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    Divertimento
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    cinono1
    cinono1

    297 abonnés 2 053 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 août 2023
    Parfois feel good movie et réalité ne font qu'un. Si c'est bien un feel good movie dont il s'agit, c'est aussi l'histoire bien réelle des sœurs Ziouani. Deux sœurs qui ont su surmonter les obstacles devant elles, armées qu'elles étaient de leurs passion pour la musique. Malgré quelques erreurs techniques typique de 1er film , c'est assez enthousiasmant et revigorant.La musique est omniprésente dans l'esprit des sœurs dans leur quotidien , le bruit d'une rame de métro ou d'un tourniquet est un rythme à apprivoiser. La musique classique joué, est magnifique et participe à la réussite du film. Une belle histoire qui méritait d'être racontée. Revigorant
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 696 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2023
    Comment faire corps avec la musique ? Comment ne faire qu'un avec l'orchestre que l'on dirige ?

    Malgré quelques personnages et dialogues trop appuyés, un film solaire et entraînant sur la passion et la détermination, sur l'esprit de troupe et la force communicative de la musique.

    Un beau petit feel-good movie dont le visionnage donne envie de se replonger au cœur de la musique classique.
    Corbett
    Corbett

    31 abonnés 108 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2023
    Superbe film, très émouvant. je ne connaissais pas l'orchestre Divertimento, et c'est un bonheur de voir le trajet de ces deux femmes ! Quel caractère, quel force de vie, quel parcours ! ça donne envie de soulever des montagnes. Un film qui fait un bien fou.
    Bernard F
    Bernard F

    26 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2023
    Un très beau film sur un très beau parcours et sur ce que la dite "diversité" peut nous apporter de mieux. Une parfaite intégration par la connaissance et par la musique qui peuvent servir de modèle tout autant que par les canaux habituels et rabâchés à l'envi que sont le foot et ses stars multimillionnaires. Très bien interprêté, ce film nous fait partager les difficultés qu'il faut surmonter quand on n'est pas sensé appartenir au milieu de la musique classique. Persévérance, effort, travail. Et une famille au soutien sans faille. Et puis, contrairement à d'autres films, au moins, on entend de la musique. Là, il n'y a pas de bla bla aussi lassant que prétentieux. Un film très touchant et d'une grande utilité dans notre société actuelle. A voir absolument.
    Dandzfr
    Dandzfr

    17 abonnés 119 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2023
    On suit le parcours des 2 sœurs avec beaucoup de plaisir. De beaux morceaux de classique.. Un peu de musique kabyle. Divertimento est un beau divertissement.
    dan47
    dan47

    54 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 janvier 2023
    félicitations aux jeunes et très jeunes musiciens qui ne sont pas doublés et ça c'est merveilleux. les morceaux de musique ont été très bien choisis. ce n'est pas très bien joué mais ce n'est pas très grave dans l'ensemble du film parce qu'on connaît le parcours extraordinaire de cette chef d'orchestre qui n'est pas naît avec "une cuillère d'argent dans la bouche" qui vient du 93 et qui a tant fait pour les jeunes de Stains accompagnée de sa sœur jumelle qui est tout autant impressionnante.
    Jylg
    Jylg

    42 abonnés 354 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 février 2023
    Ce n'est pas simplement un n ieme film sur le jeûne de banlieue qui traverse le perif avec succès, cette ode à la musique classique pour tous traité aussi du féminisme, du racisme ordinaire et de l'inclusion. Des jeunes actrices au top, un Niels Alstrup énorme , avec une musique délicieuse. À voir absolument.
    ECONY
    ECONY

    11 abonnés 56 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 janvier 2023
    Ce film est un vrai régal. Belle musique évidemment !…beaux lieus mélangés avec la banlieue. C’est bien fait. Les acteurs jouent divinement bien 👍. On se laisse vite emmené dans ce tourbillon.
    Iris XimeneS
    Iris XimeneS

    7 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 janvier 2023
    c'est à peu près le brio version musique... j'ai passé un plutôt bon moment mais c'est un peu en boucle (WAW ELLE EST DOUÉE -> oh zut elle va pas y arriver -> WAW ELLE EST DOUÉE)
    Redzing
    Redzing

    1 100 abonnés 4 455 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2024
    "Divertimento" revient sur quelques mois de la vie de Zahia Ziouani, cheffe d'orchestre aujourd'hui reconnue. Mais en 1995, c'était une autre histoire. Alors au lycée, elle a galéré à suivre ses rêves, entre le travail à fournir, et les brimades des uns et des autres.
    On est ici devant une success story bien menée mais très classique et sans surprise. Portée par de bons comédiens, dont l'énergique Oulaya Amamra, et Niels Arestrup en maestro à la fois protecteur et cassant.
    Je regrette quand même quelques caricatures. Je veux bien que la vraie Zahia ait subi de nombreuses moqueries dans la vraie vie. Entre le fait qu'elle est une femme dans un monde d'hommes. Ou qu'elle soit d'origine algérienne et issue de quartiers défavorisés, faisant grincer les dents des parisiens de bonne famille. Mais ce qui nous est montré à l'écran est un brin excessif, certains personnages n'existant que pour se moquer ou poser des embûches.
    Pour le reste, c'est tout à fait plaisant, sans rien révolutionner, sur la poursuite des rêves. N'ayant aucune connaissance en musique classique, je ne saurai dire si le film est pertinent à ce niveau.
    Hotinhere
    Hotinhere

    545 abonnés 4 946 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 octobre 2023
    Inspiré d’une histoire vraie, le récit d’apprentissage audacieux d’une lycéenne de banlieue déterminée à devenir chef d’orchestre, noyé hélas dans un océan de clichés, malgré la prestation sans fausse note d’Oulaya Amamra, bien drivée par le maestro Niels Arestrup.
    Math719
    Math719

    182 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2023
    Un super film, avec des émotions qui surgissent grâce à la musique et la réussite ! Oulaya Amamra et Lina El Arabi flamboyantes et complices et on assiste ici à une réalisation sur une histoire vrai sur le début d’une célèbre chef d’orchestre. Quel peps ! C’est un film bien construit, on dévore chaque secondes jusqu’à la fin, une joyeuse petite pépite !
    Claude DL
    Claude DL

    87 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2023
    Une belle tranche d’émotion pour le parcours semé d’embûches de cette cheffe d’orchestre, femme et d’origine algérienne, qui à force de volonté et de passion , a su s’élever dans cette hiérarchie très macho qu’est le milieu de la musique classique. Maintenant, quand je regarderai l’émission tv « Prodiges », où Zahia Ziouani est cheffe d’orchestre, je penserai à ce beau film, certes classique dans sa construction, mais faisant partager les immenses difficultés vécues par l’héroïne, superbement interprétée par Oulaya Amamra. En plus, tout le film est émaillé de splendides passages musicaux interprétés par l’orchestre créé par Zahia. Un bon moment.
    VOSTTL
    VOSTTL

    93 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 août 2023
    Voilà un récit qui fait du bien à l’âme et au coeur.
    Voilà un nouveau récit où la banlieue avec la cité est valorisée par deux jeunes filles à la tête bien remplie.
    Je précise « la cité » car le mot « banlieue » est souvent associé à « la cité » avec jeunes désoeuvrés ; alors que « la cité » ne signifie pas systématiquement banlieue.
    Et puis banlieue parisienne c’est aussi Neuilly-sur-Seine !

    Voilà un exemple où les parents ont été importants dans l’éducation de leurs enfants.
    Ah ! me direz-vous, ce n’est pas donné à tout le monde que d’avoir des parents intéressés par la musique classique.
    Pourtant il n’est pas nécessaire d’écouter de la musique classique pour élever au mieux ses enfants, il suffit de transmettre un peu de connaissance, ne pas tout ramener à la religion comme valeur soi-disant morale, et ne pas tout considérer comme tabou.
    Avoir un esprit ouvert et curieux.
    En tout cas, cette passion qui anime les filles Ziouani prend tellement d’énergie positive qu’elles n’ont pas le temps de traîner leur spleen ou leur colère dans la cité.
    La rage qui bouillonne dans le coeur de Zahia Ziouani qui se rêve - que dis-je ?! -, qui ambitionne de devenir l’une des rares femmes cheffes d’orchestre est également positive.
    spoiler: En plus, la vraie Zahia Ziouani y est parvenue !


    Voilà encore un récit solaire où la banlieue nous offre de belles personnes, loin des clichés habituels et répétitifs, même si ceux-là reflètent une réalité.

    Les soeurs Ziouani (et les parents sont à inclure) prouvent que la cité n’est pas nécessairement un frein à toutes les ambitions, que tout est possible même issues de l’immigration. Il est certain que ça passe par le travail, même si des obstacles demanderont deux fois plus d’effort pour un jeune des cités et le double pour une jeune.
    Les soeurs Ziouani prouvent que c’est possible et nous le savons : dans la classe politique, artistique et dans d’autres domaines professionnels, il y a des hommes et des femmes qui ont su braver le soi-disant « impossible », le « ce n’est pas pour moi ».

    Je parle des soeurs Ziouani, mais le film de Marie-Castille Mention-Schaar parle aussi de ces nombreux jeunes de Stains et des environs du 9.3 qui partagent cette passion.

    La réalisatrice s’est employée à ne recruter que de véritables musiciens capables de jouer aussi la comédie.
    Bravo à eux.
    Bravo à Marie-Castille Mention-Schaar pour sa direction et pour son exigence : faire appel à de véritables musiciens renforce la crédibilité du récit.

    En ce qui me concerne, j’ai été très vite scotché par la trame et ému par le parcours de tous ces jeunes gens et en particulier des soeurs Zahia et Fettouma Ziouani respectivement bien incarnées par Oulaya Amamra et Lina El Arabi.
    Oulaya Amamra m’avait impressionné dans le percutant « Divine », récit pessimiste d’une cité, mais aussi dans « Fragile » d’Emma Benestan où la cité était à son avantage.
    Quant à Lina El Arabi, elle m’avait bouleversé dans « Les Meilleures » de Marion Desseigne - Ravel, récit audacieux sur l’homosexualité de deux jeunes filles d’une cité.
    A ces deux films que je cite souvent, j’ajoute « Une histoire d’amour et de désir », de Leyla Bouzid comme valeur de référence. Films réalisés par des femmes qui m’offrent un tout autre regard sur les cités, loin des fameux clichés habituels décrits exagérément ci-dessus.
    A ce jour, je rajoute « Divertimento » de Marie-Castille Mention-Schaar. D’elle, je pourrais ajouter « Les Héritiers », autre film sur des jeunes lycéens d’une cité qui m’avait profondément touché.
    Au-delà du cliché, ce sont aussi des récits qui s’appliquent à balayer les préjugés.
    Ils font du bien.

    « Divertimento » aurait pu mal tourner avec ces fameux clichés banlieue versus Paris quand les soeurs Ziouani intègrent le lycée Racine. Les réflexions classiques fusent.

    Pour exercer dans une école REP+ et pour avoir exercé dans un collège REP, les clichés sont la vie.
    Pour avoir vécu une expérience récente cette année où une classe de notre école a participé à un projet au sein de l’Opéra de Nice, les clichés étaient bien présents.
    Quelques uns de nos petits élèves traitaient les élèves de l’Opéra de « bourges » sous prétexte qu’ils étaient bien blancs avec des vêtements considérés comme indécents si lesdits petits bourges venaient à se promener dans leur cité !
    « Divertimento » ne surligne pas trop les différences, mais on ne pouvait pas les occulter. Les clichés ont la vie dure mais la vie est un cliché comme j’ai pour habitude de l’écrire.
    La scène où les musiciens parisiens volontaires se rendent à Stains pour participer au projet de Zahia était amusante. L’idée, quelque peu stressante, de se rendre à Stains - « passer de l’autre côté du périphérique » -, traduit bien une réalité qu’on ne peut passer sous silence.
    Réalité ?
    Cliché ?
    Les deux mon capitaine !

    J’ai apprécié que Marie-Castille Mention-Schaar se soit attardée sur le langage de la musique ; sur la capacité cérébrale de ses musiciens à l’appréhender ; je suis fasciné par leurs connaissances musicales en terme de mesure, de tempo, d’oreille, d’écoute, de pratiques, de concentration, de sensibilité, ils fréquentent les hautes sphères de la musique ; sur la gestique et ses significations ; sur cet apprentissage rigoureux et infini des musicien(ne)s ; sur la détermination et la frustration des soeurs Ziouani, et surtout sur l’illustration de leur passion comme ces scènes où Zahia s’enivre des sons émis de la rue mêlés aux partitions qu’elle fredonne dans sa tête.
    On perçoit nettement que tout est musique pour elle car « la musique est la vie », propos que je partage pleinement.

    Peu m’importe que le film soit de facture classique (!), j’ai vibré et c’est là l’essentiel.

    C’est nettement mieux que « Maestro(s) » vu dernièrement.
    Mais peut-on comparer le superficiel « Maestro(s) à ce « Divertimento » profond ?
    Suis-je objectif ?
    C’est un autre débat.
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 janvier 2023
    De Marie-Castille Mention-Schaar (2022).
    Un vent d'optimisme. Une belle surprise pleine d'optimisme malgré les préjugés et les différences de classes pour une belle histoire vraie . Le début du film montre clairement mais sans en rajouter les freins d'une certaine intégration, les préjugés autant liés à l'origine qu'à la classe sociale dont les personnes sont issues . Ce sans en rajouter trop (c'était un peu la crainte aux premier quart d'heure du film!) . Mais ce que le film dépose c'est autant la persévérance avec laquelle les deux jeunes femmes vont faire preuve pour démonter qu'elles sont à la hauteur de leur rêve. Un film sur la persévérance , oui mais aussi sur la croyance en ses rêves et que nul n'est impossible . Le jeu des deux protagonistes et en ce sens formidable . Mais le film a aussi une autre grande qualité à savoir que les préjugés et le rejet même feutré de ce qui n'est pas soi est nourrit de l'ignorance . Et tel un fil conducteur le film nous montre l'évolution des sentiments et ressentis de ses fameux élèves (un peu) élitistes du lycée ''Racine'' vers plus de compréhension et d'ouverture d'esprit . Le film est une fantastique éloge de la persévérance et de l'esprit créatif de la jeunesse d'où qu'elle soit (origine culturelle autant que sociale). Rien que pour cela il faut voir le film. Enfin et surtout il y a la musique que le film rend un certain hommage . Il y a des scènes très fortes que ce soit l'évocation du père pourtant d'une autre culture et d'un milieu différent à la musique . Très fort et prenant et bien interprété par Zinedine Soualem formidable . La leçon de musique de Niels Arestrup en maestro . Et bien sûr la magistrale interprétation d' Oulaya Amamra, pleine de force , de doute et conviction comme aussi Lina El Arabi. Enfin une belle histoire sur la création et le développement de cet ensemble orchestral .
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