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    Les Crimes du Futur
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    norman06
    norman06

    354 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 juin 2022
    Tout Cronenberg est présent dans cet opus qui reprend son grand thème de la chair, ici dans le prolongement de son cinéma épuré des années 2010. Mais le résultat apparaît plutôt froid, désincarné et mécanique, en dépit d'un sens toujours puissant de la mise en scène.
    Clemence Hamon33
    Clemence Hamon33

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juin 2022
    Je veux bien être ouverte d’esprit, et regarder des films alternatifs. Mais la il n’y avait aucune intrigue, et les nausées étaient multiples. Croyez cette note médiocre, et ne dépensez pas un centime pour ce film.
    Alice025
    Alice025

    1 689 abonnés 1 375 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 juin 2022
    Le nouveau film de David Cronenberg ne m'a pas vraiment convaincu... Bizarre, il fallait s'y attendre, mais il manque également de rythme, doté de dialogues techniques incompréhensibles.
    Les acteurs font le job mais cela ne suffit pas à être absorbé par l'histoire. La deuxième partie relève un peu le niveau sur le message que veut véhiculer le film mais la mayonnaise a du mal à prendre... Une déception.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    Vador Mir
    Vador Mir

    263 abonnés 800 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 juin 2022
    Un film plus intéressant que les propositions habituelles. Du Cronenberg pur jus, organique et impactant. On pardonnera les explications un peu trop explicites prononcées par les personnages.
    Les questions posées sont passionnantes.
    martine c
    martine c

    1 abonné 16 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 juin 2022
    Film futuriste, fascinant, esthétiquement intéressant mais très dérangeant par son sujet. De nombreuses scènes pourraient être qualifiées de "gore". Âmes sensibles s'abstenir.
    Quelques longueurs.
    Heureusement, Viggo Mortensen est impérial, comme toujours quand il travaille avec David Cronenberg. Mais cette 4ème collaboration n'est pas la meilleure
    Jipéhel
    Jipéhel

    64 abonnés 293 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2022
    « La réalité, c’est le corps »… Ah bon ?

    On sait le penchant prononcé de David Cronenberg pour la provocation. Depuis Vidéodrome ou La Mouche, jusqu’à Maps to the stars en passant par Crash, eXistenZ, et Cosmopolis, le réalisateur canadien aime choquer le public. Les 107 minutes de son 22ème opus sont dans le droit fil de toute sa filmographie. Alors que l’espèce humaine s’adapte à un environnement de synthèse, le corps humain est l’objet de transformations et de mutations nouvelles. Avec la complicité de sa partenaire Caprice, Saul Tenser, célèbre artiste performer, met en scène la métamorphose de ses organes dans des spectacles d’avant-garde. Timlin, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, suit de près leurs pratiques. C’est alors qu’un groupe mystérieux se manifeste : ils veulent profiter de la notoriété de Saul pour révéler au monde la prochaine étape de l’évolution humaine… Mais voilà, trop c’est trop, et le cinéma de Monsieur Cronenberg est victime de ses excès. Seulement il n’est pas le seul, le spectateur aussi.
    Voilà un film totalement inclassable. D’ailleurs les sites spécialisés parlent à la fois de drame, de science-fiction, de thriller et d’épouvante voire d’horreur… A part la comédie, on a à peu près de tout. Et là-dessus, je tomberai d’accord, c’est bien un objet filmique non identifié. C’est avant tout d’un ennui mortel. Il y a quelques jours je parler de prétention pour le film de Desplechin, croyez-moi, ce n’est rien à côté de ce pavé indigeste jusqu’à la nausée. Ce grand machin glauque et abscons se révèle être avant tout une réflexion sur l’évolution de l’espèce humaine. Eh ben ! C’est pas riant ! Selon le cinéaste, il s’agirait d’une manière de poursuivre une exploration de la technologie liée au corps humain. Avec quelques questions à la clé : le corps humain peut-il évoluer de manière à résoudre des problèmes que nous avons créés ? Peut-il générer un système lui permettant de digérer les matières plastiques et synthétiques, non seulement dans le but d’apporter une solution au dérèglement climatique, mais pour croître, s’épanouir et survivre ? Pourquoi pas, mais en l’occurrence, on nous propose un gloubi-glouba insupportable, illustré de dialogues emphatiques jusqu’au ridicule. Donc, après huit ans d'absence au cinéma, Cronenberg est de retour derrière la caméra… j’aurais aimé qu’il ne quittât point sa retraite dorée. Il a, certes, conservé son talent de metteur en scène, son goût pour les ambiances, les décors et les lumières sophistiquées. Ce serait un régal, si le scénario présentait un quelconque intérêt. Un film inutile.
    Quand on prend du recul, on s’aperçoit qu’on ne sait ni quand, ni où ça se passe. On ignore qui sont ces personnages névrosés qui s’agitent mollement devant la caméra, d’où ils viennent et pourquoi ils en sont arrivés à ces extrémités. Aussi, tout Viggo Mortensen, Léa Seydoux, Kristen Stewart, Scott Speedman… qu’ils sont, ils ne comprennent visiblement rien à ce qu’ils font et le spectateur est entraîné dans la même spirale. Je me demande si c’est tout à fait un hasard de constater que le grand Cronenberg a dû aller chercher des subsides en Grèce pour réaliser son film. Une production helléno- canadienne… une rareté. Bon vous avez compris, fuyez pour échapper à ce paroxysme de l’ennui bon chic bon genre, à moins que passer tout ce temps entre infanticide, détournement de cadavre, scarifications et cicatrices diverses et variées, présente un quelconque attrait pour vous. Tous les dégoûts sont dans la nature.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    7 420 abonnés 7 565 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2022
    L’espèce humaine doit faire face à un environnement de synthèse, le corps humain est l’objet de transformations et de mutations nouvelles. Au même moment, Saul Tenser, un célèbre performer, met en scène la métamorphose de ses organes…

    C’est le grand retour de David Cronenberg dans sa phase body horror, oscillant entre le cinéma horrifique et organique, celui qui avait marqué chaque décennie avec Chromosome 3 (1979), Vidéodrome (1983), Crash (1996) ou encore eXistenZ (1999). Dit comme ça, on avait qu’une hâte, celui d’aller le retrouver les yeux fermés et se délecter de ses nouvelles visions cauchemardesques.

    A 79ans, le réalisateur canadien s’intéresse toujours autant aux transformations corporelles, à la différence que cette fois-ci, il traite aussi d’une multitude de sujets, pêle-mêle on y retrouve les problèmes liés au climat, les dons d’organes ou encore de la chirurgie qui est devenue le « nouveau sexe » (la nouvelle façon d’avoir du plaisir).

    L’ennui, c’est qu’à aucun moment le réalisateur ne parvient à convaincre, non seulement le jeu des acteurs laisse clairement à désirer mais ajouté à cela, cette histoire donne l’impression d’être surannée avant l’heure et pour cause, le script a été écrit au début des années 2000, on sent très clairement qu’il y a un souci, tant au niveau de l’histoire qu’au niveau des décors. Quid de la chaise squelettique qui aide Viggo Mortensen à manger (il passe pour un tétraplégique, c’est ridicule).

    Les Crimes du futur (2022) s’avère être plus prétentieux qu’autre chose, se complaisant à brasser du grand n’importe quoi teintée de branlette intellectuelle pompeuse et chiantissime. Le film se veut dénonciateur mais s’y prend très mal, ça manque de punch et surtout, d’une direction artistique (l’ensemble du casting joue affreusement mal).

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    lmc-3
    lmc-3

    277 abonnés 467 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2022
    Ma première expérience ‘Cronenberg’: du grand art.
    (vu en VO)
    Film de genre (très conceptuel) ne pouvant que beaucoup plaire ou beaucoup déplaire.
    Synopsis fulgurant, moderne, l’univers est impitoyablement crédible et soulève des questions très intéressantes sur nombreux sujets futurs.
    Jamais essoufflé, le spectateur est de suite aspiré dans un monde maitrisé, aux discours percutants, lucides, exposant le transhumanisme sous un tout nouvel angle d’attaque.
    Deux camps s’affrontent: Sapiens se transformant, doit-on convenir en ces mutations une évolution de l’humanité face à laquelle il faut se soumettre sans crainte bien qu’elle déplaise au chainon ‘obsolète’, et donc menacé, en mettant à jour la définition que l’on a de « l’être humain » ou attaquer a tout pris ces modifications anatomiques, même si bénéfiques sur le long terme, en qualifiant les ‘mutants’ de monstres n’ayant plus rien d’humain?
    Placé dans un environnement rétro-futuriste mêlant technologies futuristes et technologies figées dans le passé dans un environnement lui-même ‘vision du futur par des esprits des 70’s’, le film se démarque également dans son esthétique rétro, où tous décors et tous effets spéciaux sont physiques et non numériques, à la façon de l’époque, environnements, costumes et ‘machines’ très propres.
    Les acteurs intéressés par ce script nous proposant eux-mêmes un jeu exemplaire, le film respire de sa qualité visuelle et textuel.
    En 1h47, après introduction et clôture de nombreux arcs, le film semble cependant se terminer une demi-heure avant la fin, plein d’éléments encore en suspend; laissant le spectateur attentif se reposer sur des éléments sans réponses: clôture ouverte.
    Concernant l’aspect graphique en lui-même: appartenant à un domaine écartant (normalement) un public adolescent, le filtre rose permettant d’en faire un film pour public plus élargit dénote sur ce qui aurait pu être l’occasion de quelque chose de plus poussé, plus osé, avec un ‘Rated R’ justifié. Le film se retient et c’est dommage.

    Expérience (un peu courte) enivrante pour public cible averti.
    Vaut le détour pour amateurs des thèmes abordés.

    Question: comment la mutilation peut provoquer un plaisir physique chez un individu ne ressentant pas la douleur? Comment le film définit l’absence d’information de la douleur chez l’individu sinon par sa privation du sens du toucher?
    Où est le plaisir sexuel physique? Où se justifient les gémissements de plaisir au rythme de pénétration d’une lame apparemment non ressentie par le corps lorsque même les yeux ne sont pas orientés sur elle?
    lpjdrdtv90
    lpjdrdtv90

    13 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 juin 2022
    Le film rassemble pas mal de thématiques traitées par le passé par Cronenberg. On pense beaucoup à Videodrome, Crash, ExistenZ Par bien des aspects visuels aussi.
    Mais bon, Léa Seydoux (toujours très bien ais rien ne dépasse, hein, c'est dingue) a beau se faire mettre des implants en relief sur le front à la Orlan, le film est bien en retard sur ce dont il parle. Quand a lieu la performance où une très belle femme se fait ouvrir les joues et charcuter le front parce qu'elle n'ambitionne pas d'être belle en prenant son pied, j'ai pensé à Black Alien à Montpellier, ce mec pas mal (voir de vieilles photos, hein, qui s'est fait tatouer toute la peau en vers de gris, s'est fait enlevé la partie basse du nez, ouvrir la lèvre supérieure, amputer des doigts.
    Le film en se projettant dans le futur pour parler de cette jouissance extrême a détruire son propre corps tout en revendiquant faire de l'art fait donc très daté.
    A part son esthétique trash, on s'y ennuie quand même fermement.
    Marianne A
    Marianne A

    1 abonné 6 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2022
    Très déçue par ce film, c'est insipide, brouillon, j'en sors et je n'ai pas compris le thème, Vigo Mortensen nous a habitué à de meilleurs rôles mais qu'est ce qu'il fait dans cette galère, Cronenberg descend une pente raide, vraiment évitez de payer un billet pour un tel film.
    Ladyoscar L.
    Ladyoscar L.

    6 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2022
    Mais quel supplice presque gênant. L'ouverture du film est la pour choquer le bourgeois, le style est ampoulé, le jeu des comédiens exagéré. L'impression qu'on a mis les ingrédients des films de Cronenberg dans un mauvais tchaker et que le réalisateur en a tiré son scenario, les deux pieds dans sa piscine.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 1 juin 2022
    Vraiment aucun intérêt
    Nul ! Je ne comprend pas comment on fait pour sortir des trucs comme ça avec des scénarios proches du néant, pas d intrigue, RIEN en fait
    AmbrenN49
    AmbrenN49

    2 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 1 juin 2022
    Je me suis dis pourquoi pas, après on connaît Cronenberg et son cinéma, un style particulier qu’on aime ou qu’on aime pas. Résultat, on se retrouve devant un film qui est certes très esthétique avec une ambiance pesante mais hormis ça, aucune intrigue, des scènes très explicites mais surtout aucune action. Vous êtes plongés au cœur d’un monde futuriste où se faire charcuter c’est le « nouveau sexe ». Enfin bref, n’allez pas perdre votre temps avec ce film.
    ENVIE DE POISSON
    ENVIE DE POISSON

    7 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 juin 2022
    1 étoile
    Pour le casting
    Et l'ambiance
    Presque malsaine
    Presque originale
    Sinon
    C'est surtout méchamment ennuyeux
    Cette histoire de chirurgie qui remplace le sexe
    Dans un monde parallèle
    Perdu entre Existenz et Faux-semblants
    Crash aussi
    Pour son côté bêtement maniéré
    Et
    L'incompréhension que cela génère cette obsession morbide de l'auto mutilation
    De l'accident
    De la machine sulfureuse
    Et érotique
    En fait
    Quand on ne l'a pas ce travers sexuellement macabre et métallique
    C'est surtout chiant
    Un tout petit peu dérangeant
    Pédant aussi
    On dirait de l'art contemporain dans son pire
    Sérieusement snob et bourgeois
    Ampoulé d'une provocation d'apparat
    Et on ne voit pas bien vers quoi le film va
    Le futur
    Les mutations génétiques
    Le corps comme terrain d'expérimentation artistique nouveau
    ?
    En tout cas
    On ne ressent pas grand chose
    C'est sexy comme une tour en béton
    Fade comme un ciel plombé de gris
    Marcologie
    Marcologie

    38 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 juin 2022
    Ce film est proche du chef d’œuvre mais on peut comprendre qu'il ne s'adresse pas à tout le monde. Déjà c'est un film synthèse de toute l’œuvre de Cronenberg avec de multiples références de ses films antérieurs, donc il vaut mieux connaitre son univers pour bien entrer dedans (avec jeu de mots). Ce film est une violente critique du transhumanisme, mais Cronenberg ne donne pas de leçon, il va, comme à son habitude, au bout de la logique de ses personnages mutants qui font des spectacles de leur monstruosité, comme ceux des fêtes foraines des siècles passés. il se moque du milieu de l'art, de la course au sensationnel, toujours plus loin pour continuer à être sur le devant de la scène (référence à Stelarc pour ceux qui auront la ref). Mais dans ces temps futurs plus rien ne semble finalement choquer, même pas l'exploitation du corps d'un enfant mort. On pourrait écrire sur ce film pendant des heures, c'est ce qui fait la différence entre un chef d’œuvre et un film bas de gamme mais qui va intellectuellement être accessible tout de suite et donc plaire à un très large public. Là il faut prendre le temps de laisser décanter. Le. seul défaut de ce film est le choix de Léa Seydoux que je trouve inexpressive comme à son habitude.
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