Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
L'Humanité
par Michaël Melinard
Ça danse, ça crie, ça skate, ça se chamaille à tout-va dans un film qui rappelle un peu l’ambiance mutine et combative de Bread and Roses, de Ken Loach.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
20 Minutes
par Caroline Vié
Cette comédie offre un beau modèle de solidarité intergénérationnel.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par Charlotte Marsal
Une comédie dramatique pétrie d'humanité et pleine d'espoir.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Elle
par Françoise Delbecq
Une formidable incursion dans le quotidien d'un Ehpad.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Sans tomber dans le mélo, ni dans la farce, le film adopte un ton doux-amer, une sorte de réalisme tendre qui va bien à Vincent Macaigne.
Le Parisien
par La Rédaction
Dans le rôle de Yannick, l’aide-soignant au look de rocker, Vincent Macaigne est formidablement drôle et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Public
par Sylvain Monier
Un long métrage social mais pas plombant qui rappelle avec malice l'état critique de l'Education nationale et le traitement réservé à nos séniors.
Télé 2 semaines
par Corentin Marouby
Vincent Macaigne et Aïssa Maïga font la paire dans la seconde réalisation d'Andréa Bescond et Éric Métayer (Les Chatouilles), aussi drôle qu'émouvante.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Si ce joli film choral n’évite pas toujours les stéréotypes, on est porté par sa vitalité et sa formidable troupe d’acteurs, qui ne manque ni de tendresse ni d’humour.
Télé Loisirs
par Corentin Marouby
Derrière ce sujet épineux, il émane de la seconde réalisation d'Andréa Bescond et Éric Métayer (Les Chatouilles) une profonde tendresse.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Andréa Bescond et Éric Métayer réussissent avec conviction et réalisme à nous intégrer dans le quotidien d’une vie communautaire, où l’implication humaine est de tous les instants.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Cinq ans après le déchirant Les Chatouilles, Andréa Bescond et Éric Métayer évoquent dans un film humaniste les relations entre deux générations trop souvent délaissées.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Un scénario invraisemblable destiné à combler le fossé entre les générations. Un peu comme Michel Blanc retournant à l'école dans Les Petites Victoires. Quand tu seras grand, sous ses dehors de comédie familiale, a néanmoins le mérite de montrer le grand âge, les corps vieillissants et la mort sans tabou.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Andréa Bescond et Eric Métayer (Les Chatouilles) font, par bonheur, de nombreux pas de côté avec la dure réalité et s’autorisent des échappées belles du côté de l’onirisme, et parfois même de l’humour absurde.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Thierry Chèze
Tout n’est pas parfait, certains échanges trop attendus, des personnages parfois réduits à des archétypes mais le vent de tendresse sincère qui souffle sur ce récit finit par emporter tout ou presque sur son passage.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par Sophie Grassin
On voit venir les choses de loin dans ce deuxième film d’Andréa Bescond et Alex Métayer (« les Chatouilles »), qui prône l’union des générations, convoque la Grande Faucheuse et n’évite pas toujours les stéréotypes. Mais le sujet, traité avec sensibilité et d’actualité, mérite qu’on s’y arrête.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Cinq ans après « Les Chatouilles », Andréa Bescond et Éric Métayer reviennent au cinéma avec un film choral et touffu... un peu trop touffu.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Maroussia Dubreuil
Le film prend la forme d’un ouvrage vulgarisateur mâtiné d’une bienveillance généralisée et se pare d’une aura publicitaire pour éveiller les consciences.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Il ne faut pas rêver ses films en se fiant au pitch. C’est encore une fois le constat amer qu’on fera à la vision de Quand tu seras grand, qui laisse croire qu’il va s’attacher à un problème de politique sociale pour finalement se perdre dans un fantasme transgénérationnel.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Cédric Coppola
En dépit de ses bonnes intentions, le film reste à la surface des choses, en évoquant seulement les souvenirs des séniors, l’avenir incertain des plus jeunes et les difficultés au quotidien du personnel soignant, sans tenter d’apporter des solutions concrètes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Marie Sauvion
Il arrive parfois qu’un souffle de vie, une pointe de désordre chaleureux s’invitent, au détour d’un couloir, dans ce scénario très balisé, grâce à un plan-séquence ou des acteurs généreux — au premier rang desquels Vincent Macaigne. C’est déjà ça, bien sûr, mais c’est peu, tout de même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
Quelque chose d’un argument marketing ou d’un slogan de prévention finit par contaminer la vision du film qui par excès de bonté et de bonne humeur généralisée finit par chasser la nuance et gagne en mièvrerie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Humanité
Ça danse, ça crie, ça skate, ça se chamaille à tout-va dans un film qui rappelle un peu l’ambiance mutine et combative de Bread and Roses, de Ken Loach.
20 Minutes
Cette comédie offre un beau modèle de solidarité intergénérationnel.
CNews
Une comédie dramatique pétrie d'humanité et pleine d'espoir.
Elle
Une formidable incursion dans le quotidien d'un Ehpad.
Femme Actuelle
Sans tomber dans le mélo, ni dans la farce, le film adopte un ton doux-amer, une sorte de réalisme tendre qui va bien à Vincent Macaigne.
Le Parisien
Dans le rôle de Yannick, l’aide-soignant au look de rocker, Vincent Macaigne est formidablement drôle et tendre.
Public
Un long métrage social mais pas plombant qui rappelle avec malice l'état critique de l'Education nationale et le traitement réservé à nos séniors.
Télé 2 semaines
Vincent Macaigne et Aïssa Maïga font la paire dans la seconde réalisation d'Andréa Bescond et Éric Métayer (Les Chatouilles), aussi drôle qu'émouvante.
Télé 7 Jours
Si ce joli film choral n’évite pas toujours les stéréotypes, on est porté par sa vitalité et sa formidable troupe d’acteurs, qui ne manque ni de tendresse ni d’humour.
Télé Loisirs
Derrière ce sujet épineux, il émane de la seconde réalisation d'Andréa Bescond et Éric Métayer (Les Chatouilles) une profonde tendresse.
Franceinfo Culture
Andréa Bescond et Éric Métayer réussissent avec conviction et réalisme à nous intégrer dans le quotidien d’une vie communautaire, où l’implication humaine est de tous les instants.
La Croix
Cinq ans après le déchirant Les Chatouilles, Andréa Bescond et Éric Métayer évoquent dans un film humaniste les relations entre deux générations trop souvent délaissées.
Le Figaro
Un scénario invraisemblable destiné à combler le fossé entre les générations. Un peu comme Michel Blanc retournant à l'école dans Les Petites Victoires. Quand tu seras grand, sous ses dehors de comédie familiale, a néanmoins le mérite de montrer le grand âge, les corps vieillissants et la mort sans tabou.
Le Journal du Dimanche
Andréa Bescond et Eric Métayer (Les Chatouilles) font, par bonheur, de nombreux pas de côté avec la dure réalité et s’autorisent des échappées belles du côté de l’onirisme, et parfois même de l’humour absurde.
Première
Tout n’est pas parfait, certains échanges trop attendus, des personnages parfois réduits à des archétypes mais le vent de tendresse sincère qui souffle sur ce récit finit par emporter tout ou presque sur son passage.
L'Obs
On voit venir les choses de loin dans ce deuxième film d’Andréa Bescond et Alex Métayer (« les Chatouilles »), qui prône l’union des générations, convoque la Grande Faucheuse et n’évite pas toujours les stéréotypes. Mais le sujet, traité avec sensibilité et d’actualité, mérite qu’on s’y arrête.
La Voix du Nord
Cinq ans après « Les Chatouilles », Andréa Bescond et Éric Métayer reviennent au cinéma avec un film choral et touffu... un peu trop touffu.
Le Monde
Le film prend la forme d’un ouvrage vulgarisateur mâtiné d’une bienveillance généralisée et se pare d’une aura publicitaire pour éveiller les consciences.
Les Fiches du Cinéma
Il ne faut pas rêver ses films en se fiant au pitch. C’est encore une fois le constat amer qu’on fera à la vision de Quand tu seras grand, qui laisse croire qu’il va s’attacher à un problème de politique sociale pour finalement se perdre dans un fantasme transgénérationnel.
Sud Ouest
En dépit de ses bonnes intentions, le film reste à la surface des choses, en évoquant seulement les souvenirs des séniors, l’avenir incertain des plus jeunes et les difficultés au quotidien du personnel soignant, sans tenter d’apporter des solutions concrètes.
Télérama
Il arrive parfois qu’un souffle de vie, une pointe de désordre chaleureux s’invitent, au détour d’un couloir, dans ce scénario très balisé, grâce à un plan-séquence ou des acteurs généreux — au premier rang desquels Vincent Macaigne. C’est déjà ça, bien sûr, mais c’est peu, tout de même.
Les Inrockuptibles
Quelque chose d’un argument marketing ou d’un slogan de prévention finit par contaminer la vision du film qui par excès de bonté et de bonne humeur généralisée finit par chasser la nuance et gagne en mièvrerie.