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Lucile
1 critique
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5,0
Publiée le 7 mai 2023
que j'ai aimé ce film on pleure on rit on s'attache à tous les résidents, les jeunes enfants de l'école , tous les personnels ...c'et bien écrit souvent drole et plein d'émotions ...une belle leçon de vie
Certes ce film n'est pas parfait, il y a certains passages qui sonnent faux, même si malgré tout on sait que c'est la triste réalité. Mais cela n'empêche pas l'histoire d'être belle, vraie et bienveillante. Certains personnages sont très attachants, et la relation avec les enfants qui se met en place petit à petit est émouvante. J'y étais avec une amie, qui a elle aussi passé un très bon moment.
S'il ya des films qui doivent nous réconcilier avec le cinéma celui-là en est un....Jeunesse/Vieillesse le début de vie (Adolescence plus ou moins ignoré par la société ) et fin de vie (Elle par contre complètement laissé a l'abandon dans des EPAHD ou les pauvres animateurs/soignants tentent de redonné un semblant d'humanité et de vie sans moyen ni considération extérieure) Andréa Bescond et Éric Métayer signent une comédie dramatique qui place la vie et l'être humain au centre de ce conflit (qui s'estompe très vite) intergénérationnel (les prés ado devant partager leur repas dans la même salle que les retraités) ....et rien n'est estompé de la difficulté budgétaires des Epahd, (Qui se doivent d'être rentables avant d'être tout simplement humains et dignes), de l'antagonisme primaire créé par l'ignorance de deux mondes si différents mais au fond si proche, de la solitude, de la misère humaine mais aussi de l'espoir malgré la dureté de la mort. A la fois réaliste, sensible, émouvant (sans être larmoyant) ce film devrait être déclaré d'utilité publique....a aller voir d'urgence tant par la qualité de jeu des acteurs (tous formidables de sincérité) que par la bonté dégagée et la tendresse ressentie ....que cela aide a modifier notre façon d'aborder nos modes de vie.
Affligeant ! Faute de cantine, des gamins agités de CM 2 envahissent celle de l'EPAHD voisin dont le personnel fatigué joue les GO auprès de GM du 3ème âge. Dans un désordre aussi indescriptible qu'improbable, on passe du karaoké, au skate-board dans les couloirs, sans oublier le manque de couches, ni le match de foot dans la cour...L'actualité nous a dévoilé certains scandales dans les EPAHD et leur manque de moyens, ainsi que les expériences positives des rencontres intergénérationnelles entre les écoliers et les personnes âgées. Ce ne sont pas des raisons pour nous infliger cette farce où tous les vieillards paraissent séniles et les enfants mal élevés ! Les spectateurs ne sont pas débiles et méritent le respect !
Très beau film, qui à première vu pourrait parraître cliché voir raccoleur, mais comme c'est hyper fin humainement, et que les personnages sont touchants et complexe (Yannick est génial) ben on se fait embarqué par l'histoire et on ressort ému, grandit, revigoré. Beau film que je conseille à qui lira ma critique (la séquence de chant avec la petite est hyper belle)
5 ans après leur bouleversant «Les Chatouilles», le duo Andréa Bescond-Éric Métayer nous revient avec ce film intergénérationnel, se déroulant dans un EHPAD.
Le personnel va devoir y faire face à l'arrivée d'une classe d'enfants, avec qui ils vont partager, de manière durable, leur réfectoire, et ce avec les résidents présents. Se jaugeant d'abord d'un côté comme de l'autre, écoliers et résidents vont peu-à-peu se découvrir et finir par s'aider et se soutenir chaque jour qui passe.
Mettant en scène le quotidien de plus en plus difficile des aide-soignants (entre pressions de la direction et manque de personnel), la relation entre un jeune adolescent délaissé par ses parents et un résident qui voit en lui le reflet de son passé, ou encore le bouleversement de cette relation suite à l'irruption d'une maladie qui se fait de plus en plus présente, ce 3e long-métrage au ton doux-amer est plein de bonnes intentions, mais pêche dans son exécution.
Tout (ou presque) semble un peu trop brouillon, un peu trop cuté, un peu trop en surface (à l'image du rapport un peu artificiel entre Vincent Macaigne (l'aide-soignant) et Aïssa Maïga (l'animatrice)), pour nous embarquer réellement dans son histoire, qu'on sent trop écrite.
Filmant les groupes comme les solitudes, les regards comme les gestes, le film nous offre pourtant quelques moments réussis, beaux et complices, comme (in)attendus et tragiques (à l'image de cette séquence de chariot dans un couloir, et comment un manque d'attention de quelques secondes va faire basculer une vie), ce qui est d'autant plus dommage au vu du potentiel que pouvait avoir cette histoire et les sujets (peut-être trop nombreux) qu'il veut aborder.
Une comédie dramatique et sociale qui se veut sincère, mais reste principalement dans les plots, et une œuvre qui manque d'un peu de vie et de spontanéité pour nous convaincre vraiment.
Film qui tente de parler de sujets importants, mais qui se perd en voulant traiter tous les sujets. Des tentatives de scènes poétiques, mais qui tombent souvent à plat
La thématique de la solidarité intergénérationnelle est devenue récurrente dans le cinéma français depuis un an. Cependant, là où Maison de retraite ou Un petit miracle faisaient clairement le choix de la comédie, Quand tu seras grand est plus militant et privilégie le réalisme pour plus de crédibilité et d'impact social. Vincent Macaigne et Aïssa Maïga sont très bien de même que le reste de la distribution mais la réalisation manque de cohérence et le choix du réalisme fait qu'on est loin du feel-good movie qu'on pouvait imaginer. Comme le dit le personnage de Vincent Macaigne : "On ne s'attache pas !".
Andréa Bescond et Eric Métayer choisissent un sujet très porteur au cinéma ces derniers temps : le choc intergénérationnel. Les élèves d'une école primaire vont peu à peu sympathiser avec les membres d'un Ehpad où le personnel est dépassé. Les cinéastes jouent sur les ressorts comiques et émotionnels tout en dénonçant le manque de moyens pour assurer le bien-être des pensionnaires. Bien sûr, il faut prendre cela comme un divertissement car les messages sont traités en surface, mais quand même... Il n'empêche qu'il y a des moments savoureux et une complicité touchante entre jeunes et anciens comme le jeune skateur et l'ancien cascadeur (Christian Sinniger). Une comédie à taille humaine assez sympathique.
Un joli film drole et touchant. Bien interprété. On decouvre les realites des Epad et le courage du personnel. Les residants comme les enfants sont attachants.
Un melange de genre entre moment de comédie et moment pas drôle de la vie en ephad. Le scenario n'est trop credible avec arrivée de ces enfants. Reste surtout les difficultés des soignants avec le manque de moyen et d'effectif.
Le sujet pouvait être intéressant mais entre la médiocrité des dialogues, les excès comportementaux, la vulgarité dans les échanges avec la jeunesse et les pleurnicheries, les rares moments de tendresse entre jeunes et seniors sont effacés. Quel gâchis!
Le seniors sont attachants et les acteurs crédibles, j'ai eu néanmoins du mal à croire à cette fable. Si des sujets cruciaux sont soulevés '(relations inter-génerationnelles, vie quotidienne en ehpad) et quelques moments très joyeux (chants, skate) le tout m'a semblé superficiel. Dommage.
Film ne correspondant absolument pas à la bande annonce, qui laisse présager une certaine légèreté dans le traitement du sujet. Malgré la volonté (sans doute) de dépeindre la réalité des Ehpads et (on peut le supposer) de nous alterter, un scénario trop léger, une écriture pas au point, des incohérences à gogo, un montage qui nous laisse sur notre faim quand certaines scènes à creuser ne sont pas terminées et quon passe à la suivante "sans queue ni tête" et, surtout, un mélange des genres absolument pas crédible (que viennent faire ces pauvres gamins dans ce "foutoir généralisé" ?). Je suis sortie de ce film immensément triste, me demandant ce que les acteurs étaient venus faire dans cette galère, avec une impression de malaise en tant que spectatrice. Les sujets "graves" n'ont pas été traités en profondeur et le rapprochement de générations n'a rien à voir avec ce qu'on nous présente. Très déçue, d'autant que le sujet des Ehpads me tient à coeur. Je recommande à ceux qui souhaitent en savoir plus les deux éditions du livre "Les Fossoyeurs" afin d'avoir une vision plus pertinente des aléas de ce secteur. Il ne faut pas confondre tenir un sujet d'actualité et empiler des scènes choquantes de façon décousue et hystérique pour convaincre les spectateurs.