The Cloud in Her Room
Note moyenne
3,0
10 titres de presse
  • Le Monde
  • Transfuge
  • Télérama
  • Cahiers du Cinéma
  • Culturopoing.com
  • Les Fiches du Cinéma
  • Libération
  • Critikat.com
  • Positif
  • Première

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

10 critiques presse

Le Monde

par Mathieu Macheret

Ce coup d'essai marque par l'usage prodigieux qu'il fait d'un format a priori ingrat, la vidéo noir et blanc.

Transfuge

par Corentin Destefanis Dupin

"The Cloud in Her Room" est ce qu'on attend de la jeunesse et des premiers films - pas seulement une promesse, mais une recherche audacieuse et incarnée, débarrassée des fausses pudeurs et de la peur d'échouer.

Télérama

par Cécile Mury

D’une grande beauté formelle, ce récit erratique, prisonnier quelque part entre la pesanteur du passé et les incertitudes de l’avenir, parvient à faire surgir l’émotion, la vérité fragile d’un personnage, dans la froideur minérale de la ville.

La critique complète est disponible sur le site Télérama

Cahiers du Cinéma

par Vincent Poli

Cette captation des derniers échos de l’adolescence se révèle aussi un véritable film de fin du monde : Hangzhou, filmé la nuit et en noir et blanc, est une ville fantôme où les sorties en boîte de rares êtres humains dissimulent à peine un vague à l’âme généralisé.

Culturopoing.com

par Emmanuel Le Gagne

A travers ses parti-pris visuels hybrides, embrasant des styles contradictoires et déséquilibrés, mais animés par une envie de faire du cinéma, signe encourageant pour un premier essai, Zheng Lu Xinyuan sonde les états d’âme ambivalents de son héroïne à travers un parcours mental chaotique.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Les Fiches du Cinéma

par Gaël Reyre

Entre silences et allusions, ce premier film délicat propose une expérience esthétique singulière où l'émotion reste néanmoins en demi-teinte.

Libération

par Elisabeth Franck-Dumas

Ce premier long métrage d’une cinéaste et photographe de Hangzhou est filmé à la manière d’un journal, intimiste et impressionniste, en noir et blanc par le personnage principal, Muzi (Jin Jing), 22 ans, emplie de cette mélancolie propre à la sortie définitive de l’enfance et l’irrésolution qui suit.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Critikat.com

par Thomas Grignon

Il y a là une manière quelque peu affectée de jouer la carte de la dilatation temporelle.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Positif

par Hubert Niogret

La jeune Muzi (Jin Jing) déambule, filmée par une caméra qui cherche sa voie, entre différentes références pseudo-avant-gardistes, dans un noir et blanc encombré de quelques coquetteries de style comme les passages en négatif.

Première

par Thomas Baurez

On aimerait que ces pérégrinations nous envoûtent et procurent une sorte de vertige mais tout semble figé, posé là comme des objets sans âme. Dommage car certaines séquences ne sont pas dénuées de grâce.

La critique complète est disponible sur le site Première
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