées : la panthère. L'animal étant très sensible à l'approche de l'Homme, on nous fait prendre conscience rapidement que l'on n'aura que quelques minutes de vidéo à se mettre sous la dent, à la fin du film (grands profiteurs que nous sommes,à réclamer les images que le trio a mis des semaines à avoir !), mais on préfère cela largement, plutôt que de savoir qu'on a dérangé la Dame pour quelques gros plans à tout prix. On repense d'ailleurs au documentaire que Disney avait fait sur l'animal, avec ses 30 minutes de plans (alors que les tibétains eux-mêmes ont du mal à la voir une minute...) plutôt serrés, qui avaient cherché l’esbroufe plutôt que le respect de l'animal, et on préfère nettement ne la voir qu'une minute avec des explorateurs soucieux (et la Dame leur rend bien : voyez le show qu'elle fait devant leur caméra, incroyable générique de fin où l'on découvre tout le donnant-donnant du respect mutuel). Et en attendant, on ne s'ennuie pas, en réservant de très beaux plans des animaux locaux (yacks, chats sauvages, renards du Tibet, chouettes et passereaux... Tous déjà magnifiques). Évidemment les leçons de vie semblent toutes faites, mais elles n'en restent pas moins vraies, le rapport avec la Nature semble bien perdu, mais n'est pas une fatalité en soi (on peut toujours espérer). Ce documentaire presque silencieux, aux plans démesurés et aux animaux incroyables jusqu'à la Reine qui nous coupe le souffle dans le final, tout en La Panthère des neiges est reposant et dépaysant.
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