Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
28 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Olivia Cooper-Hadjian
La Chimère semble vouloir susciter un rapport ancien aux images, datant d’avant leur prolifération, et faire de chaque plan un événement, renouant ainsi avec la dimension foraine et magique du cinéma.
Culturopoing.com
par Pierig Leray
"La Chimère", ce sont ces allers-retours ininterrompus entre terre et ciel, le passé et l’absence de futur, une beauté plastique foudroyante, une multiplicité des formes qui n’a comme unique but celui de faire émerger le lien indéfectible entre l’aimant et l’être aimé, ce lien, ce fil infrangible menant Arthur à Beniamina aux cieux des amours éternels.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Marie Claire
par Emily Barnett
Foutraque et somptueux.
Bande à part
par Isabelle Danel
Une fable singulière et fiévreuse sur les vestiges de notre histoire et ce qu'on en fait.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
35mm, Super 16mm et 16mm se succèdent comme si seule la pellicule pouvait capter la beauté et la rareté de cet entre-deux-mondes coincé entre passé et présent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans le film d’Alice Rohrwacher, l’amour et les morts vont bras dessus bras dessous parmi les vivants. La réalisatrice italienne y médite dans un mélange fascinant de fantaisie et d’inquiétante étrangeté, de joie piquante et de mélancolie profonde, de bizarrerie et d’incongruité, sur les liens visibles et invisibles, sur le sacré et le profane.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film étrange et beau.
Franceinfo Culture
par Falila Gbadamassi
"La Chimère" s'avère une jolie balade, parfois souterraine, aux accents patrimoniaux et pleine de vague à l'âme, dans l'univers toujours très pigmenté qui distingue la cinéaste italienne.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Lucas Charrier
C’est ça le cinéma d’Alice Rohrwacher : une utopie merveilleuse en plein dans le réel.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les héros excentriques de La Chimère poursuivent chacun leurs chimères, dans un récit extravagant, très particulier, très singulier, en forme de conte enchanteur.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
[...] un cinéma aussi poétique que digressif qui convoque celui de Fellini et d'autres grands metteurs en scène transalpins.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J. Ma.
Dans les curieux entrelacs d’une mise en scène qui privilégie l’atmosphère plutôt que l’intrigue, Arthur, centre nerveux de ce doux maelström, devra choisir entre la fidélité à l’esprit des morts ou la profanation, à travers leur legs prodigieux, de la vie elle-même. A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Inspiré, cultivé, magique… "La Chimère" est un très beau film, magique, habité de fantômes éternels.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Le film, peut-être [le] plus beau [d'Alice Rohrwacher], n’a que faire du bon goût ou de la distance. Il choisit d’embrasser, avec ardeur, la candeur de son scénario, celui d’un homme qui recherche son Eurydice, selon une trajectoire tout à fait surprenante, chaque scène semblant éclore différemment de la précédente et s’intégrer peu à peu dans un champ d’herbes folles.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Thomas Baurez
Si ce récit volontairement erratique peut dérouter, la mise en scène offre une vision poétique et expressive du monde décrit.
Télé Loisirs
par Margot Loisel
Périple entre le monde des morts et celui des vivants, "La Chimère" interroge avec force l'appropriation de l'art.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Ce qui frappe, c’est la capacité d’Alice Rohrwacher à alimenter sans cesse de l’imaginaire en pagaille, aussi sensible que profond, avec des éléments rudimentaires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Singulier et envoûtant.
L'Obs
par Sophie Grassin
Le voyage se mérite, car Rohrwacher s’aventure aussi dans de longues pistes laborieuses et free comme on le dirait du jazz.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Une jolie variation sur les vivants et les morts qui ne retrouve pas tout à fait la magie de ses précédents films
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par É.S.
Son nouveau film, La Chimère, en compétition à Cannes mais reparti sans prix, est dans la même veine. Il brouille le temps et l'espace à partir d'un réseau de trafiquants d'antiquités étrusques dans la Toscane des années 1980. Il est pourtant moins pénible que les précédents. Cela tient en partie au charme de Josh O'Connor (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Si le cinéma d’Alice Rohrwacher n’a rien perdu de sa poésie, sa limpidité est ici gênée par un récit quelque peu flexueux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Même si elle répète parfois ses effets de mise en scène, Alice Rohrwacher signe de sublimes séquences oniriques qui rappellent à la fois Federico Fellini et le réalisme magique sud-américain [...].
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Julien Rousset
Une errance libre et singulière entre le visible et l’invisible, le loufoque et le désespoir.
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Alice Rohrwacher reste fidèle à son univers, avec un récit narrativement audacieux qui comporte plusieurs séquences marquantes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Marin Gérard
La soif d’excentricité de Rohrwacher, notamment formelle, est ici étouffée par un scénario faisant la part belle au symbolisme et à un curieux mélange des genres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par La Rédaction
On cherche en vain une intrigue, de l’émotion, du suspense, mais le film ressemble à un documentaire ou à une étude sociologique qui, malgré ses 2h10, ne livrerait pas ses clés d’explication au spectateur. Reste, heureusement, le charisme du comédien Josh O’Connor, qui joue Charles III dans « The Crown ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Samuel Douhaire
CONTRE : L’imaginaire in fine corseté de La Chimère et ses personnages de cour des miracles bien sage, ressemblent, eux, un ersatz végan de Fellini : terne, fade, et, surtout, terriblement désincarné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
La Chimère semble vouloir susciter un rapport ancien aux images, datant d’avant leur prolifération, et faire de chaque plan un événement, renouant ainsi avec la dimension foraine et magique du cinéma.
Culturopoing.com
"La Chimère", ce sont ces allers-retours ininterrompus entre terre et ciel, le passé et l’absence de futur, une beauté plastique foudroyante, une multiplicité des formes qui n’a comme unique but celui de faire émerger le lien indéfectible entre l’aimant et l’être aimé, ce lien, ce fil infrangible menant Arthur à Beniamina aux cieux des amours éternels.
Marie Claire
Foutraque et somptueux.
Bande à part
Une fable singulière et fiévreuse sur les vestiges de notre histoire et ce qu'on en fait.
CinemaTeaser
35mm, Super 16mm et 16mm se succèdent comme si seule la pellicule pouvait capter la beauté et la rareté de cet entre-deux-mondes coincé entre passé et présent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans le film d’Alice Rohrwacher, l’amour et les morts vont bras dessus bras dessous parmi les vivants. La réalisatrice italienne y médite dans un mélange fascinant de fantaisie et d’inquiétante étrangeté, de joie piquante et de mélancolie profonde, de bizarrerie et d’incongruité, sur les liens visibles et invisibles, sur le sacré et le profane.
Femme Actuelle
Un film étrange et beau.
Franceinfo Culture
"La Chimère" s'avère une jolie balade, parfois souterraine, aux accents patrimoniaux et pleine de vague à l'âme, dans l'univers toujours très pigmenté qui distingue la cinéaste italienne.
La Septième Obsession
C’est ça le cinéma d’Alice Rohrwacher : une utopie merveilleuse en plein dans le réel.
Le Dauphiné Libéré
Les héros excentriques de La Chimère poursuivent chacun leurs chimères, dans un récit extravagant, très particulier, très singulier, en forme de conte enchanteur.
Le Journal du Dimanche
[...] un cinéma aussi poétique que digressif qui convoque celui de Fellini et d'autres grands metteurs en scène transalpins.
Le Monde
Dans les curieux entrelacs d’une mise en scène qui privilégie l’atmosphère plutôt que l’intrigue, Arthur, centre nerveux de ce doux maelström, devra choisir entre la fidélité à l’esprit des morts ou la profanation, à travers leur legs prodigieux, de la vie elle-même. A ne pas manquer.
Les Inrockuptibles
Inspiré, cultivé, magique… "La Chimère" est un très beau film, magique, habité de fantômes éternels.
Libération
Le film, peut-être [le] plus beau [d'Alice Rohrwacher], n’a que faire du bon goût ou de la distance. Il choisit d’embrasser, avec ardeur, la candeur de son scénario, celui d’un homme qui recherche son Eurydice, selon une trajectoire tout à fait surprenante, chaque scène semblant éclore différemment de la précédente et s’intégrer peu à peu dans un champ d’herbes folles.
Ouest France
Si ce récit volontairement erratique peut dérouter, la mise en scène offre une vision poétique et expressive du monde décrit.
Télé Loisirs
Périple entre le monde des morts et celui des vivants, "La Chimère" interroge avec force l'appropriation de l'art.
Télérama
POUR : Ce qui frappe, c’est la capacité d’Alice Rohrwacher à alimenter sans cesse de l’imaginaire en pagaille, aussi sensible que profond, avec des éléments rudimentaires.
Voici
Singulier et envoûtant.
L'Obs
Le voyage se mérite, car Rohrwacher s’aventure aussi dans de longues pistes laborieuses et free comme on le dirait du jazz.
La Croix
Une jolie variation sur les vivants et les morts qui ne retrouve pas tout à fait la magie de ses précédents films
Le Figaro
Son nouveau film, La Chimère, en compétition à Cannes mais reparti sans prix, est dans la même veine. Il brouille le temps et l'espace à partir d'un réseau de trafiquants d'antiquités étrusques dans la Toscane des années 1980. Il est pourtant moins pénible que les précédents. Cela tient en partie au charme de Josh O'Connor (...).
Les Fiches du Cinéma
Si le cinéma d’Alice Rohrwacher n’a rien perdu de sa poésie, sa limpidité est ici gênée par un récit quelque peu flexueux.
Paris Match
Même si elle répète parfois ses effets de mise en scène, Alice Rohrwacher signe de sublimes séquences oniriques qui rappellent à la fois Federico Fellini et le réalisme magique sud-américain [...].
Sud Ouest
Une errance libre et singulière entre le visible et l’invisible, le loufoque et le désespoir.
aVoir-aLire.com
Alice Rohrwacher reste fidèle à son univers, avec un récit narrativement audacieux qui comporte plusieurs séquences marquantes.
Critikat.com
La soif d’excentricité de Rohrwacher, notamment formelle, est ici étouffée par un scénario faisant la part belle au symbolisme et à un curieux mélange des genres.
Le Parisien
On cherche en vain une intrigue, de l’émotion, du suspense, mais le film ressemble à un documentaire ou à une étude sociologique qui, malgré ses 2h10, ne livrerait pas ses clés d’explication au spectateur. Reste, heureusement, le charisme du comédien Josh O’Connor, qui joue Charles III dans « The Crown ».
Télérama
CONTRE : L’imaginaire in fine corseté de La Chimère et ses personnages de cour des miracles bien sage, ressemblent, eux, un ersatz végan de Fellini : terne, fade, et, surtout, terriblement désincarné.