Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film lumineux, drôle et poétique, par-delà son tragique constat.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Culturopoing.com
par Emmanuel Le Gagne
Les quatre actrices (...) bouleversantes (...) apportent une bouffée d’air frais à une œuvre honnête qui a du mal à trouver un équilibre entre sa solennité et sa fantaisie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par François Forestier
Parfois théâtral, souvent émouvant, le récit est toujours porté par la conviction d’une injustice faite aux femmes. C’est un peu « Vol au-dessus d’un nid de coucou » version féministe.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par François Léger
Les Femmes du pavillon J est un vrai film d’actrices (les épatantes Assma El Hadrami, Jalila Talemsi, Imane Elmechrafi et Rim Fethi), naturelles et vibrantes. Mais la mise en scène apprêtée et le récit un peu trop larmoyant empêchent les (trop) nombreux sujets abordés par le scénario d’éclore.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
À travers le sort de quatre femmes, trois patientes et une médecin, réunies dans un hôpital psychiatrique de Casablanca, c’est toute la société marocaine qu’ausculte Mohamed Nadif dans ce deuxième long métrage qui fait la part belle à la sororité. Armé des meilleures intentions, il donne malheureusement l’impression de cataloguer les drames — inceste, mariage arrangé, deuil… — dans une mise en scène scolaire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Un film lumineux, drôle et poétique, par-delà son tragique constat.
Culturopoing.com
Les quatre actrices (...) bouleversantes (...) apportent une bouffée d’air frais à une œuvre honnête qui a du mal à trouver un équilibre entre sa solennité et sa fantaisie.
L'Obs
Parfois théâtral, souvent émouvant, le récit est toujours porté par la conviction d’une injustice faite aux femmes. C’est un peu « Vol au-dessus d’un nid de coucou » version féministe.
Première
Les Femmes du pavillon J est un vrai film d’actrices (les épatantes Assma El Hadrami, Jalila Talemsi, Imane Elmechrafi et Rim Fethi), naturelles et vibrantes. Mais la mise en scène apprêtée et le récit un peu trop larmoyant empêchent les (trop) nombreux sujets abordés par le scénario d’éclore.
Télérama
À travers le sort de quatre femmes, trois patientes et une médecin, réunies dans un hôpital psychiatrique de Casablanca, c’est toute la société marocaine qu’ausculte Mohamed Nadif dans ce deuxième long métrage qui fait la part belle à la sororité. Armé des meilleures intentions, il donne malheureusement l’impression de cataloguer les drames — inceste, mariage arrangé, deuil… — dans une mise en scène scolaire.