Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Le Figaro Magazine
par Valérie Lejeune
Il y a rire et rire. Celui qu'instale Christian Merret-Palmair est rare. Il commence par une petite pointe de surprise gaie, une fusée, puis il se déploie en parachute. Jamais gras, mais pourtant nourrissant, ce rire est aussi agréable qu'un édredon de plumes : chaud l'hiver, frais l'été, l'idéal quoi.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Ciné Live
par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Journal du Dimanche
par Jean-Pierre Lacomme
(...) les héros du film traînent avec eux une douce médiocrité, teintée d'humanité. Et puis, il y a Benoît Poelvoorde, superbe dans un personnage de con grandiose. Des Portes très grinçantes.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
En dépit d'une petite faiblesse de scénario sur la fin, ce film costaud en répliques est nourri de séquences qui resteront dans les mémoires.
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
MCinéma.com
par Stéphane Dugast
(...) un road-movie assurément «hors-normes». Comique et caustique à souhait !
Aden
par Philippe Piazzo
Pour son premier film, le réalisateur (...) navigue entre cynisme (méchant) et sordide, avec une seule idée en tête : faire rire. Il y réussit souvent (...), même si on se sent parfois mal à l'aise devant cette joyeuse troupe.
La critique complète est disponible sur le site Aden
L'Express
par Stéphane Brisset
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Désuet. Non dénuée de gags hilarants, cette histoire d'un groupe de représentants en encyclopédie cornaqués par le fanfaron et cabot Benoît Poelvoorde, qui reste subordonnée à une réalisation rigide et trop léchée, manque de souffle et d'ampleur.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par n.c.
On est là dans un drôle de film (à défaut d'être dans un film franchement drôle). Un film au comique grinçant dont les (anti)-héros sont filmés à la Leone tels des desperados sillonnant les mornes plaines d'une France un peu rance et recroquevillée sur elle-même.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) la part de tendresse qui anime le metteur en scène pour ses personnages, son sens de la situation et du dialogue, ainsi que son goût pour l'absurde renversent cette funeste tendance et font de ce film, à ses meilleurs moments, un spectacle d'une réjouissante noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Virginie Apiou
(...) plus que la description d'une certaine franchouillardise, ces Portes de la gloire s'ouvrent sur l'itinéraire d'une équipe de vendeurs trop disparate pour être gagnante, au grand désespoir de son leader d'opérette campé par un Poelvoorde raide, droit, mal dans sa peau.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Christophe Chauville
C'est évidemment Benoît Poelvoorde qui mène la danse. Souvent drôle, il parviendrait décidément à vendre n'importe quoi, y compris ce film, qui n'est pas aussi drôle que Poelvoorde. Et une heure et demie à suivre des VRP, on ferme la porte au nez…
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Christophe d'Yvoire
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Aurélien Férenzci
Erreur sur la marchandise. On s'attend à voir une comédie «hénaurme» (...). Et l'on se retrouve devant un film d'une absolue noirceur, pathétique chronique d'un quintette de VRP minables (...)
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Laure Charcossey
(...) Les Portes de la gloire serait plutôt le manuel du petit scénario mal filmé, avec ses cadrages très serrés, sa caméra collant au cul de ses personnages, où même les plans larges sont asphyxiés par des amorces.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
Produit bâclé qui sue à grosses gouttes son insupportable envie de faire rire, Les Portes de la gloire est avant tout un produit mal ficelé et suffisant qui se croit malin quand il n'est que bête ; provocateur quand il n'est que gras et grossier.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
(...) Les Portes de la gloire reste une œuvre limitée au style propret et frôle souvent la ringardise qu'elle s'acharne à dénigrer gentiment.
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Quelque chose d'une lâcheté repoussante, fondée sur le mépris déguisé en candeur pour les personnages filmés (...), pourrit le film. Si bien que toutes ses velléités comiques (...) ne dévoilent au final qu'une mesquinerie nauséabonde et vulgaire (...)
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Figaro Magazine
Il y a rire et rire. Celui qu'instale Christian Merret-Palmair est rare. Il commence par une petite pointe de surprise gaie, une fusée, puis il se déploie en parachute. Jamais gras, mais pourtant nourrissant, ce rire est aussi agréable qu'un édredon de plumes : chaud l'hiver, frais l'été, l'idéal quoi.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Journal du Dimanche
(...) les héros du film traînent avec eux une douce médiocrité, teintée d'humanité. Et puis, il y a Benoît Poelvoorde, superbe dans un personnage de con grandiose. Des Portes très grinçantes.
Le Parisien
En dépit d'une petite faiblesse de scénario sur la fin, ce film costaud en répliques est nourri de séquences qui resteront dans les mémoires.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
MCinéma.com
(...) un road-movie assurément «hors-normes». Comique et caustique à souhait !
Aden
Pour son premier film, le réalisateur (...) navigue entre cynisme (méchant) et sordide, avec une seule idée en tête : faire rire. Il y réussit souvent (...), même si on se sent parfois mal à l'aise devant cette joyeuse troupe.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Désuet. Non dénuée de gags hilarants, cette histoire d'un groupe de représentants en encyclopédie cornaqués par le fanfaron et cabot Benoît Poelvoorde, qui reste subordonnée à une réalisation rigide et trop léchée, manque de souffle et d'ampleur.
L'Obs
On est là dans un drôle de film (à défaut d'être dans un film franchement drôle). Un film au comique grinçant dont les (anti)-héros sont filmés à la Leone tels des desperados sillonnant les mornes plaines d'une France un peu rance et recroquevillée sur elle-même.
Le Monde
(...) la part de tendresse qui anime le metteur en scène pour ses personnages, son sens de la situation et du dialogue, ainsi que son goût pour l'absurde renversent cette funeste tendance et font de ce film, à ses meilleurs moments, un spectacle d'une réjouissante noirceur.
Première
(...) plus que la description d'une certaine franchouillardise, ces Portes de la gloire s'ouvrent sur l'itinéraire d'une équipe de vendeurs trop disparate pour être gagnante, au grand désespoir de son leader d'opérette campé par un Poelvoorde raide, droit, mal dans sa peau.
Repérages
C'est évidemment Benoît Poelvoorde qui mène la danse. Souvent drôle, il parviendrait décidément à vendre n'importe quoi, y compris ce film, qui n'est pas aussi drôle que Poelvoorde. Et une heure et demie à suivre des VRP, on ferme la porte au nez…
Studio Magazine
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Télérama
Erreur sur la marchandise. On s'attend à voir une comédie «hénaurme» (...). Et l'on se retrouve devant un film d'une absolue noirceur, pathétique chronique d'un quintette de VRP minables (...)
Cahiers du Cinéma
(...) Les Portes de la gloire serait plutôt le manuel du petit scénario mal filmé, avec ses cadrages très serrés, sa caméra collant au cul de ses personnages, où même les plans larges sont asphyxiés par des amorces.
Chronic'art.com
Produit bâclé qui sue à grosses gouttes son insupportable envie de faire rire, Les Portes de la gloire est avant tout un produit mal ficelé et suffisant qui se croit malin quand il n'est que bête ; provocateur quand il n'est que gras et grossier.
Les Inrockuptibles
(...) Les Portes de la gloire reste une œuvre limitée au style propret et frôle souvent la ringardise qu'elle s'acharne à dénigrer gentiment.
Urbuz
Quelque chose d'une lâcheté repoussante, fondée sur le mépris déguisé en candeur pour les personnages filmés (...), pourrit le film. Si bien que toutes ses velléités comiques (...) ne dévoilent au final qu'une mesquinerie nauséabonde et vulgaire (...)