Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Christophe Honoré orchestre une reconquête, une expansion sans fin des puissances de la représentation répandant ses germes euphorisants sur notre monde malade.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce cri enthousiaste, le spectateur le reprend avec bonheur tant il est communicatif. Le seul regret qu’il ressent à la sortie du film est de ne pas pouvoir faire partie de ce groupe joyeux aussi joueur que travailleur.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Olivier Pélisson
Pour son treizième long-métrage à sortir en salle, Christophe Honoré joue avec le théâtre et le cinéma. Une épopée intime et collective, dans notre monde au timing bouleversé.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
On oscille entre jeu et improvisation dans une ambiance joyeuse de colonie de vacances.
CinemaTeaser
par Renan Cros
Guermantes est un film hybride, un film contrarié, empêché, qui ne cesse de se réinventer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Guermantes a la merveilleuse fluidité d’instantanés imprévisibles qui, mis bout à bout, dessinent un portrait de troupe et de talents. Le portrait est vif, léger et simple, d’autant plus plaisant que les comédiens s’amusent visiblement.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Des acteurs formidables, heureux, un message positif : Guermantes revigore le corps et l’esprit.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Marie-José Sirach
Une parenthèse (en)chantée en pleine pandémie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Un bel esprit est à l’œuvre, de fraternité, d’amitié, de solidarité, que Christophe Honoré capte d’un regard tendre.
Le Parisien
par Sylvain Merle
On plane avec cette troupe qui ne se résout pas à la séparation et continue à vivre selon sa devi se : « Simul et singulis », être ensemble et être soi-même.
Libération
par Anne Diatkine
Christophe Honoré multiple les décrochages pour réussir l’un de ses films les plus libres, les plus drôles, les plus impromptus et les moins cadenassés, qu’on s’intéresse ou non à la Comédie-Française ou au théâtre en général.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par La Rédaction
Il y a du panache et du talent devant la caméra d’Honoré qui rebondit ici avec brio en transformant un coup du sort en coup de maître avec un film hors-normes d’une vitalité réjouissante. Sans jamais se prendre au sérieux, avec une belle dose d’autodérision, il nous invite en toute sincérité du côté de la troupe.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Emily Barnett
Un essai libre, gai, improvisé, qui célèbre l'amitié dans le travail, et toujours d'actualité !
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Touchant et d’une grande richesse humaine.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
En 2020, la préparation de l’adaptation théâtrale du « Côté de Guermantes » de Proust, est suspendue pour cause de pandémie. Mais la troupe de la Comédie-Française décide de poursuivre les répétitions. Leur metteur en scène, Christophe Honoré, en tire un film splendide (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Oriane Jeancourt Galignani
C’est bien là la puissance secrète de ce film, certes, nous sommes dans l’été arrêté de la catastrophe pandémique, mais aussi dans le monde de Proust, entre le Ritz et les Champs-Elysées, dans le désir d’Anne Kessler pour Sébastien Pouderoux, de Sébastien Pouderoux pour Elsa Lepoivre, dans ces jeux d’amour et d’ivresse qui occupent toute une nuit.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Louis Guichard
La vie de la communauté se dévoile ainsi dans un subtil mélange de documentaire et de fiction, entre nuits partagées dans les loges, voire sur la scène, histoires d’ambition ou d’attraction, de désir ou d’amitié, de gueule de bois ou d’ivresse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Fabrice Prieur
Une belle et originale réalisation qui rebondit sur l’actualité tout en rendant hommage au théâtre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Charlotte Garson
Le côté glissant de Guermantes c'est sa tentation de faire de la pire période de l'histoire française récente un "Loft" pour théâtraux. (…) Le film s'impose alors lui-même deux gestes barrières : le texte, dont les fragments fonctionnent comme des élancements douloureux dans un membre fantôme, et la résistance du théâtre (le lieu) à sa transformation en suite de luxe.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le film est-il trop long ? Peut-être, mais il s’en dégage un tel charme…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
La chronique d'une troupe en pleine pandémie, émouvante au début et complaisante à la fin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Frédéric Mercier
C’est à la fois déroutant et futile, fastidieux et désinvolte, fidèle en cela à Honoré qui pratique depuis toujours un cinéma constitué d’accidents plus ou moins bien négociés.
Première
par Thomas Baurez
Guermantes est un film intelligent, rafraîchissant et enivrant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par La rédaction
Un film subtil et ludique sur la création artistique.
Critikat.com
par Valentin Denis
Guermantes prend en fin de compte la forme d’un long film de vacances entre amis (...), pour ne pas dire d'un étalage autosatisfait d’une vie insoucieusement cool.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Céline Rouden
Malheureusement, ce qui débute sur un mode jubilatoire, hommage à l’esprit de troupe, à sa liberté créatrice et son sens de l’improvisation, s’égare ensuite sur d’autres chemins et perd de vue son sujet.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Pas sûr que les acteurs sortent grandis ni qu'on apprenne tant sur eux au fil de ce banquet longuet, complice et serti de gags plus ou moins réussis, trop content de son cocon pour convaincre vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Mathieu Macheret
Le film se consacre surtout à ces formidables machines de jeu, à cet "esprit de corps" qui soude une troupe de théâtre, sans omettre les mesquineries et les coups bas entre ces créatures aux egos bien surdimensionnés.
Les Fiches du Cinéma
par Adèle Bossard-Giannesini
Bien que la troupe du Français se prête avec allant à l’exercice, le film s’épuise dans une succession de scènes anecdotiques.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pascale Vergereau
Christophe Honoré n’évite pas l’entre-soi dans cet étrange objet cinématographique. Son Guermantes un témoignage intéressant de la traversée de la crise sanitaire par les artistes, mais n’en demeure pas moins long (2 h 20) et brouillon.
Les Inrockuptibles
Christophe Honoré orchestre une reconquête, une expansion sans fin des puissances de la représentation répandant ses germes euphorisants sur notre monde malade.
20 Minutes
Ce cri enthousiaste, le spectateur le reprend avec bonheur tant il est communicatif. Le seul regret qu’il ressent à la sortie du film est de ne pas pouvoir faire partie de ce groupe joyeux aussi joueur que travailleur.
Bande à part
Pour son treizième long-métrage à sortir en salle, Christophe Honoré joue avec le théâtre et le cinéma. Une épopée intime et collective, dans notre monde au timing bouleversé.
CNews
On oscille entre jeu et improvisation dans une ambiance joyeuse de colonie de vacances.
CinemaTeaser
Guermantes est un film hybride, un film contrarié, empêché, qui ne cesse de se réinventer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Guermantes a la merveilleuse fluidité d’instantanés imprévisibles qui, mis bout à bout, dessinent un portrait de troupe et de talents. Le portrait est vif, léger et simple, d’autant plus plaisant que les comédiens s’amusent visiblement.
Franceinfo Culture
Des acteurs formidables, heureux, un message positif : Guermantes revigore le corps et l’esprit.
L'Humanité
Une parenthèse (en)chantée en pleine pandémie.
Le Dauphiné Libéré
Un bel esprit est à l’œuvre, de fraternité, d’amitié, de solidarité, que Christophe Honoré capte d’un regard tendre.
Le Parisien
On plane avec cette troupe qui ne se résout pas à la séparation et continue à vivre selon sa devi se : « Simul et singulis », être ensemble et être soi-même.
Libération
Christophe Honoré multiple les décrochages pour réussir l’un de ses films les plus libres, les plus drôles, les plus impromptus et les moins cadenassés, qu’on s’intéresse ou non à la Comédie-Française ou au théâtre en général.
Marianne
Il y a du panache et du talent devant la caméra d’Honoré qui rebondit ici avec brio en transformant un coup du sort en coup de maître avec un film hors-normes d’une vitalité réjouissante. Sans jamais se prendre au sérieux, avec une belle dose d’autodérision, il nous invite en toute sincérité du côté de la troupe.
Marie Claire
Un essai libre, gai, improvisé, qui célèbre l'amitié dans le travail, et toujours d'actualité !
Paris Match
Touchant et d’une grande richesse humaine.
Sud Ouest
En 2020, la préparation de l’adaptation théâtrale du « Côté de Guermantes » de Proust, est suspendue pour cause de pandémie. Mais la troupe de la Comédie-Française décide de poursuivre les répétitions. Leur metteur en scène, Christophe Honoré, en tire un film splendide (...).
Transfuge
C’est bien là la puissance secrète de ce film, certes, nous sommes dans l’été arrêté de la catastrophe pandémique, mais aussi dans le monde de Proust, entre le Ritz et les Champs-Elysées, dans le désir d’Anne Kessler pour Sébastien Pouderoux, de Sébastien Pouderoux pour Elsa Lepoivre, dans ces jeux d’amour et d’ivresse qui occupent toute une nuit.
Télérama
La vie de la communauté se dévoile ainsi dans un subtil mélange de documentaire et de fiction, entre nuits partagées dans les loges, voire sur la scène, histoires d’ambition ou d’attraction, de désir ou d’amitié, de gueule de bois ou d’ivresse.
aVoir-aLire.com
Une belle et originale réalisation qui rebondit sur l’actualité tout en rendant hommage au théâtre.
Cahiers du Cinéma
Le côté glissant de Guermantes c'est sa tentation de faire de la pire période de l'histoire française récente un "Loft" pour théâtraux. (…) Le film s'impose alors lui-même deux gestes barrières : le texte, dont les fragments fonctionnent comme des élancements douloureux dans un membre fantôme, et la résistance du théâtre (le lieu) à sa transformation en suite de luxe.
L'Obs
Le film est-il trop long ? Peut-être, mais il s’en dégage un tel charme…
Le Figaro
La chronique d'une troupe en pleine pandémie, émouvante au début et complaisante à la fin.
Positif
C’est à la fois déroutant et futile, fastidieux et désinvolte, fidèle en cela à Honoré qui pratique depuis toujours un cinéma constitué d’accidents plus ou moins bien négociés.
Première
Guermantes est un film intelligent, rafraîchissant et enivrant.
Télé 2 semaines
Un film subtil et ludique sur la création artistique.
Critikat.com
Guermantes prend en fin de compte la forme d’un long film de vacances entre amis (...), pour ne pas dire d'un étalage autosatisfait d’une vie insoucieusement cool.
La Croix
Malheureusement, ce qui débute sur un mode jubilatoire, hommage à l’esprit de troupe, à sa liberté créatrice et son sens de l’improvisation, s’égare ensuite sur d’autres chemins et perd de vue son sujet.
Le Journal du Dimanche
Pas sûr que les acteurs sortent grandis ni qu'on apprenne tant sur eux au fil de ce banquet longuet, complice et serti de gags plus ou moins réussis, trop content de son cocon pour convaincre vraiment.
Le Monde
Le film se consacre surtout à ces formidables machines de jeu, à cet "esprit de corps" qui soude une troupe de théâtre, sans omettre les mesquineries et les coups bas entre ces créatures aux egos bien surdimensionnés.
Les Fiches du Cinéma
Bien que la troupe du Français se prête avec allant à l’exercice, le film s’épuise dans une succession de scènes anecdotiques.
Ouest France
Christophe Honoré n’évite pas l’entre-soi dans cet étrange objet cinématographique. Son Guermantes un témoignage intéressant de la traversée de la crise sanitaire par les artistes, mais n’en demeure pas moins long (2 h 20) et brouillon.