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    Divertimento
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    AdamC
    AdamC

    61 abonnés 273 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 août 2023
    Histoire sûrement romancée par rapport à la véritable vie des protagonistes, parents clichés parfait et beaucoup de poncif certes. Mais ce qui me fait aimer ce film est la belle place faites à la musique
    On a le droit a quasiment 30 minutes de musique et c'est tellement rafraîchissant dans un film de ce type
    Je l'avais raté au cinéma, content de l'avoir vu en VOD
    Stéphane R
    Stéphane R

    25 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 août 2023
    Film tiré d'une histoire vraie. Cela en fait le charme même si lantrame est très classique : on parviendra à réaliser ses rêves malgré les adversités, les discriminations, les Cassandre.
    Pas fan du choix d'Oulaya Amamra dans le rôle principal. Elle révèle un vrai enthousiasme, mais en cheffe d'orchestre, cela reste un peu maladroit et ça dessert le film.
    Le film laisse à la musique le temps de s'exprimer. Bons choix de musiques, belle interprétation, bonne mise en scène de ces scènes.
    cinono1
    cinono1

    311 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 août 2023
    Parfois feel good movie et réalité ne font qu'un. Si c'est bien un feel good movie dont il s'agit, c'est aussi l'histoire bien réelle des sœurs Ziouani. Deux sœurs qui ont su surmonter les obstacles devant elles, armées qu'elles étaient de leurs passion pour la musique. Malgré quelques erreurs techniques typique de 1er film , c'est assez enthousiasmant et revigorant.La musique est omniprésente dans l'esprit des sœurs dans leur quotidien , le bruit d'une rame de métro ou d'un tourniquet est un rythme à apprivoiser. La musique classique joué, est magnifique et participe à la réussite du film. Une belle histoire qui méritait d'être racontée. Revigorant
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 695 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2023
    Une belle tranche d’émotion pour le parcours semé d’embûches de cette cheffe d’orchestre, femme et d’origine algérienne, qui à force de volonté et de passion , a su s’élever dans cette hiérarchie très macho qu’est le milieu de la musique classique. Maintenant, quand je regarderai l’émission tv « Prodiges », où Zahia Ziouani est cheffe d’orchestre, je penserai à ce beau film, certes classique dans sa construction, mais faisant partager les immenses difficultés vécues par l’héroïne, superbement interprétée par Oulaya Amamra. En plus, tout le film est émaillé de splendides passages musicaux interprétés par l’orchestre créé par Zahia. Un bon moment.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2023
    Voilà un récit qui fait du bien à l’âme et au coeur.
    Voilà un nouveau récit où la banlieue avec la cité est valorisée par deux jeunes filles à la tête bien remplie.
    Je précise « la cité » car le mot « banlieue » est souvent associé à « la cité » avec jeunes désoeuvrés ; alors que « la cité » ne signifie pas systématiquement banlieue.
    Et puis banlieue parisienne c’est aussi Neuilly-sur-Seine !

    Voilà un exemple où les parents ont été importants dans l’éducation de leurs enfants.
    Ah ! me direz-vous, ce n’est pas donné à tout le monde que d’avoir des parents intéressés par la musique classique.
    Pourtant il n’est pas nécessaire d’écouter de la musique classique pour élever au mieux ses enfants, il suffit de transmettre un peu de connaissance, ne pas tout ramener à la religion comme valeur soi-disant morale, et ne pas tout considérer comme tabou.
    Avoir un esprit ouvert et curieux.
    En tout cas, cette passion qui anime les filles Ziouani prend tellement d’énergie positive qu’elles n’ont pas le temps de traîner leur spleen ou leur colère dans la cité.
    La rage qui bouillonne dans le coeur de Zahia Ziouani qui se rêve - que dis-je ?! -, qui ambitionne de devenir l’une des rares femmes cheffes d’orchestre est également positive.
    spoiler: En plus, la vraie Zahia Ziouani y est parvenue !


    Voilà encore un récit solaire où la banlieue nous offre de belles personnes, loin des clichés habituels et répétitifs, même si ceux-là reflètent une réalité.

    Les soeurs Ziouani (et les parents sont à inclure) prouvent que la cité n’est pas nécessairement un frein à toutes les ambitions, que tout est possible même issues de l’immigration. Il est certain que ça passe par le travail, même si des obstacles demanderont deux fois plus d’effort pour un jeune des cités et le double pour une jeune.
    Les soeurs Ziouani prouvent que c’est possible et nous le savons : dans la classe politique, artistique et dans d’autres domaines professionnels, il y a des hommes et des femmes qui ont su braver le soi-disant « impossible », le « ce n’est pas pour moi ».

    Je parle des soeurs Ziouani, mais le film de Marie-Castille Mention-Schaar parle aussi de ces nombreux jeunes de Stains et des environs du 9.3 qui partagent cette passion.

    La réalisatrice s’est employée à ne recruter que de véritables musiciens capables de jouer aussi la comédie.
    Bravo à eux.
    Bravo à Marie-Castille Mention-Schaar pour sa direction et pour son exigence : faire appel à de véritables musiciens renforce la crédibilité du récit.

    En ce qui me concerne, j’ai été très vite scotché par la trame et ému par le parcours de tous ces jeunes gens et en particulier des soeurs Zahia et Fettouma Ziouani respectivement bien incarnées par Oulaya Amamra et Lina El Arabi.
    Oulaya Amamra m’avait impressionné dans le percutant « Divine », récit pessimiste d’une cité, mais aussi dans « Fragile » d’Emma Benestan où la cité était à son avantage.
    Quant à Lina El Arabi, elle m’avait bouleversé dans « Les Meilleures » de Marion Desseigne - Ravel, récit audacieux sur l’homosexualité de deux jeunes filles d’une cité.
    A ces deux films que je cite souvent, j’ajoute « Une histoire d’amour et de désir », de Leyla Bouzid comme valeur de référence. Films réalisés par des femmes qui m’offrent un tout autre regard sur les cités, loin des fameux clichés habituels décrits exagérément ci-dessus.
    A ce jour, je rajoute « Divertimento » de Marie-Castille Mention-Schaar. D’elle, je pourrais ajouter « Les Héritiers », autre film sur des jeunes lycéens d’une cité qui m’avait profondément touché.
    Au-delà du cliché, ce sont aussi des récits qui s’appliquent à balayer les préjugés.
    Ils font du bien.

    « Divertimento » aurait pu mal tourner avec ces fameux clichés banlieue versus Paris quand les soeurs Ziouani intègrent le lycée Racine. Les réflexions classiques fusent.

    Pour exercer dans une école REP+ et pour avoir exercé dans un collège REP, les clichés sont la vie.
    Pour avoir vécu une expérience récente cette année où une classe de notre école a participé à un projet au sein de l’Opéra de Nice, les clichés étaient bien présents.
    Quelques uns de nos petits élèves traitaient les élèves de l’Opéra de « bourges » sous prétexte qu’ils étaient bien blancs avec des vêtements considérés comme indécents si lesdits petits bourges venaient à se promener dans leur cité !
    « Divertimento » ne surligne pas trop les différences, mais on ne pouvait pas les occulter. Les clichés ont la vie dure mais la vie est un cliché comme j’ai pour habitude de l’écrire.
    La scène où les musiciens parisiens volontaires se rendent à Stains pour participer au projet de Zahia était amusante. L’idée, quelque peu stressante, de se rendre à Stains - « passer de l’autre côté du périphérique » -, traduit bien une réalité qu’on ne peut passer sous silence.
    Réalité ?
    Cliché ?
    Les deux mon capitaine !

    J’ai apprécié que Marie-Castille Mention-Schaar se soit attardée sur le langage de la musique ; sur la capacité cérébrale de ses musiciens à l’appréhender ; je suis fasciné par leurs connaissances musicales en terme de mesure, de tempo, d’oreille, d’écoute, de pratiques, de concentration, de sensibilité, ils fréquentent les hautes sphères de la musique ; sur la gestique et ses significations ; sur cet apprentissage rigoureux et infini des musicien(ne)s ; sur la détermination et la frustration des soeurs Ziouani, et surtout sur l’illustration de leur passion comme ces scènes où Zahia s’enivre des sons émis de la rue mêlés aux partitions qu’elle fredonne dans sa tête.
    On perçoit nettement que tout est musique pour elle car « la musique est la vie », propos que je partage pleinement.

    Peu m’importe que le film soit de facture classique (!), j’ai vibré et c’est là l’essentiel.

    C’est nettement mieux que « Maestro(s) » vu dernièrement.
    Mais peut-on comparer le superficiel « Maestro(s) à ce « Divertimento » profond ?
    Suis-je objectif ?
    C’est un autre débat.
    jcgonzales
    jcgonzales

    7 abonnés 125 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 août 2023
    Enthousiasmant et plein d'humanité, cette parenthèse pluri culturelle toute en finesse fait beaucoup de bien.
    christophe D10
    christophe D10

    18 abonnés 660 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 août 2023
    Quelques clichés sur la banlieue (heureusement pas trop accentués), mais sinon un film très plaisant a regarder, qui raconte une histoire vraie plutôt intéressante.
    C’est bien joué avec en particulier un niels arestrup, une fois de plus impeccable, et les nombreux (agréables), passages musicaux, nous rappellent a quelle point la musique classique peut etre enthousiasmante.
    Un bon moment
    Duel
    Duel

    2 abonnés 84 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2023
    Une ode à la passion, à l'authenticité et au dur labeur qui finissent par triompher de l'adversité.
    C'est bien filmé, bien joué et au final plutôt émouvant.
    On n'échappe pas à quelques clichés mais c'est un "feel good movie" qui se laisse voir avec plaisir.
    Sur le même thème, on pourra faire le parallèle avec Tàr qui explore le côté vénéneux de la passion pour la musique
    Alex Motamots
    Alex Motamots

    7 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 août 2023
    J’ai aimé les tempos issus du monde profane (battre les œufs, métro, bruit de la circulation...)
    J’ai aimé les explications sur les morceaux de musique, leur historique et leur contexte.
    J’ai été touchée par l’enfant handicapée qui veut jouer du violoncelle et de l’engagement de la jeune fille qui trouve une solution pour la faire jouer.
    Un film sur le rapport au père également.
    Un visionnage plein d’émotions.
    Ludo B
    Ludo B

    2 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 août 2023
    Démarrage trop caricatural bourgeois-banlieue; puis un joli film qui met en exergue une valeur importante perdue, la persévérance et la volonté.
    Paul Roux
    Paul Roux

    13 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 juillet 2023
    J’ai bien aimé « Divertimento », inspiré par la vie des sœurs Ziouani. Zahia rêve de devenir cheffe d'orchestre ; sa jumelle, Fettouma, violoncelliste. Ces rêves sont d’autant plus ambitieux que les deux jeunes filles sont d'origine algérienne et qu’elles viennent de Seine-Saint-Denis, une cité de la banlieue parisienne. D’autant qu’on est en 1995. Ce biopic est inspirant et touchant. J’en suis sorti le cœur léger.

    La réalisation est cependant plutôt académique. Quant à la musique, elle est très belle, mais le plus souvent sans surprise. Les musiciens répètent la 7e Symphonie de Beethoven et la Symphonie du Nouveau-Monde de Dvorak, deux œuvres magnifiques, mais si souvent jouées. Et le film se termine sur le Boléro de Ravel, splendide lui aussi, mais archiconnu également. Je n’arrive d’ailleurs pas à me débarrasser de son obsédant crescendo depuis.
    mat niro
    mat niro

    362 abonnés 1 842 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2023
    Oulala! Que ce film commençait mal avec les éternels clichés entre bobos et les deux jumelles venant de Seine-Saint-Denis. Heureusement, Oulaya Amamra et, dans une moindre mesure Lina El Arabi, apportent leur rayonnement à cette oeuvre musicale. Cette histoire tirée de faits réels (en l'occurrence la création de l'orchestre Divertimento) contient de bons moments avec un Niels Arestrup en "père protecteur" capable des pires colères. La fraîcheur des interprètes amène à oublier un scénario un peu fleur bleue, et finalement on passe un moment correct à défaut d'être réellement emballé par cette histoire aux allures de déjà-vu ("Ténor" par exemple).
    pasdenom inconnito
    pasdenom inconnito

    8 abonnés 86 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 juillet 2023
    Quel beau film, aucune longueur, bien réalisée et jouée, une histoire de détermination et de persévérance d'une jeune fille d'origine algérienne qui a réussi à non seulement diriger un orchestre très jeune...elle l'a créé. De bonnes idées pour nous faire comprendre le rôle d'un chef d'orchestre, la façon dont celui-ci donne à un orchestre et à une partition de musique son âme, son énergie et aussi comment un chef d'orchestre peut percevoir dans les sons modernes une musicalité dont il peut se servir dans ces concerts. Comme j'étais seul dans la salle...c'était comme un visionnement privé ... Pourtant ce film n'est justement pas élitiste, intellectuel car c'est l'histoire de gens de banlieue ouvrière parisienne (maire communiste) et l'on devine les efforts nécessaires que les héroïnes dû films doivent faire pour aller étudier leur art dans les Conservatoires parisiens. Il y a une phrase dans le film...:" la musique n'est élitiste ...elle change tout ceux qui en font ..."
    Jorik V
    Jorik V

    1 282 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2023
    On ne peut le nier, « Divertimento » est un bel hommage à la musique. La musique sous toutes ses formes, ses inspirations tout comme la manière dont on l’appréhende et celle qui fait qu’elle devient une passion, une raison de vivre. Peu importe qu’ici il soit question de musique classique et que le film soit inspiré d’une histoire vraie, cela aurait été de la techno ou du rock et inventé de toutes pièces, c’eut été la même chose. L’ode que la cinéaste fait à travers son nouveau long-métrage est prégnante et sincère.

    Marie-Castille Mention-Schaar est une cinéaste discrète mais régulière, s’essayant à tous types de sujets, toujours dans le réalisme. Elle s’est frottée à des thématiques souvent sérieuses comme le sublime et déchirant « Les Héritiers », qui traitait de la mémoire et de l’Histoire dans une classe de lycée, ou encore « A good man », sur la question transgenre. Ce sont d’ailleurs ses œuvres les plus réussies. Elle a aussi tenté des films plus légers avec beaucoup moins de brio (et de succès) comme avec la comédie totalement ratée « Bowling » ou le très oubliable film choral « La Fête des mères ».

    Ici, on est dans un entre-deux. Un film dont le sujet reste sérieux mais pas tragique et dont le résultat est bon mais pas transcendant. La faute à de nombreux petits défauts qui n’entachent pas pour autant un certain plaisir qu’on a à le visionner. Les scènes de répétition et de concert sont peut-être un peu trop nombreuses et répétitives, comme si la cinéaste avait choisi de construire « Divertimento » comme une partition musicale ou de chanson avec couplets et refrains. On a donc une scène de la vie des personnages suivie d’une séquence musicale et ainsi de suite de manière un peu trop programmatique. Et donc lassante. Ensuite, le personnage de la sœur, très bien joué par Lina El Harabi, souffre d’un traitement bancal. Pas assez développé pour être un premier rôle digne de ce nom et trop présente, mais de manière hasardeuse, pour être un second rôle. Il semblerait que le scénario n’ait pas su trancher et cela se ressent, il y a une frustration concernant ce personnage pour le spectateur. Enfin, comme souvent chez Mention-Schaar, la forme est de facture très (trop) classique, le visuel manquant de panache et de personnalité hormis quelques fulgurances en pointillés. On pense notamment aux moments où le personnage principal répète sur les toits de la cité ou quand des bruits de fond se transforment soudain en mélodie via son oreille.

    « Divertimento » nous happe tout de même au final par son côté vivifiant. La trajectoire de cette jeune fille passionnée et motivée nous emporte et c’est en grande partie grâce au talent de Oulaya Amamra. Son énergie et sa justesse de jeu sont indéniables et elle est pour beaucoup dans la réussite du film. Ensuite, il fait plaisir de constater que l’on peut montrer une famille issue de l’immigration bien intégrée, très instruite et cultivée tout en évacuant tous les clichés sur les cités. C’est rare et même si le film se déroule au milieu des années 90, cela est galvanisant, surtout en cette période compliquée pour la France. Les valeurs édictées ici, entre mixité sociale et diversité culturelle, sont belles et pas martelées de manière naïve. On apprécie également de voir le grand Niels Arestrup dans un second rôle qui lui va comme un gant et le sublime final, certes très happy-end feel-good movie, finit de nous convaincre de la simplicité et de la bonté d’un beau film sur la musique et la manière de la vivre.

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    Maryane75
    Maryane75

    19 abonnés 453 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2023
    Très bel hommage à Zahia Ziouani qui a eu beaucoup de chance d'avoir des parents aussi intelligents, ouverts d'esprit et bienveillants que les siens.
    Il n'y aura jamais assez de biopic sur toutes ces femmes qui ont du se battre et combattre la bêtise, la misogynie et le racisme pour vivre leur passion... vivre de leur passion...
    En 1997 ou 1998, alors que j'étais choriste dans un grand chœur parisien, nous avions été accompagnés par le philharmonique de Prague et l'orchestre était dirigé par une toute jeune femme pour le Requiem de Verdi.
    C'était magique.
    Pour en revenir au film par lui même je l'ai trouvé très juste et bien interprété. Tout le monde était à sa place et on ne peut plus crédible.
    Excellent.
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