Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Culturopoing.com
par Jean-François Dickeli et Vincent Nicolet
Cet ultime long-métrage a beau être le film mineur d’un artiste majeur, nous sommes prêts à parier que la postérité lui sera favorable, qu’il sera reconsidéré dans un débat dépassionné. […] The Palace est l’une des choses les moins aimables et agréables que nous ayons vu depuis longtemps, mais aussi l’une des plus franches et sincères.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Marianne
par La rédaction
The Palace aligne les saynètes de mauvais goût avec une cruelle délectation et n’épargne aucun de ses protagonistes. Certes, le film n’échappe ni aux redondances, ni aux facilités, mais son humour vachard réjouit plus d’une fois.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Monde
par J. Ma.
Polanski a beau secouer le caisson de champagne, le film fait pschitt !
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Malgré ses redondances et outrances, toutes assumées, cette comédie vacharde qui rappelle parfois l'univers de Fellini et de Ferreri ou, plus près de nous, celui de Ruben Ostlund (Sans filtre), réjouit de temps à autre avec son humour sardonique, son sens du grotesque et son mauvais esprit. Les amateurs de juste mesure doivent évidemment s'abstenir.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
20 Minutes
par Caroline Vié
À l’image des blagues d’un vieux tonton qu’on a adoré quand on était enfant et qu’on fuit désormais lors de repas de famille trop arrosés, le film constitue une expérience douloureuse : il ne met pas en colère, il fait de la peine.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
[...] qui Polanski croît-il offenser dans cet univers d’ultra-riches où s’écharpent retraités du porno, mafieux russes et touristes saoudiennes ? La véritable vulgarité qui cercle The Palace est cette conception d’une comédie "à l’italienne" anachronique et au souffle court, obsédée par l’érection et les excréments, et ne proposant qu’un amas de saynètes brouillonnes.
Critikat.com
par Thomas Grignon
Face à un tel salmigondis, il est difficile de donner le moindre crédit à la posture de surplomb adoptée par le cinéaste, épinglant cruellement les manies de ses congénères, comme s’il était le seul à avoir les mains propres.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Les riches ? Des cons, imbus et capricieux. Quel scoop ! Devant tant d’ire vomitive, le spectateur, d’abord décontenancé, cède à l’ahurissement, puis à l’accablement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un ratage monumental de Roman Polanski.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Catherine Balle
Et il est essentiellement question de caviar, de taille de pénis, de vers intestinaux et de vibromasseur (...). Pour le réveillon, donc, Polanski nous offre une grosse meringue sucrée, étouffante et indigeste.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Une satire accablante, qui tombe à plat dans les grandes largeurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Mad Movies
par F.C.
Jamais drôle, souvent gênant, The Palace suinte tout au long du mépris souverain des auteurs pour leurs personnages, et de leur profonde conviction que le public ne peut que se joindre à leurs ricanements satisfaits.
Ouest France
par Catherine Balle
Il est essentiellement question de caviar, de taille de pénis, de vers intestinaux et de vibromasseur.
Première
par Frédéric Foubert
C’est un film si agressif, laid et misanthrope qu’on peut raisonnablement avancer que Polanski l’a conçu comme un doigt d’honneur. Un crachat, pensé pour exciter la colère de la foule cinéphile, l’acte sacrificiel d’un auteur qui, comme il sait qu’il ne quittera pas la scène sous les applaudissements, choisit d’encourager les huées.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Marie Sauvion
Un groupe d’ultra-riches fête le passage à l’an 2000 dans l’attente du big bug. Qui n’arrive pas, tandis que s’enchaînent des scènes consternantes de vanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Cet ultime long-métrage a beau être le film mineur d’un artiste majeur, nous sommes prêts à parier que la postérité lui sera favorable, qu’il sera reconsidéré dans un débat dépassionné. […] The Palace est l’une des choses les moins aimables et agréables que nous ayons vu depuis longtemps, mais aussi l’une des plus franches et sincères.
Marianne
The Palace aligne les saynètes de mauvais goût avec une cruelle délectation et n’épargne aucun de ses protagonistes. Certes, le film n’échappe ni aux redondances, ni aux facilités, mais son humour vachard réjouit plus d’une fois.
Le Monde
Polanski a beau secouer le caisson de champagne, le film fait pschitt !
Les Echos
Malgré ses redondances et outrances, toutes assumées, cette comédie vacharde qui rappelle parfois l'univers de Fellini et de Ferreri ou, plus près de nous, celui de Ruben Ostlund (Sans filtre), réjouit de temps à autre avec son humour sardonique, son sens du grotesque et son mauvais esprit. Les amateurs de juste mesure doivent évidemment s'abstenir.
20 Minutes
À l’image des blagues d’un vieux tonton qu’on a adoré quand on était enfant et qu’on fuit désormais lors de repas de famille trop arrosés, le film constitue une expérience douloureuse : il ne met pas en colère, il fait de la peine.
Cahiers du Cinéma
[...] qui Polanski croît-il offenser dans cet univers d’ultra-riches où s’écharpent retraités du porno, mafieux russes et touristes saoudiennes ? La véritable vulgarité qui cercle The Palace est cette conception d’une comédie "à l’italienne" anachronique et au souffle court, obsédée par l’érection et les excréments, et ne proposant qu’un amas de saynètes brouillonnes.
Critikat.com
Face à un tel salmigondis, il est difficile de donner le moindre crédit à la posture de surplomb adoptée par le cinéaste, épinglant cruellement les manies de ses congénères, comme s’il était le seul à avoir les mains propres.
L'Obs
Les riches ? Des cons, imbus et capricieux. Quel scoop ! Devant tant d’ire vomitive, le spectateur, d’abord décontenancé, cède à l’ahurissement, puis à l’accablement.
Le Figaro
Un ratage monumental de Roman Polanski.
Le Parisien
Et il est essentiellement question de caviar, de taille de pénis, de vers intestinaux et de vibromasseur (...). Pour le réveillon, donc, Polanski nous offre une grosse meringue sucrée, étouffante et indigeste.
Les Fiches du Cinéma
Une satire accablante, qui tombe à plat dans les grandes largeurs.
Mad Movies
Jamais drôle, souvent gênant, The Palace suinte tout au long du mépris souverain des auteurs pour leurs personnages, et de leur profonde conviction que le public ne peut que se joindre à leurs ricanements satisfaits.
Ouest France
Il est essentiellement question de caviar, de taille de pénis, de vers intestinaux et de vibromasseur.
Première
C’est un film si agressif, laid et misanthrope qu’on peut raisonnablement avancer que Polanski l’a conçu comme un doigt d’honneur. Un crachat, pensé pour exciter la colère de la foule cinéphile, l’acte sacrificiel d’un auteur qui, comme il sait qu’il ne quittera pas la scène sous les applaudissements, choisit d’encourager les huées.
Télérama
Un groupe d’ultra-riches fête le passage à l’an 2000 dans l’attente du big bug. Qui n’arrive pas, tandis que s’enchaînent des scènes consternantes de vanité.