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Votre avis sur Divertimento ?
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J'ai à ce point adoré le film, que je l'ai vu deux fois et que j'écris ma toute première critique.
Le film est très émouvant, très agréable à regarder. Les musiques sont bien choisis, et très bien interprétées. Les acteurs sont parfaits. On ne peut pas dire que le film ait eu la publicité qu'il méritait mais je pense que sur le long terme et à force de bouche à oreille il peut devenir un succès.
Le film est très émouvant, très agréable à regarder. Les musiques sont bien choisis, et très bien interprétées. Les acteurs sont parfaits. On ne peut pas dire que le film ait eu la publicité qu'il méritait mais je pense que sur le long terme et à force de bouche à oreille il peut devenir un succès.
Ce film est une cure de jouvence pour ceux qui ont oublié leur passion d'avant. Son premier message est en effet de ne pas oublier ce dont on rêvait. Petite charge d'émotion. On voit ainsi deux sœurs qui n'oublient jamais ça. Ici, il s'agit de musique, mais c'est transposable à tout. C'était quand même plus facile de se servir de la musique pour faire passer le message car tout le monde la ressent —de fait, on est servi par ce film (musique classique en l'occurrence). Et en la ressentant, la musique peut changer les gens ; elle peut même resouder (bel exemple dans une prison).
Ces deux sœurs n'oublient pas leurs passions, mais c'est contre vents et marées. C’est le deuxième aspect du film. Charge d'émotion, et de rage... Elles luttent en effet beaucoup pour arriver à leurs fins. Le film montre plutôt bien le racisme et le sexisme ordinaire et bébête de notre société, en se servant des ânes ricaneurs de la salle de classe, mais aussi des adultes qui verrouillent (presque) tout dans ce milieu soi-disant élitiste et bourgeois des académies de musique. "Presque" parce que justement elles prendront un chemin de traverse (sans oublier leur rêve pour autant). D'où le film, et son originalité. D'autant qu'il est basé sur une histoire vraie —celle des sœurs Ziouani et de l’orchestre Divertimento.
On regrette juste de ne pas avoir vu ces deux sœurs "vivre" davantage, c’est-à-dire en dehors de leur musique. Tout ce qu'elles font en dehors de la musique reste musical malgré tout. Pas d’amours, pas de problèmes, pas d’histoires… Ce charme glacé du film peut devenir de l'ennui chez ceux qui n'ont pas envie de suivre un cours de musique.
Car justement, le film est aussi un cours de musique. Remarquable, surtout quand le professeur s'appelle Niels Arestrup, concentré de savoir en matière de direction d’orchestre. "Dans la partition, il y a tout sauf l'essentiel"… "La vie c'est la musique, mais aussi la musique c'est la vie", c'est-à-dire que sans vivre ou sans avoir vécu, on ne peut créer —on dirait que le film est tombé dans le même travers que les deux sœurs (on ne les voit pas vraiment vivre) !
A.G.
Ces deux sœurs n'oublient pas leurs passions, mais c'est contre vents et marées. C’est le deuxième aspect du film. Charge d'émotion, et de rage... Elles luttent en effet beaucoup pour arriver à leurs fins. Le film montre plutôt bien le racisme et le sexisme ordinaire et bébête de notre société, en se servant des ânes ricaneurs de la salle de classe, mais aussi des adultes qui verrouillent (presque) tout dans ce milieu soi-disant élitiste et bourgeois des académies de musique. "Presque" parce que justement elles prendront un chemin de traverse (sans oublier leur rêve pour autant). D'où le film, et son originalité. D'autant qu'il est basé sur une histoire vraie —celle des sœurs Ziouani et de l’orchestre Divertimento.
On regrette juste de ne pas avoir vu ces deux sœurs "vivre" davantage, c’est-à-dire en dehors de leur musique. Tout ce qu'elles font en dehors de la musique reste musical malgré tout. Pas d’amours, pas de problèmes, pas d’histoires… Ce charme glacé du film peut devenir de l'ennui chez ceux qui n'ont pas envie de suivre un cours de musique.
Car justement, le film est aussi un cours de musique. Remarquable, surtout quand le professeur s'appelle Niels Arestrup, concentré de savoir en matière de direction d’orchestre. "Dans la partition, il y a tout sauf l'essentiel"… "La vie c'est la musique, mais aussi la musique c'est la vie", c'est-à-dire que sans vivre ou sans avoir vécu, on ne peut créer —on dirait que le film est tombé dans le même travers que les deux sœurs (on ne les voit pas vraiment vivre) !
A.G.
Ce film est excellent. L'actrice est magnifique de justesse. Film très émouvant. Moqueries des bourgeois par rapport aux banlieusards mais grâce à la musique et à cette jeune femme, chef, une union s'installe entre tous et c superbe. Un film à ne pas manquer.
Excellent film où la musique est mise en valeur de très belle manière. Le film rend un bel hommage au parcours de cette cheffe d'orchestre pas comme les autres.
Inspiré d’un histoire vraie, Divertimento retrace le parcours ambitieux et passionné de sœurs jumelles Zahia et Fettouma, musiciennes prodiges, et la naissance de leur orchestre symphonique à Stains.
Un film qui gravite autour de la musique : on y écoute avec plaisir des grands « tubes » de la musique classique avec toute la puissance et la nuance que permet le son au cinéma. Un film musical assez peu bavard finalement, les scènes de dialogues les plus marquantes restant celles avec Niels Arestrup, génial en mentor intransigeant, désireux de transmettre sa passion à cette jeune femme qui dirige son orchestre avec une grâce particulièrement belle à contempler.
Marie Castille Mention Schaar aime aborder les thématiques sociales dans ses films, parler des diversités et minorités mais là où elle se distingue de nombreux autres réalisateurs c’est qu’elle n’appuie pas dessus en permanence. La destinée de ces personnages n’en est que plus impressionnante.
Sur la forme, en parvenant à mêler (sans fausse note) musique et cinéma, à filmer l’union du musicien et de son instrument, l’harmonie et tout ce qui peut se jouer au sein de l’orchestre ; sur le fond en racontant la rencontre entre le 9 3 et le 16ème arrondissement pour l’accomplissement d’un objectif commun, elle nous prouve que la réunion entre deux univers différents est possible et que Si l’art peut diviser, il faut reconnaitre qu’il est aussi fédérateur.
Une belle note d’espoir, porté par deux talentueuses comédiennes !
Mon Instagram : @benevaaucine
Un film qui gravite autour de la musique : on y écoute avec plaisir des grands « tubes » de la musique classique avec toute la puissance et la nuance que permet le son au cinéma. Un film musical assez peu bavard finalement, les scènes de dialogues les plus marquantes restant celles avec Niels Arestrup, génial en mentor intransigeant, désireux de transmettre sa passion à cette jeune femme qui dirige son orchestre avec une grâce particulièrement belle à contempler.
Marie Castille Mention Schaar aime aborder les thématiques sociales dans ses films, parler des diversités et minorités mais là où elle se distingue de nombreux autres réalisateurs c’est qu’elle n’appuie pas dessus en permanence. La destinée de ces personnages n’en est que plus impressionnante.
Sur la forme, en parvenant à mêler (sans fausse note) musique et cinéma, à filmer l’union du musicien et de son instrument, l’harmonie et tout ce qui peut se jouer au sein de l’orchestre ; sur le fond en racontant la rencontre entre le 9 3 et le 16ème arrondissement pour l’accomplissement d’un objectif commun, elle nous prouve que la réunion entre deux univers différents est possible et que Si l’art peut diviser, il faut reconnaitre qu’il est aussi fédérateur.
Une belle note d’espoir, porté par deux talentueuses comédiennes !
Mon Instagram : @benevaaucine
Un biopic qui vaut le déplacement. Pour la convaincante Oulaya Amamra dans le rôle de Zahia, obstinée en lutte contre tous. Mais aussi pour Niels Arestrup, impérial dans le rôle de Sergiu Celibidache, Pygmalion et tyran criant de vérité.
Ceux qui jouent de la musique se reconnaitrons , ceux qui écoutent de la musique seront enchantés et les autres aurons envie de s y mettre .
Le parcours de cette femme est époustouflant. Enfants d immigrés mais parents mélomane. vivant dans le 93 dans une famille modeste. Avec un désir fou, diriger un orchestre.dans ce milieu masculin.
Très bien interprétés .. On ressort de ce film joyeux et plein d optimiste.
Le parcours de cette femme est époustouflant. Enfants d immigrés mais parents mélomane. vivant dans le 93 dans une famille modeste. Avec un désir fou, diriger un orchestre.dans ce milieu masculin.
Très bien interprétés .. On ressort de ce film joyeux et plein d optimiste.
Superbe histoire vraie et magnifique bande son! Bravo Zahia et Fettouma pour votre courage, votre travail et votre persévérance !
Un 5 étoiles….ma note pour effectivement ce chef d œuvre…..un tourbillon de bonheur et de bienveillance …
Une interprétation magistrale de toute la distribution au service du thème, traité sans condescendance ,des jeunes de banlieues qui vont jusqu’au bout de leurs rêves….BRAVO ET MERCI.
Une interprétation magistrale de toute la distribution au service du thème, traité sans condescendance ,des jeunes de banlieues qui vont jusqu’au bout de leurs rêves….BRAVO ET MERCI.
Un super film, avec des émotions qui surgissent grâce à la musique et la réussite ! Oulaya Amamra et Lina El Arabi flamboyantes et complices et on assiste ici à une réalisation sur une histoire vrai sur le début d’une célèbre chef d’orchestre. Quel peps ! C’est un film bien construit, on dévore chaque secondes jusqu’à la fin, une joyeuse petite pépite !
Une belle histoire qui montre comment Zahia s’est battue pour réaliser son rêve. Le parcours n’a pas été simple, une battante qui a réussi malgré toutes les barrières rencontrées! Bravo ❤️
Quel bonheur de voir un tel film sur la musique, en comparaison du film tar célébré par les médias prétentieux et long au possible.
Divertimento célèbre la joie, la passion, l'effort d'un chef d'orchestre à nouveau féminin Oulaya amamra actrice tout aussi performante que Kate blanchett
Film qui aurait pu tomber dans le piège de la rivalité, banlieue, Paris, et ce n'est pas du tout le cas. À voir absolument
Divertimento célèbre la joie, la passion, l'effort d'un chef d'orchestre à nouveau féminin Oulaya amamra actrice tout aussi performante que Kate blanchett
Film qui aurait pu tomber dans le piège de la rivalité, banlieue, Paris, et ce n'est pas du tout le cas. À voir absolument
Un des plus beaux films de ma vie, j'ai pleuré et applaudi ! Enfin un film qui donne du (bon) sens à la vie !
L'amateur de musique classique que je suis a beaucoup apprécié. C'est un belle histoire qui résonne aujourd'hui. Vive les cheffes d'orchestres !
Excellent ! Un film qui fait du bien et qui donne de l'espoir. La patience, la maturité et la ténacité des 2 personnages principaux forcent le respect. Merci pour ce beau film.
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