AlloCiné
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La vie paisible d’une maison de retraite se retrouve chamboulée quand les enfants de l’école voisine débarquent profiter de la cantine. Petit à petit, des liens d’amitiés vont se créer entre enfants et pensionnaires, et ils vont partager de beaux moments. Film qui se veut touchant et utopiste mais qui trébuche sur la marche de l’émotion.
Film plein de tendresse, mais jamais na¨ïf porté par un casting parfait. Vincent Macaigne est un Yannick incroyable, complexe, ennervant, beau, enfant... Un grand petit film qui fait du bien
La survie par l’humour.
Après Les Chatouilles et A la folie, tout ce que touche le couple Andréa Bescond / Eric Métayer se transforme, sinon en or, en tout cas en excellent cinéma. Ces nouvelles 100 minutes de comédie dramatique en témoignent une nouvelle fois. Yannick est aide-soignant dans une maison de retraite. Entre pression permanente et restrictions budgétaires, il fait face aux manques de moyens avec une bonne humeur contagieuse. Mais lorsqu’on lui impose de partager le réfectoire avec une classe d’enfants, la situation se complique. Leur arrivée ainsi que celle de son animatrice, Aude, va bousculer le quotidien de tous et surtout des résidents... Touchant et malin, on pense au Bread and Roses de l’immense Ken Loach… ce qui n’est pas un moindre compliment.
La solidarité intergénérationnelle, un grand mot qui donne de la substance à un film qui ne rate pas sa cible. En évitant à la fois le mélo facile et la farce grossière, notre couple cinéastes / scénaristes / acteurs, réussit là où bien d’autres ont échoué, comme, dernièrement, Sophie Boudre avec son poussif Un petit miracle. On est plongé, comme dans un huis clos, dans la vie d’un EHPAD ni pire ni meilleur que beaucoup d’autres. La tendresse et l’humour reste un angle très habile pour traiter autant de sujets aussi épineux que les déplorables conditions de travail des personnels soignants qui engendrent la maltraitance des anciens, le malaise dans l’Education Nationale, et, bien sûr, le vieillissement, la maladie et la mort. Il n’y a ici aucun tabou et pourtant de dignité et de sincérité qui emportent tout sur leur passage. Quelques plans séquences pour nous faire partager les rythmes infernaux imposés au personnel soignant, un montage très nerveux, des moments d’échappées oniriques, et un casting épatant, pour finir de vous convaincre d’aller voir ce film.
Vincent Macaigne, en aide soignant au look de rocker est formidable et porte une bonne partie du film en apportant cette touche d’humanité et d’humour qui fait du bien. Aïssa Maïga, Marie Gillain, Evelyne Istria, Kristen Billon, Christian Sinniger, - bouleversant -, Carole Franck, et Eric Métayer lui-même, savent lui donner une réplique forte et juste. Tout le reste du casting est au diapason, même les enfants, tous très justes. Un film qui n’est ni un pamphlet politique, ni une comédie mièvre et dégoulinante, mais 100 minutes qui montrent l’enfance et la vieillesse comme les deux maillons oubliés de notre société. Plus qu’attachant.
Après Les Chatouilles et A la folie, tout ce que touche le couple Andréa Bescond / Eric Métayer se transforme, sinon en or, en tout cas en excellent cinéma. Ces nouvelles 100 minutes de comédie dramatique en témoignent une nouvelle fois. Yannick est aide-soignant dans une maison de retraite. Entre pression permanente et restrictions budgétaires, il fait face aux manques de moyens avec une bonne humeur contagieuse. Mais lorsqu’on lui impose de partager le réfectoire avec une classe d’enfants, la situation se complique. Leur arrivée ainsi que celle de son animatrice, Aude, va bousculer le quotidien de tous et surtout des résidents... Touchant et malin, on pense au Bread and Roses de l’immense Ken Loach… ce qui n’est pas un moindre compliment.
La solidarité intergénérationnelle, un grand mot qui donne de la substance à un film qui ne rate pas sa cible. En évitant à la fois le mélo facile et la farce grossière, notre couple cinéastes / scénaristes / acteurs, réussit là où bien d’autres ont échoué, comme, dernièrement, Sophie Boudre avec son poussif Un petit miracle. On est plongé, comme dans un huis clos, dans la vie d’un EHPAD ni pire ni meilleur que beaucoup d’autres. La tendresse et l’humour reste un angle très habile pour traiter autant de sujets aussi épineux que les déplorables conditions de travail des personnels soignants qui engendrent la maltraitance des anciens, le malaise dans l’Education Nationale, et, bien sûr, le vieillissement, la maladie et la mort. Il n’y a ici aucun tabou et pourtant de dignité et de sincérité qui emportent tout sur leur passage. Quelques plans séquences pour nous faire partager les rythmes infernaux imposés au personnel soignant, un montage très nerveux, des moments d’échappées oniriques, et un casting épatant, pour finir de vous convaincre d’aller voir ce film.
Vincent Macaigne, en aide soignant au look de rocker est formidable et porte une bonne partie du film en apportant cette touche d’humanité et d’humour qui fait du bien. Aïssa Maïga, Marie Gillain, Evelyne Istria, Kristen Billon, Christian Sinniger, - bouleversant -, Carole Franck, et Eric Métayer lui-même, savent lui donner une réplique forte et juste. Tout le reste du casting est au diapason, même les enfants, tous très justes. Un film qui n’est ni un pamphlet politique, ni une comédie mièvre et dégoulinante, mais 100 minutes qui montrent l’enfance et la vieillesse comme les deux maillons oubliés de notre société. Plus qu’attachant.
Un film extrêmement caricatural. On ne croit à rien : ni à l'opposition factice entre Vincent Macaigne et Aissa Maiga ou entre les retraités et les enfants. D'ailleurs, on ne sait pas à qui s'adresse ce film : l'humour est très enfantin et pourtant le film n'est pas une comédie puisqu'il lorgne souvent vers le drame. Certaines scènes sont ridicules comme la course poursuite en voiture. Le montage est horrible, la musique choisi est toujours la plus mauvaise. De plus l'interprétation amateur laisse à désirer, Aissa Maiga est une cata dedans...
Affligeant ! Faute de cantine, des gamins agités de CM 2 envahissent celle de l'EPAHD voisin dont le personnel fatigué joue les GO auprès de GM du 3ème âge. Dans un désordre aussi indescriptible qu'improbable, on passe du karaoké, au skate-board dans les couloirs, sans oublier le manque de couches, ni le match de foot dans la cour...L'actualité nous a dévoilé certains scandales dans les EPAHD et leur manque de moyens, ainsi que les expériences positives des rencontres intergénérationnelles entre les écoliers et les personnes âgées. Ce ne sont pas des raisons pour nous infliger cette farce où tous les vieillards paraissent séniles et les enfants mal élevés ! Les spectateurs ne sont pas débiles et méritent le respect !
Film drole et touchant a la fois. On passe un merveilleux moment. Les acteurs sont tous formidables et le scenario est tres bien écrit. Allez y, c'est du bon cinéma français, comme on aime.
Une comédie sensationnelle qui sème le chaud et le froid avec pour cadre et décor un Ehpad des plus classiques ! Au passage, cette petite bande de soignants peignent la grande souffrance qui est la leur pour accomplir leurs tâches, avec grand talent et humour.... C'est justement dans la juxtaposition des couches âgées ( désolé) de celles des plus jeunes enfants, plus ou moins dociles, qu' Andréa Bescond et Eric Metayer réalisent une prouesse du genre, alors que ce n'était pas gagné .... ou comment des mondes a priori étanches en viennent à s'entraider, à s'apprécier au point de développer des complicités. Traité avec tellement de tendresse et de fraîcheur, sans précaution particulière ni filtre protecteur, c'est une évocation sans fioritures de la dernière partie de la vie portée qui nous est proposée, un véritable miroir. Le casting est formidable, que ce soit Carole Franck ( Nelly ), Marie Gillain ( Elisa ), Aïssa Maïga ( Aude ) ou Vincent Macaigne ( Yannick ), de vérité et de simplicité. C'est sacrément osé, et nous surprend par sa force et sa sensibilité...!!**
Il n'est pas évident de réussir un film sur un sujet aussi délicat que la fin de vie. Alors une comédie..... Ce film est vraiment magnifique ! Il nous fait rire, il nous fait pleurer, il nous interroge et nous scandalise aussi, dans les vérités dérangeantes qu'il montre. On n'en sort pas indemne, et rien que pour ça merci !!!!!
Très très beau film !!
Bien documenté.
Touchant et réaliste.
Excellents comédiens y compris les enfants et les résidents.
Bravo aux réalisateurs du film LES CHATOUILLES.
Bien documenté.
Touchant et réaliste.
Excellents comédiens y compris les enfants et les résidents.
Bravo aux réalisateurs du film LES CHATOUILLES.
Excellent film.
Les acteurs adultes comme enfants jouent très bien. Cela peut être un peu déconcertant car c'est une suite de scénes rapides ... mais cela représente très bien les aléas successifs qui doivent être parfois gérés en urgence dans un EPAHD comme dans une école.
Les personnages, enfants comme adultes ne sont pas manichééns : ils font des choix en essayant d'être en accord avec leurs envies, besoins, conscience, famillles, proches, capacités, collègues, difficultés, enviromements...
De très nombreux thèmes sont abordés avec justesse et émotion, sans pathos ni facilité.
Tous le monde peut y trouver sont compte : on l'a vu a 3 personnes de 12, 50 et 80 ans et tous le monde a aimé.
Les acteurs adultes comme enfants jouent très bien. Cela peut être un peu déconcertant car c'est une suite de scénes rapides ... mais cela représente très bien les aléas successifs qui doivent être parfois gérés en urgence dans un EPAHD comme dans une école.
Les personnages, enfants comme adultes ne sont pas manichééns : ils font des choix en essayant d'être en accord avec leurs envies, besoins, conscience, famillles, proches, capacités, collègues, difficultés, enviromements...
De très nombreux thèmes sont abordés avec justesse et émotion, sans pathos ni facilité.
Tous le monde peut y trouver sont compte : on l'a vu a 3 personnes de 12, 50 et 80 ans et tous le monde a aimé.
Film très touchant et émouvant. Un grand moment de cinéma avec des acteurs sensationnels, aussi bien les têtes d'affiche que les seconds rôles. Grandiose !!
Un melange de genre entre moment de comédie et moment pas drôle de la vie en ephad. Le scenario n'est trop credible avec arrivée de ces enfants. Reste surtout les difficultés des soignants avec le manque de moyen et d'effectif.
«Je veux prendre ta douleur.»
5 ans après leur bouleversant «Les Chatouilles», le duo Andréa Bescond-Éric Métayer nous revient avec ce film intergénérationnel, se déroulant dans un EHPAD.
Le personnel va devoir y faire face à l'arrivée d'une classe d'enfants, avec qui ils vont partager, de manière durable, leur réfectoire, et ce avec les résidents présents.
Se jaugeant d'abord d'un côté comme de l'autre, écoliers et résidents vont peu-à-peu se découvrir et finir par s'aider et se soutenir chaque jour qui passe.
Mettant en scène le quotidien de plus en plus difficile des aide-soignants (entre pressions de la direction et manque de personnel), la relation entre un jeune adolescent délaissé par ses parents et un résident qui voit en lui le reflet de son passé, ou encore le bouleversement de cette relation suite à l'irruption d'une maladie qui se fait de plus en plus présente, ce 3e long-métrage au ton doux-amer est plein de bonnes intentions, mais pêche dans son exécution.
Tout (ou presque) semble un peu trop brouillon, un peu trop cuté, un peu trop en surface (à l'image du rapport un peu artificiel entre Vincent Macaigne (l'aide-soignant) et Aïssa Maïga (l'animatrice)), pour nous embarquer réellement dans son histoire, qu'on sent trop écrite.
Filmant les groupes comme les solitudes, les regards comme les gestes, le film nous offre pourtant quelques moments réussis, beaux et complices, comme (in)attendus et tragiques (à l'image de cette séquence de chariot dans un couloir, et comment un manque d'attention de quelques secondes va faire basculer une vie), ce qui est d'autant plus dommage au vu du potentiel que pouvait avoir cette histoire et les sujets (peut-être trop nombreux) qu'il veut aborder.
Une comédie dramatique et sociale qui se veut sincère, mais reste principalement dans les plots, et une œuvre qui manque d'un peu de vie et de spontanéité pour nous convaincre vraiment.
5 ans après leur bouleversant «Les Chatouilles», le duo Andréa Bescond-Éric Métayer nous revient avec ce film intergénérationnel, se déroulant dans un EHPAD.
Le personnel va devoir y faire face à l'arrivée d'une classe d'enfants, avec qui ils vont partager, de manière durable, leur réfectoire, et ce avec les résidents présents.
Se jaugeant d'abord d'un côté comme de l'autre, écoliers et résidents vont peu-à-peu se découvrir et finir par s'aider et se soutenir chaque jour qui passe.
Mettant en scène le quotidien de plus en plus difficile des aide-soignants (entre pressions de la direction et manque de personnel), la relation entre un jeune adolescent délaissé par ses parents et un résident qui voit en lui le reflet de son passé, ou encore le bouleversement de cette relation suite à l'irruption d'une maladie qui se fait de plus en plus présente, ce 3e long-métrage au ton doux-amer est plein de bonnes intentions, mais pêche dans son exécution.
Tout (ou presque) semble un peu trop brouillon, un peu trop cuté, un peu trop en surface (à l'image du rapport un peu artificiel entre Vincent Macaigne (l'aide-soignant) et Aïssa Maïga (l'animatrice)), pour nous embarquer réellement dans son histoire, qu'on sent trop écrite.
Filmant les groupes comme les solitudes, les regards comme les gestes, le film nous offre pourtant quelques moments réussis, beaux et complices, comme (in)attendus et tragiques (à l'image de cette séquence de chariot dans un couloir, et comment un manque d'attention de quelques secondes va faire basculer une vie), ce qui est d'autant plus dommage au vu du potentiel que pouvait avoir cette histoire et les sujets (peut-être trop nombreux) qu'il veut aborder.
Une comédie dramatique et sociale qui se veut sincère, mais reste principalement dans les plots, et une œuvre qui manque d'un peu de vie et de spontanéité pour nous convaincre vraiment.
Un GRAND film Français : drôle, touchant, sincère et honnête. Une super réalisatrice qui mérite d'être (est ?) connue. Heureux d'avoir pu voir ça sur Lausanne. Merci !
Décevant. Bcp de clichés, d'incohérence
Ça manque de rythme, de nuances et en plus, ça n'est jamais drôle
Bref. A oublier
Ça manque de rythme, de nuances et en plus, ça n'est jamais drôle
Bref. A oublier
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