Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce coup d'essai marque par l'usage prodigieux qu'il fait d'un format a priori ingrat, la vidéo noir et blanc.
Transfuge
par Corentin Destefanis Dupin
"The Cloud in Her Room" est ce qu'on attend de la jeunesse et des premiers films - pas seulement une promesse, mais une recherche audacieuse et incarnée, débarrassée des fausses pudeurs et de la peur d'échouer.
Télérama
par Cécile Mury
D’une grande beauté formelle, ce récit erratique, prisonnier quelque part entre la pesanteur du passé et les incertitudes de l’avenir, parvient à faire surgir l’émotion, la vérité fragile d’un personnage, dans la froideur minérale de la ville.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Cette captation des derniers échos de l’adolescence se révèle aussi un véritable film de fin du monde : Hangzhou, filmé la nuit et en noir et blanc, est une ville fantôme où les sorties en boîte de rares êtres humains dissimulent à peine un vague à l’âme généralisé.
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
A travers ses parti-pris visuels hybrides, embrasant des styles contradictoires et déséquilibrés, mais animés par une envie de faire du cinéma, signe encourageant pour un premier essai, Zheng Lu Xinyuan sonde les états d’âme ambivalents de son héroïne à travers un parcours mental chaotique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Entre silences et allusions, ce premier film délicat propose une expérience esthétique singulière où l'émotion reste néanmoins en demi-teinte.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Ce premier long métrage d’une cinéaste et photographe de Hangzhou est filmé à la manière d’un journal, intimiste et impressionniste, en noir et blanc par le personnage principal, Muzi (Jin Jing), 22 ans, emplie de cette mélancolie propre à la sortie définitive de l’enfance et l’irrésolution qui suit.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Thomas Grignon
Il y a là une manière quelque peu affectée de jouer la carte de la dilatation temporelle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Hubert Niogret
La jeune Muzi (Jin Jing) déambule, filmée par une caméra qui cherche sa voie, entre différentes références pseudo-avant-gardistes, dans un noir et blanc encombré de quelques coquetteries de style comme les passages en négatif.
Première
par Thomas Baurez
On aimerait que ces pérégrinations nous envoûtent et procurent une sorte de vertige mais tout semble figé, posé là comme des objets sans âme. Dommage car certaines séquences ne sont pas dénuées de grâce.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Monde
Ce coup d'essai marque par l'usage prodigieux qu'il fait d'un format a priori ingrat, la vidéo noir et blanc.
Transfuge
"The Cloud in Her Room" est ce qu'on attend de la jeunesse et des premiers films - pas seulement une promesse, mais une recherche audacieuse et incarnée, débarrassée des fausses pudeurs et de la peur d'échouer.
Télérama
D’une grande beauté formelle, ce récit erratique, prisonnier quelque part entre la pesanteur du passé et les incertitudes de l’avenir, parvient à faire surgir l’émotion, la vérité fragile d’un personnage, dans la froideur minérale de la ville.
Cahiers du Cinéma
Cette captation des derniers échos de l’adolescence se révèle aussi un véritable film de fin du monde : Hangzhou, filmé la nuit et en noir et blanc, est une ville fantôme où les sorties en boîte de rares êtres humains dissimulent à peine un vague à l’âme généralisé.
Culturopoing.com
A travers ses parti-pris visuels hybrides, embrasant des styles contradictoires et déséquilibrés, mais animés par une envie de faire du cinéma, signe encourageant pour un premier essai, Zheng Lu Xinyuan sonde les états d’âme ambivalents de son héroïne à travers un parcours mental chaotique.
Les Fiches du Cinéma
Entre silences et allusions, ce premier film délicat propose une expérience esthétique singulière où l'émotion reste néanmoins en demi-teinte.
Libération
Ce premier long métrage d’une cinéaste et photographe de Hangzhou est filmé à la manière d’un journal, intimiste et impressionniste, en noir et blanc par le personnage principal, Muzi (Jin Jing), 22 ans, emplie de cette mélancolie propre à la sortie définitive de l’enfance et l’irrésolution qui suit.
Critikat.com
Il y a là une manière quelque peu affectée de jouer la carte de la dilatation temporelle.
Positif
La jeune Muzi (Jin Jing) déambule, filmée par une caméra qui cherche sa voie, entre différentes références pseudo-avant-gardistes, dans un noir et blanc encombré de quelques coquetteries de style comme les passages en négatif.
Première
On aimerait que ces pérégrinations nous envoûtent et procurent une sorte de vertige mais tout semble figé, posé là comme des objets sans âme. Dommage car certaines séquences ne sont pas dénuées de grâce.