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Film qui ressemble à un mauvais rêve : ni localisations de temps et de lieux, environnements sinistres, vieillots ou vétustes, des humains en déliquescence soumis pour certains à des désorganisations internes, des machines fantasmatiques... Peut-être un maniérisme dandy qui reste étranger au monde corps qui le fascine mais un vrai film de Cronenberg.
Cronenberg est un cinéaste extraordinaire depuis 40 ans, mais il a le droit de faire Son Navet. Les critiques perdues ou totalement aveuglées crient à un nouveau bijou ??? Tout est raté, tout est remâché. Viggo déguisé en Jedi qui croise un policier qui joue mal, des décors ridicules pour une histoire grotesque... Des séquences aussi cheap que molles, Stewart qui surjoue une sorte de "folle" ... Cronenberg a suffisamment de génie pour ne pas l'insulter en lui faisant croire que son dernier film est bon. C'est une catastrophe
Résumé du film "pour moi" :
Un film futuriste qui s'affirme, par de nouvelles idées sur le spoiler: transhumanisme
, qui ne se soucie pas du dérangeant.
Version longue et personnelle :
-En entrant dans le cinéma je m'attendais a un film très perché qui allait servir de rebondissements et ponctuée le film.
-Et en sortant du cinéma j'ai été enfin très agréablement surpris, enfin de nouvelles idées, enfin un schéma de réflexion nouveau sur un thème clairement futuriste qui touche chacun, enfin un film sur lequel tu est absorbé et dont tu ne t'attends à rien, que chaque surprise et une surprise et pas un autre "déjà fait déjà vu..."
spoiler: Un film qui veut proposer les nouveaux plaisirs dans un monde qui ne connais plus la douleur et dans un monde qui ne se satisfait plus du plaisir seul et qui veut toujours plus.
la réflexion que le film nous impose sur l'éthique et la direction que prendrais un telle monde qui confond humanité avec autre chose de plus et qui requestionne la question de l'humain et ça définition.
Un film futuriste qui s'affirme, par de nouvelles idées sur le spoiler: transhumanisme
, qui ne se soucie pas du dérangeant.
Version longue et personnelle :
-En entrant dans le cinéma je m'attendais a un film très perché qui allait servir de rebondissements et ponctuée le film.
-Et en sortant du cinéma j'ai été enfin très agréablement surpris, enfin de nouvelles idées, enfin un schéma de réflexion nouveau sur un thème clairement futuriste qui touche chacun, enfin un film sur lequel tu est absorbé et dont tu ne t'attends à rien, que chaque surprise et une surprise et pas un autre "déjà fait déjà vu..."
spoiler: Un film qui veut proposer les nouveaux plaisirs dans un monde qui ne connais plus la douleur et dans un monde qui ne se satisfait plus du plaisir seul et qui veut toujours plus.
la réflexion que le film nous impose sur l'éthique et la direction que prendrais un telle monde qui confond humanité avec autre chose de plus et qui requestionne la question de l'humain et ça définition.
Très rare que je quitte la salle avant la fin. L'intrigue était incompréhensible (enfin surtout très déconstruite). Il y avait clairement la volonté de poser des questionnements (sur l'art, l'éthique, l'humanité,...) mais a vouloir faire trop on s'y perd et cela donnait un aspect inutilement pompeux.
Bon ce qui m'a fait partie de la salle avant la fin, c'est surtout des scènes très gore filmées de manière assez crues. Je ne suis pas vraiment choquable, mais là ça m'a semblé gratuit, le propos étant brouillon et ça ne servait à rien.
Bref le film commençait à teaser une énième scène macabre avec un gosse, j'ai préféré ne pas m'infliger ça.
Bon ce qui m'a fait partie de la salle avant la fin, c'est surtout des scènes très gore filmées de manière assez crues. Je ne suis pas vraiment choquable, mais là ça m'a semblé gratuit, le propos étant brouillon et ça ne servait à rien.
Bref le film commençait à teaser une énième scène macabre avec un gosse, j'ai préféré ne pas m'infliger ça.
Aie aie aie j'adore David Cronenberg metteur en scène très spécial et j'ai vu la plus part de ses films mais la franchement une bonne grosse daube que l'on a du mal à comprendre , je suis plus que fan de l'excellent Viggo Mortensen dommage pour lui
et j'ai du subire une des pires actrices tout pays confondus la bien nommée Léa Seydoux comment peu on être aussi mauvaise et ce quelque soit le film , c'est pour ça que j' hésitais à le voir dès quelle joue on sais d'avance que le film sera nul comme le dernier bond quel dommage et temps de perdu heureusement que ma carte UGC sers aussi à ça hélas
et j'ai du subire une des pires actrices tout pays confondus la bien nommée Léa Seydoux comment peu on être aussi mauvaise et ce quelque soit le film , c'est pour ça que j' hésitais à le voir dès quelle joue on sais d'avance que le film sera nul comme le dernier bond quel dommage et temps de perdu heureusement que ma carte UGC sers aussi à ça hélas
J’ai découvert Cronenberg en 1989 avec Faux Semblants qui contait la sortie de route de deux jumeaux au parcours de vie réglé comme du papier à musique jusqu’alors. Jeremy Irons dans ses grandes années. Cronenberg occupe une place à part et voir son nom sur une affiche de cinéma génère de l’envie de prime abord. Davantage encore quand Mortensen occupe le rôle titre. Sans connaître l'histoire du film, c’est sur un coup de tête que je me suis lancé, la fleur au fusil, espérant passer un bon moment. Je n’irai pas par 4 chemins circonvolus : ce film est une prise de tête stérile qui ne mène nulle part et génère un ennui incommensurable. L’esthétisme ne suffit pas a sauver un film boursouflé dans sa sur-intellectualisation et d’un ennui aussi abyssal que la vacuité de son scénario. Un film déshumanisé et déshumanisant qui ne touche pas. Une forme d’art abstrait dans lequel certains trouveront une multitude de sens cachés comme pour transcender la vacuité de l’œuvre qui ne brille que par son vide intersidéral. Sauf…..sauf si c’est à dessein que Cronenberg a voulu faire de son film l’incarnation même de cet art abstrait dénué de sens et d’humanité qu’il critiquerait dans sa pièce cinématographique. Si tel était le cas, on crierait alors au génie car c’est volontairement et de manière palpable, presque physique, qu’il nous ferait toucher du doigt le sens profond du mot vacuité. Mais est-ce réellement son intention ? J’en doute fort. Heureusement, il y a Mortensen. Mais ça ne suffit pas. Quant à Seydoux, elle joue toujours de la même façon, comme si le poids du monde pesait sur ses épaules, et elle se complaît dans la spirale de cette sur intellectualisation abstraite, aussi éphémère et transparente qu’inutile.
J’ai mis une étoile mais de base c’était zéro , film démoniaque, crado, cannibale, on voit des gens avec normalement de bons acteurs à l’affiche excité par le sang, les tripes ayant un penchant sexuel et cannibale pour cela , FILM HORRIBLE ET DÉRANGÉ ! Le réalisateur de ce film a un problème psychiatrique sérieux , bref pourri et pour la poubelle
Cinememories
David Cronenberg est un habitué de la Croisette et la plupart de ses œuvres en témoignent (Crash, Spider, A History of Violence, Cosmopolis, Maps To The Stars et Chacun Son Cinéma). Pourtant, il semble un peu plus revenir à ses premiers amours de la science-fiction, telle une synthèse de chair et d’organe, où il a conquéri la série B du body-horror. Loin de l’idée d’une célébration, il pousse le vice à la réflexion, à l’heure où il est formellement convaincu de la scission entre le corps et l’esprit d’adaptation. Il interroge ainsi la matière grise de Darwin et les enjeux contemporains à travers un spectacle à corps ouvert. Ce rapport à la douleur ne devient donc plus aussi déroutant qu’autrefois, quand bien même nous serions à l’aise avec une démarche qui ne compte pas cicatriser de sitôt.
Comment doit-on réceptionner l’expérience ? Comme une autocritique ? Une genèse d’un art transgressif ? Le spectateur aura tout à faire dans une œuvre qui ne fait que laisser des portes entrouvertes, juste assez pour qu’on atteigne l’orgasme souhaité, ou simplement une forme de répulsion qui viendra heurter la sensibilité du cinéphile, qui aura révisé la filmographie du cinéaste canadien. Nous nous lançons ainsi dans un terrain connu, où Saul Tenser (Viggo Mortensen) constitue la pièce maîtresse du divertissement et qui cherche d’ailleurs à le transcender. Grâce à la minutie de sa partenaire Caprice (Léa Seydoux), ce dernier devient un puzzle organique, à l’image d’un réalisateur dont il serait le parfait ego pour l’étude à venir. Soucieux du corps, de ses vertus et surtout de sa mutation, il pose un regard sur une époque pas si lointaine, où le plastique et le synthétique seraient à la fois des substituts idéaux et un poison pour l’humanité.
Cette approche se fait dans le même mouvement que le discours métaphorique d’une technologie, qui ne comprimerait pas ses utilisateurs dans un enclos, bien au contraire. Il s’agirait d’élever sa condition et de s’approprier cette part de l’inconnue, qui déstabilise et qui ne soumettra plus le corps à une multitude de contraintes qu’il ne peut encaisser. C’est pourquoi il est assez ludique de voir un tel cinéaste décortiquer chacune de ses œuvres par des coupes chirurgicales nettes, où le désir, la culture et la technologie fusionne dans le même plan. Timlin (Kristen Stewart) sera souvent là pour repousser les limites de ce nouveau type de sexe, qui n’a rien de douloureux, physiquement parlant, mais dont chaque plaie serait synonyme d’un vers, composé par un poète, quelque part entre l’agonie et l’extase absolue. Il faudra donc très peu de temps pour que le dénouement vienne un peu plus secouer notre caboche, à la frontière de la fascination et le recul que l’on devrait avoir sur une nouvelle humanité naissante, contre-intuitif, mais qui aura le mérite d’explorer de nouvelles saveurs et de nouvelles sensations.
« Les Crimes du Futur » (Crimes of the Future) n’est pas du genre à marteler ses propos avec son body-horror. La partie visuelle convoque essentiellement les couleurs écarlates, nappées d’un fluide obscur, qui garantira toujours une compréhension des enjeux. Hormis la condition unique de Saul et d’un enfant sacrifié, Cronenberg ne viendra pas s’étendre sur l’état du monde, ne cherche pas à le situer dans une timeline également, il ne cherche qu’à se frayer un chemin vers une vérité, sur l’industrie cinématographique des majors ou du comportement humain qui suit les tendances artistiques. Tout cela est exécuté en un geste, d’une froideur et d’une beauté déconcertante, qui laissera plus de cicatrices qu’il n’y paraît.
Comment doit-on réceptionner l’expérience ? Comme une autocritique ? Une genèse d’un art transgressif ? Le spectateur aura tout à faire dans une œuvre qui ne fait que laisser des portes entrouvertes, juste assez pour qu’on atteigne l’orgasme souhaité, ou simplement une forme de répulsion qui viendra heurter la sensibilité du cinéphile, qui aura révisé la filmographie du cinéaste canadien. Nous nous lançons ainsi dans un terrain connu, où Saul Tenser (Viggo Mortensen) constitue la pièce maîtresse du divertissement et qui cherche d’ailleurs à le transcender. Grâce à la minutie de sa partenaire Caprice (Léa Seydoux), ce dernier devient un puzzle organique, à l’image d’un réalisateur dont il serait le parfait ego pour l’étude à venir. Soucieux du corps, de ses vertus et surtout de sa mutation, il pose un regard sur une époque pas si lointaine, où le plastique et le synthétique seraient à la fois des substituts idéaux et un poison pour l’humanité.
Cette approche se fait dans le même mouvement que le discours métaphorique d’une technologie, qui ne comprimerait pas ses utilisateurs dans un enclos, bien au contraire. Il s’agirait d’élever sa condition et de s’approprier cette part de l’inconnue, qui déstabilise et qui ne soumettra plus le corps à une multitude de contraintes qu’il ne peut encaisser. C’est pourquoi il est assez ludique de voir un tel cinéaste décortiquer chacune de ses œuvres par des coupes chirurgicales nettes, où le désir, la culture et la technologie fusionne dans le même plan. Timlin (Kristen Stewart) sera souvent là pour repousser les limites de ce nouveau type de sexe, qui n’a rien de douloureux, physiquement parlant, mais dont chaque plaie serait synonyme d’un vers, composé par un poète, quelque part entre l’agonie et l’extase absolue. Il faudra donc très peu de temps pour que le dénouement vienne un peu plus secouer notre caboche, à la frontière de la fascination et le recul que l’on devrait avoir sur une nouvelle humanité naissante, contre-intuitif, mais qui aura le mérite d’explorer de nouvelles saveurs et de nouvelles sensations.
« Les Crimes du Futur » (Crimes of the Future) n’est pas du genre à marteler ses propos avec son body-horror. La partie visuelle convoque essentiellement les couleurs écarlates, nappées d’un fluide obscur, qui garantira toujours une compréhension des enjeux. Hormis la condition unique de Saul et d’un enfant sacrifié, Cronenberg ne viendra pas s’étendre sur l’état du monde, ne cherche pas à le situer dans une timeline également, il ne cherche qu’à se frayer un chemin vers une vérité, sur l’industrie cinématographique des majors ou du comportement humain qui suit les tendances artistiques. Tout cela est exécuté en un geste, d’une froideur et d’une beauté déconcertante, qui laissera plus de cicatrices qu’il n’y paraît.
Un excellent film qui ravira les fans de Cronenberg.
Acteurs, mise en scène, décors, musique, tout contribue à plonger dans une atmosphère étrange, déroutante , un peu dégoutante mais pas dénuée de charme ni d'humour.
Evidemment, ce film fera sans doute autant de déçus que de spectateurs conquis
Acteurs, mise en scène, décors, musique, tout contribue à plonger dans une atmosphère étrange, déroutante , un peu dégoutante mais pas dénuée de charme ni d'humour.
Evidemment, ce film fera sans doute autant de déçus que de spectateurs conquis
Il y a très très longtemps au ciné était projeté 1 "SCANNERS"qui sortait des sentiers battus; il avait surpris et enthousiasmé. Le réalisateur à l'époque amenait quelque chose d'audacieux dans le 7ème art et il a poursuivi son bout de chemin avec une filmographie réunissant du bon ou du moyen. Pour CRIMES DU FUTUR" Tenir jusqu'à la fin a été un véritable challenge.
Un mot peut résumer ce film : contre-nature.
Pour survivre au monde que nous avons créé, devrons-nous accepter que la nature, afin que nous puissions faire la paix avec elle, nous transforme à ce point ? Ce futur décrépit où la chirurgie et l'art se mêlent pour révéler notre prochaine évolution sera-t-il le notre ? Quel cauchemar ! Mais si c'était notre seul espoir ?
Pour survivre au monde que nous avons créé, devrons-nous accepter que la nature, afin que nous puissions faire la paix avec elle, nous transforme à ce point ? Ce futur décrépit où la chirurgie et l'art se mêlent pour révéler notre prochaine évolution sera-t-il le notre ? Quel cauchemar ! Mais si c'était notre seul espoir ?
Quand la psychopathie se prend pour de l'art... Les asiles psychiatriques et les prisons sont remplis de génies et d'artistes. Seules les couleurs m'ont été agréables.
un film gore poétique. Ames sensibles s'abstenir. Sanglant... ........................................
Un vrai film d'auteur dans le mauvais sens du terme qui contemple son nombril pendant 2h. Il y a des bonnes idées mais elles sont surlignées dans des vieux dialogues pompeux mal écrits et mal joués.
Si vous n'êtes pas un connaisseur de Cronenberg (comme moi), je déconseille fortement.
Si vous n'êtes pas un connaisseur de Cronenberg (comme moi), je déconseille fortement.
Un film sans intérêt au scénario improbable du plaisir dans les plaisirs masochistes malsains .Seydoux toujours médiocre en chirurgienne impossible . Comédienne sans charisme pas crédible un instant au côté de viggo le roi égaré dans ce navet . Il avait pourtant fait de très bons films Cronenberg.
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