Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Marie-Castille Mention-Schaar signe un film passionnant sur l’ascension d’une musicienne déterminée à réussir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par N.C.
Un harmonieux feel good movie.
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Un éloge du collectif bienvenu et nécessaire qui casse les codes, en associant l’éthique de travail et les quartiers populaires. m
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Oulaya Amamra, sans exagération ou clichés d’aucune sorte, est un double naturel de la rayonnante Zahia Ziouani.
Le Parisien
par La Rédaction
Le casting est flamboyant et ce parcours de vie donnera envie à la jeunesse (et plus) de se battre pour accomplir ses rêves.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé Loisirs
par Pierre Chagny
Cette histoire vraie, mise en scène sans manichéisme ni caricature (ça fait du bien !) par Marie-Castille Mention-Schaar, permet à Oulaya Amamra (césar du meilleur espoir féminin en 2017 pour Divines) de révéler encore un peu plus ses talents d'interprète.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Le portrait sans clichés d’une famille immigrée, le dessin des frontières supposées infranchissables entre banlieue et lycée musical chic du 16e arrondissement de Paris et la violence muette du déterminisme social évitent à ce feel-good movie sociétal de sombrer dans la candeur. Manque juste un rien de mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Emmanuelle Giuliani
Inspiré des jeunes années de la cheffe d’orchestre Zahia Ziouani, le film de Marie-Castille Mention-Schaar parvient à faire ressentir comment la musique transforme une vie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Joliment soutenue par Lina El Arabi et de vrais musiciens à l’orchestre, la pétillante Oulaya Amamra élargit sa partition d’actrice et mène son petit monde à la baguette avec une ténacité et une justesse convaincantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Echos
par Olivier De Bruyn
A la baguette de cette fiction d'une facture (très) classique, mais dépourvue de fausses notes, Marie-Castille Mention-Schaar retrace avec sensibilité le parcours de Zahia Ziouani, une jeune fille qui ne jure que par la musique classique et désire devenir cheffe d'orchestre. Un film modeste et touchant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Antoine Corte
Divertimento met en lumière la success story de Zahia Ziouani, rare cheffe d’orchestre féminine à avoir percé en France. Le film prône également la mixité sociale dans le domaine culturel. Marie-Castille MentionSchaar est ici sur son terrain de prédilection.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Quelques maladresses et des répétitions ne gâchent pas le plaisir de suivre cette success-story, un peu trop sage au début, jusqu’à l’apparition de Niels Arestrup, génial dans le rôle de l’exigeant maestro roumain Sergiu Celibidache.
Télérama
par Sophie Bourdais
Un film émouvant qui sonne juste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Valentine Guégan
Mais la dénonciation cède vite le pas à un cliché particulièrement courant au cinéma, selon lequel le talent outrepasse miraculeusement les hiérarchies sociales.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Magnifique histoire vraie pour un film qui peine quand même à dépasser la simple illustration et à incarner la combativité fiévreuse qui a dû animer les protagonistes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Thierry Hillériteau
On en ressort avec quelques belles images (ces vues nocturnes de Seine-Saint-Denis qui reviennent en leitmotiv). Mais aussi et surtout un immense sentiment de frustration.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par M. Dl
Arrimé à la détermination de Zahia, le film peine à insuffler de la vie à des situations de crise qui tiennent davantage du programme politique que de l’observation patiente des relations humaines.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Thierry Cheze
Mais à cause d’un scénario trop programmatique peinant à faire vivre ses personnages secondaires (à commencer par celui de sa sœur jumelle), la fiction n’apporte rien à cette histoire qu’aurait sans doute mieux célébré un documentaire, en dépit de la qualité de l’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Marie-Castille Mention-Schaar signe un film passionnant sur l’ascension d’une musicienne déterminée à réussir.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Un harmonieux feel good movie.
L'Humanité
Un éloge du collectif bienvenu et nécessaire qui casse les codes, en associant l’éthique de travail et les quartiers populaires. m
Le Dauphiné Libéré
Oulaya Amamra, sans exagération ou clichés d’aucune sorte, est un double naturel de la rayonnante Zahia Ziouani.
Le Parisien
Le casting est flamboyant et ce parcours de vie donnera envie à la jeunesse (et plus) de se battre pour accomplir ses rêves.
Télé Loisirs
Cette histoire vraie, mise en scène sans manichéisme ni caricature (ça fait du bien !) par Marie-Castille Mention-Schaar, permet à Oulaya Amamra (césar du meilleur espoir féminin en 2017 pour Divines) de révéler encore un peu plus ses talents d'interprète.
L'Obs
Le portrait sans clichés d’une famille immigrée, le dessin des frontières supposées infranchissables entre banlieue et lycée musical chic du 16e arrondissement de Paris et la violence muette du déterminisme social évitent à ce feel-good movie sociétal de sombrer dans la candeur. Manque juste un rien de mise en scène.
La Croix
Inspiré des jeunes années de la cheffe d’orchestre Zahia Ziouani, le film de Marie-Castille Mention-Schaar parvient à faire ressentir comment la musique transforme une vie.
Le Journal du Dimanche
Joliment soutenue par Lina El Arabi et de vrais musiciens à l’orchestre, la pétillante Oulaya Amamra élargit sa partition d’actrice et mène son petit monde à la baguette avec une ténacité et une justesse convaincantes.
Les Echos
A la baguette de cette fiction d'une facture (très) classique, mais dépourvue de fausses notes, Marie-Castille Mention-Schaar retrace avec sensibilité le parcours de Zahia Ziouani, une jeune fille qui ne jure que par la musique classique et désire devenir cheffe d'orchestre. Un film modeste et touchant.
Les Fiches du Cinéma
Divertimento met en lumière la success story de Zahia Ziouani, rare cheffe d’orchestre féminine à avoir percé en France. Le film prône également la mixité sociale dans le domaine culturel. Marie-Castille MentionSchaar est ici sur son terrain de prédilection.
Télé 7 Jours
Quelques maladresses et des répétitions ne gâchent pas le plaisir de suivre cette success-story, un peu trop sage au début, jusqu’à l’apparition de Niels Arestrup, génial dans le rôle de l’exigeant maestro roumain Sergiu Celibidache.
Télérama
Un film émouvant qui sonne juste.
Cahiers du Cinéma
Mais la dénonciation cède vite le pas à un cliché particulièrement courant au cinéma, selon lequel le talent outrepasse miraculeusement les hiérarchies sociales.
La Voix du Nord
Magnifique histoire vraie pour un film qui peine quand même à dépasser la simple illustration et à incarner la combativité fiévreuse qui a dû animer les protagonistes.
Le Figaro
On en ressort avec quelques belles images (ces vues nocturnes de Seine-Saint-Denis qui reviennent en leitmotiv). Mais aussi et surtout un immense sentiment de frustration.
Le Monde
Arrimé à la détermination de Zahia, le film peine à insuffler de la vie à des situations de crise qui tiennent davantage du programme politique que de l’observation patiente des relations humaines.
Première
Mais à cause d’un scénario trop programmatique peinant à faire vivre ses personnages secondaires (à commencer par celui de sa sœur jumelle), la fiction n’apporte rien à cette histoire qu’aurait sans doute mieux célébré un documentaire, en dépit de la qualité de l’interprétation.