Un film à recommander à tous les mélomanes, car on en prend plein la tête et les oreilles. Même s'il est un peu long, et n'évite pas parfois les clichés sur la banlieue, cette histoire est belle, et on suit ces deux soeurs dans leur parcours, parfois difficile, plein d'embuches.
Magnifique Une leçon de vie , de persévérance , de respect de l'autre. Une dignité des parents avec une très grande ouverture d'esprit malgré les difficultés Elles sont belles dans leur détermination La tolérance ,la mixité sociale , l'immigration, la culture que de sujets abordés
Pour ceux qui vibrent pour la musique c'est un film merveilleux. Magnifiquement interprété, émouvant, qui donne envie de vibrer pour la musique. Merci pour ce bon moment...
femme qui vient du 93 et qui veut diriger un orchestre a paris impossible ? pas grave elle le fera dans le 93 film sympa qui mérite d'être vu. Niels aristreuo est très bon. conclusion si vous avez 3 heures à perdre allez y
On suit le parcours des 2 sœurs avec beaucoup de plaisir. De beaux morceaux de classique.. Un peu de musique kabyle. Divertimento est un beau divertissement.
réalisé par Marie-Castille Mention-Schaar, Divertimento est un très bon drame français et qui repose sur une histoire vraie. Le scénario est divertissant, bien rythmé avec des personnages forts attachants. La mise en scène est soignée avec des scènes d’orchestre bien filmées. Enfin, la distribution est brillamment portée par la jeune Oulaya Amamra.
Mon avis complet , sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2023/02/01/critique-film-divertimento/
La réalisatrice Marie castille Mention Shaar retrace les débuts de la cheffe d’orchestre Zahia Ziouani et de sa sœur jumelle, Fettouma, toutes deux vivant en banlieue parisienne et toutes deux se battant pour accomplir leurs rêves : vivre et faire de la musique. Ce film, de facture classique, sans jeu de mots, donne la part belle à la musique, et c’est bien normal tout en mettant en avant la double difficulté de se faire reconnaître dans ce milieu de musiciens, lorsque l’on vient de banlieue et lorsque l’on est une femme qui désire devenir cheffe d’orchestre. Oulaya Amamra et Lina El Arabi, les deux interprètes principales semblent toutes deux musiciennes tant leurs jeux donnent vie aux personnages qu’elles incarnent. Les rôles secondaires méritent d’être cités, principalement le père joué par Zinedine Soualem tout en nuance et Niels Arestrup qui incarne avec « Maestro » Sergiu Celidibache, plus vrai que nature. Enfin, n’oublions pas que la musique est le principal moteur de ce film, et là non plus, nous ne sommes pas déçus par ce qui est proposé. Un seul bémol dans cette histoire, les musiciens du lycée Racine me semble caricaturés soit ce fut ainsi, c’est dommage et plus que regrettable, soit le trait est forcé et, en l’occurrence, cela n’apporte guère de plus-value à l’histoire.
Ce film m'a tellement emue (aux larmes) que je me devais de laisser mon premier avis sur Allociné afin d'encourager le plus de monde à aller le voir. Une vraie leçon de vie, de courage, d'abnégation et d'humanité aussi. Merci à toute la famille Ziouani !
Le cinéma de Marie-Castille Mention-Schaar est un cinéma engagé. En filmant le réel, elle se bat contre les fantasmes religieux ou identitaires qui aveuglent une partie de notre société. Raconter l'histoire de cet orchestre de banlieue est une formidable idée qui, de surcroît, rappelle qu'il n'y a ni âge ni origine pour bâtir sa propre histoire et qu'il faut se relever les manches pour changer le monde. Comme à l'habitude, la réalisation est efficace et les interprétations de Oulaya Amamra et Lina el Arabi sont tout en justesse. Un film positif.
"Les temps sont durs pour les rêveurs" Cette citation de Jean-Pierre Jeunet aurait pu résumer ce destin romancé si la rêveuse en question, Zahia Ziouani, n'avait décidé d'en devenir acteur. Un film touchant, souvent drôle, qui met en lumière le dilemme moral d'une femme pleine d'ambition, entre transgression difficile mais nécessaire des codes et conformisme confortable. Les performances d'Oulaya Amamra (Zahia Ziouani) et de Niels Arestrup n'arrivent pas totalement à faire oublier cependant le rythme inégal du film, qui oscille entre fulgurances et longueurs, et un traitement parfois caricatural des problématiques sociétales. Très bonne surprise, dans l'ensemble.
Beau film réalisé de façon intelligente, une émotion à chaque instant grâce à la musique bien-sûr mais aussi à la prestation des acteurs que j'ai trouvé formidables.