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    Divertimento
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    Stéphane D
    Stéphane D

    124 abonnés 2 131 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 décembre 2024
    Les success story fonctionnent généralement très bien au cinéma. Ici on a un beau casting avec les 2 soeurs, le père et le mentor tous joués par de très bons comédiens. Dans les seconds rôles, c'est plus inégal et c'est pas facile de filmer des acteurs non musiciens de tenter de faire les bons gestes mais cela ne nuit pas à cette histoire (que je connaissais avant le film), malgré quelques petits passages trop caricaturaux.
    Math719
    Math719

    191 abonnés 711 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2023
    Un super film, avec des émotions qui surgissent grâce à la musique et la réussite ! Oulaya Amamra et Lina El Arabi flamboyantes et complices et on assiste ici à une réalisation sur une histoire vrai sur le début d’une célèbre chef d’orchestre. Quel peps ! C’est un film bien construit, on dévore chaque secondes jusqu’à la fin, une joyeuse petite pépite !
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 691 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2023
    Une belle tranche d’émotion pour le parcours semé d’embûches de cette cheffe d’orchestre, femme et d’origine algérienne, qui à force de volonté et de passion , a su s’élever dans cette hiérarchie très macho qu’est le milieu de la musique classique. Maintenant, quand je regarderai l’émission tv « Prodiges », où Zahia Ziouani est cheffe d’orchestre, je penserai à ce beau film, certes classique dans sa construction, mais faisant partager les immenses difficultés vécues par l’héroïne, superbement interprétée par Oulaya Amamra. En plus, tout le film est émaillé de splendides passages musicaux interprétés par l’orchestre créé par Zahia. Un bon moment.
    VOSTTL
    VOSTTL

    100 abonnés 1 955 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2023
    Voilà un récit qui fait du bien à l’âme et au coeur.
    Voilà un nouveau récit où la banlieue avec la cité est valorisée par deux jeunes filles à la tête bien remplie.
    Je précise « la cité » car le mot « banlieue » est souvent associé à « la cité » avec jeunes désoeuvrés ; alors que « la cité » ne signifie pas systématiquement banlieue.
    Et puis banlieue parisienne c’est aussi Neuilly-sur-Seine !

    Voilà un exemple où les parents ont été importants dans l’éducation de leurs enfants.
    Ah ! me direz-vous, ce n’est pas donné à tout le monde que d’avoir des parents intéressés par la musique classique.
    Pourtant il n’est pas nécessaire d’écouter de la musique classique pour élever au mieux ses enfants, il suffit de transmettre un peu de connaissance, ne pas tout ramener à la religion comme valeur soi-disant morale, et ne pas tout considérer comme tabou.
    Avoir un esprit ouvert et curieux.
    En tout cas, cette passion qui anime les filles Ziouani prend tellement d’énergie positive qu’elles n’ont pas le temps de traîner leur spleen ou leur colère dans la cité.
    La rage qui bouillonne dans le coeur de Zahia Ziouani qui se rêve - que dis-je ?! -, qui ambitionne de devenir l’une des rares femmes cheffes d’orchestre est également positive.
    spoiler: En plus, la vraie Zahia Ziouani y est parvenue !


    Voilà encore un récit solaire où la banlieue nous offre de belles personnes, loin des clichés habituels et répétitifs, même si ceux-là reflètent une réalité.

    Les soeurs Ziouani (et les parents sont à inclure) prouvent que la cité n’est pas nécessairement un frein à toutes les ambitions, que tout est possible même issues de l’immigration. Il est certain que ça passe par le travail, même si des obstacles demanderont deux fois plus d’effort pour un jeune des cités et le double pour une jeune.
    Les soeurs Ziouani prouvent que c’est possible et nous le savons : dans la classe politique, artistique et dans d’autres domaines professionnels, il y a des hommes et des femmes qui ont su braver le soi-disant « impossible », le « ce n’est pas pour moi ».

    Je parle des soeurs Ziouani, mais le film de Marie-Castille Mention-Schaar parle aussi de ces nombreux jeunes de Stains et des environs du 9.3 qui partagent cette passion.

    La réalisatrice s’est employée à ne recruter que de véritables musiciens capables de jouer aussi la comédie.
    Bravo à eux.
    Bravo à Marie-Castille Mention-Schaar pour sa direction et pour son exigence : faire appel à de véritables musiciens renforce la crédibilité du récit.

    En ce qui me concerne, j’ai été très vite scotché par la trame et ému par le parcours de tous ces jeunes gens et en particulier des soeurs Zahia et Fettouma Ziouani respectivement bien incarnées par Oulaya Amamra et Lina El Arabi.
    Oulaya Amamra m’avait impressionné dans le percutant « Divine », récit pessimiste d’une cité, mais aussi dans « Fragile » d’Emma Benestan où la cité était à son avantage.
    Quant à Lina El Arabi, elle m’avait bouleversé dans « Les Meilleures » de Marion Desseigne - Ravel, récit audacieux sur l’homosexualité de deux jeunes filles d’une cité.
    A ces deux films que je cite souvent, j’ajoute « Une histoire d’amour et de désir », de Leyla Bouzid comme valeur de référence. Films réalisés par des femmes qui m’offrent un tout autre regard sur les cités, loin des fameux clichés habituels décrits exagérément ci-dessus.
    A ce jour, je rajoute « Divertimento » de Marie-Castille Mention-Schaar. D’elle, je pourrais ajouter « Les Héritiers », autre film sur des jeunes lycéens d’une cité qui m’avait profondément touché.
    Au-delà du cliché, ce sont aussi des récits qui s’appliquent à balayer les préjugés.
    Ils font du bien.

    « Divertimento » aurait pu mal tourner avec ces fameux clichés banlieue versus Paris quand les soeurs Ziouani intègrent le lycée Racine. Les réflexions classiques fusent.

    Pour exercer dans une école REP+ et pour avoir exercé dans un collège REP, les clichés sont la vie.
    Pour avoir vécu une expérience récente cette année où une classe de notre école a participé à un projet au sein de l’Opéra de Nice, les clichés étaient bien présents.
    Quelques uns de nos petits élèves traitaient les élèves de l’Opéra de « bourges » sous prétexte qu’ils étaient bien blancs avec des vêtements considérés comme indécents si lesdits petits bourges venaient à se promener dans leur cité !
    « Divertimento » ne surligne pas trop les différences, mais on ne pouvait pas les occulter. Les clichés ont la vie dure mais la vie est un cliché comme j’ai pour habitude de l’écrire.
    La scène où les musiciens parisiens volontaires se rendent à Stains pour participer au projet de Zahia était amusante. L’idée, quelque peu stressante, de se rendre à Stains - « passer de l’autre côté du périphérique » -, traduit bien une réalité qu’on ne peut passer sous silence.
    Réalité ?
    Cliché ?
    Les deux mon capitaine !

    J’ai apprécié que Marie-Castille Mention-Schaar se soit attardée sur le langage de la musique ; sur la capacité cérébrale de ses musiciens à l’appréhender ; je suis fasciné par leurs connaissances musicales en terme de mesure, de tempo, d’oreille, d’écoute, de pratiques, de concentration, de sensibilité, ils fréquentent les hautes sphères de la musique ; sur la gestique et ses significations ; sur cet apprentissage rigoureux et infini des musicien(ne)s ; sur la détermination et la frustration des soeurs Ziouani, et surtout sur l’illustration de leur passion comme ces scènes où Zahia s’enivre des sons émis de la rue mêlés aux partitions qu’elle fredonne dans sa tête.
    On perçoit nettement que tout est musique pour elle car « la musique est la vie », propos que je partage pleinement.

    Peu m’importe que le film soit de facture classique (!), j’ai vibré et c’est là l’essentiel.

    C’est nettement mieux que « Maestro(s) » vu dernièrement.
    Mais peut-on comparer le superficiel « Maestro(s) à ce « Divertimento » profond ?
    Suis-je objectif ?
    C’est un autre débat.
    ATON2512
    ATON2512

    60 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2023
    De Marie-Castille Mention-Schaar (2022).
    Un vent d'optimisme. Une belle surprise pleine d'optimisme malgré les préjugés et les différences de classes pour une belle histoire vraie . Le début du film montre clairement mais sans en rajouter les freins d'une certaine intégration, les préjugés autant liés à l'origine qu'à la classe sociale dont les personnes sont issues . Ce sans en rajouter trop (c'était un peu la crainte aux premier quart d'heure du film!) . Mais ce que le film dépose c'est autant la persévérance avec laquelle les deux jeunes femmes vont faire preuve pour démonter qu'elles sont à la hauteur de leur rêve. Un film sur la persévérance , oui mais aussi sur la croyance en ses rêves et que nul n'est impossible . Le jeu des deux protagonistes et en ce sens formidable . Mais le film a aussi une autre grande qualité à savoir que les préjugés et le rejet même feutré de ce qui n'est pas soi est nourrit de l'ignorance . Et tel un fil conducteur le film nous montre l'évolution des sentiments et ressentis de ses fameux élèves (un peu) élitistes du lycée ''Racine'' vers plus de compréhension et d'ouverture d'esprit . Le film est une fantastique éloge de la persévérance et de l'esprit créatif de la jeunesse d'où qu'elle soit (origine culturelle autant que sociale). Rien que pour cela il faut voir le film. Enfin et surtout il y a la musique que le film rend un certain hommage . Il y a des scènes très fortes que ce soit l'évocation du père pourtant d'une autre culture et d'un milieu différent à la musique . Très fort et prenant et bien interprété par Zinedine Soualem formidable . La leçon de musique de Niels Arestrup en maestro . Et bien sûr la magistrale interprétation d' Oulaya Amamra, pleine de force , de doute et conviction comme aussi Lina El Arabi. Enfin une belle histoire sur la création et le développement de cet ensemble orchestral .
    Marc Taton (Belgique)
    Marc Taton (Belgique)

    34 abonnés 677 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 août 2024
    Un biopic qui ne m'a pas emballé, cette histoire d'une jeune fille issue d'un milieu difficile voulant devenir chef d'orchestre a attisé ma curiosité mais j'avoue avoir été déçu, l'histoire tourne en rond et la musique classique est omniprésente (si vous êtes réfractaire à ce style musical n'hésitez pas à passer votre chemin sous peine d 'overdose), j'avais à certains moments l'impression de regarder un documentaire sur les répétitions d'un orchestre symphonique. Les acteurs sont bons et le rôle de maestro va comme un gant à Niels Arestrup, mais cela ne suffit pas pour passer un bon moment..
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    69 abonnés 781 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 février 2023
    Revu avec grand plaisir une deuxième fois avec des préados cette fois-ci. Ils ont bien appréciés et décidément le scénario autour de la vie de Zahia est riche et didactique. Bravo; Février 23
    cinéma 2
    Benevaaucine
    Benevaaucine

    24 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2023
    Inspiré d’un histoire vraie, Divertimento retrace le parcours ambitieux et passionné de sœurs jumelles Zahia et Fettouma, musiciennes prodiges, et la naissance de leur orchestre symphonique à Stains.

    Un film qui gravite autour de la musique : on y écoute avec plaisir des grands « tubes » de la musique classique avec toute la puissance et la nuance que permet le son au cinéma. Un film musical assez peu bavard finalement, les scènes de dialogues les plus marquantes restant celles avec Niels Arestrup, génial en mentor intransigeant, désireux de transmettre sa passion à cette jeune femme qui dirige son orchestre avec une grâce particulièrement belle à contempler.

    Marie Castille Mention Schaar aime aborder les thématiques sociales dans ses films, parler des diversités et minorités mais là où elle se distingue de nombreux autres réalisateurs c’est qu’elle n’appuie pas dessus en permanence. La destinée de ces personnages n’en est que plus impressionnante.
    Sur la forme, en parvenant à mêler (sans fausse note) musique et cinéma, à filmer l’union du musicien et de son instrument, l’harmonie et tout ce qui peut se jouer au sein de l’orchestre ; sur le fond en racontant la rencontre entre le 9 3 et le 16ème arrondissement pour l’accomplissement d’un objectif commun, elle nous prouve que la réunion entre deux univers différents est possible et que Si l’art peut diviser, il faut reconnaitre qu’il est aussi fédérateur.

    Une belle note d’espoir, porté par deux talentueuses comédiennes !

    Mon Instagram : @benevaaucine
    Bernard M
    Bernard M

    26 abonnés 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 février 2023
    La mode est au film style " mission impossible plus ou moins basée sur des faits réels" et Divermento appartient à cette catégorie là et c'est une réussite:deux jeunes filles d'origine étrangère et d'un milieu modeste veulent faire un métier d'hommes( chef d'orchestre pour l'une et violoncelliste pour l'autre), ce n'est pas gagné d'avance.Il faut faire passer 'idée que c'est long, laborieux sans jamais que le spectateur trouve cela long et ennuyeux et ce pari là est réussi.Niels Arestrups vieillissant trouve un rôle à sa mesure en ancien chef d'orchestre qui donne des cours de direction d'orchestre à une jeune élève, un rôle tout en nuance où il faut montrer fermeté, rigueur mais aussi compréhension; Les deux jeunes actrices se débrouillent fort bien de leur rôle difficile.Le film présente des défauts mineurs mais surtout il ne laisse pas un souvenir impérissable sauf peut-être la scène finale qui paraît sortir d'un conte des mille et une nuits.
    Epistemon
    Epistemon

    32 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 février 2023
    Un biopic qui vaut le déplacement. Pour la convaincante Oulaya Amamra dans le rôle de Zahia, obstinée en lutte contre tous. Mais aussi pour Niels Arestrup, impérial dans le rôle de Sergiu Celibidache, Pygmalion et tyran criant de vérité.
    Maryane75
    Maryane75

    19 abonnés 453 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juillet 2023
    Très bel hommage à Zahia Ziouani qui a eu beaucoup de chance d'avoir des parents aussi intelligents, ouverts d'esprit et bienveillants que les siens.
    Il n'y aura jamais assez de biopic sur toutes ces femmes qui ont du se battre et combattre la bêtise, la misogynie et le racisme pour vivre leur passion... vivre de leur passion...
    En 1997 ou 1998, alors que j'étais choriste dans un grand chœur parisien, nous avions été accompagnés par le philharmonique de Prague et l'orchestre était dirigé par une toute jeune femme pour le Requiem de Verdi.
    C'était magique.
    Pour en revenir au film par lui même je l'ai trouvé très juste et bien interprété. Tout le monde était à sa place et on ne peut plus crédible.
    Excellent.
    Marine V.
    Marine V.

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2023
    Très bon film, on se laisse emporter par la musique, cela donne envie d'aller écouter un orchestre symphonique
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juillet 2023
    Oulala! Que ce film commençait mal avec les éternels clichés entre bobos et les deux jumelles venant de Seine-Saint-Denis. Heureusement, Oulaya Amamra et, dans une moindre mesure Lina El Arabi, apportent leur rayonnement à cette oeuvre musicale. Cette histoire tirée de faits réels (en l'occurrence la création de l'orchestre Divertimento) contient de bons moments avec un Niels Arestrup en "père protecteur" capable des pires colères. La fraîcheur des interprètes amène à oublier un scénario un peu fleur bleue, et finalement on passe un moment correct à défaut d'être réellement emballé par cette histoire aux allures de déjà-vu ("Ténor" par exemple).
    CH1218
    CH1218

    207 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 septembre 2023
    Inspiré de l’histoire des jumelles Ziouani, le film de Marie-Castille Mention-Schaar se concentre davantage sur Zahia (magnifique Oulaya Amamra) qui se rêve en cheffe d’orchestre que sur sa sœur violoncelliste Fettouma (Lina El Arabi, très bien également). Ne tombant jamais dans le pathos, ce biopic n’évite cependant pas les clichés mais sait toucher son public aussi bien aux oreilles qu’au cœur.
    MediaShow
    MediaShow

    146 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2023
    réalisé par Marie-Castille Mention-Schaar, Divertimento est un très bon drame français et qui repose sur une histoire vraie. Le scénario est divertissant, bien rythmé avec des personnages forts attachants. La mise en scène est soignée avec des scènes d’orchestre bien filmées. Enfin, la distribution est brillamment portée par la jeune Oulaya Amamra.

    Mon avis complet , sans spoilers : https://mediashowbydk.com/2023/02/01/critique-film-divertimento/
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