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    Les Crimes du Futur
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    Alain Delon2914
    Alain Delon2914

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 mai 2022
    Un superbe objet sexualisant et isothérique. Le film est d'une accessibilité intriguante. Un très beau moment hors de son temps. On en ressort bouleversé et excité par cet OVNI qui mets un grand coup au paysage cinématographique actuel.
    Alexis B
    Alexis B

    55 abonnés 31 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 mai 2022
    Wow ! Quel film avant-gardiste qui nous déploie un univers unique et passionnant sur l’utilité et l’utilisation du corps humain. Est plutôt destiné à un public averti.
    Jorik V
    Jorik V

    1 259 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 juin 2022
    On n’avait pas vu David Cronenberg sur le grand écran depuis bientôt dix ans. Et la décennie qui a précédé, l’auteur avait abandonné ses délires organiques et les sévices corporels baignés dans la science-fiction qui l’ont fait connaître (de « La Mouche » à « eXistenZ ») pour une seconde partie de carrière composée de polars ou d’œuvres plus psychologiques, comme le magistral « Les Promesses de l’ombre » ou les très ennuyants « A dangerous method » et « Cosmopolis ». On pensait le cinéaste reconnaissable entre mille rangé définitivement mais il nous revient donc avec ce qu’il sait faire de mieux : réputé roi du body horror, il nous y replonge en plus de considérations et d’allégories assez puissantes sur nos sociétés et ses dérives. Un film qui résume son œuvre en à peine deux heures sans pour autant transpirer le best-of opportuniste et référentiel. « Les crimes du futur » n’est certes pas un chef-d’œuvre mais il nous transporte dans un univers cohérent et maîtrisé comme le réalisateur en a le secret.

    Il fait le choix de ne nous donner aucune notion de temps et d’espace avec « Les crimes du futur ». C’est-à-dire qu’on ne sait pas si nous sommes dans l’avenir malgré le titre ou dans une sorte d’uchronie ou de dystopie. Et nous ne saurons pas plus où nous nous trouvons exactement même si on devine que le tournage a eu lieu en Grèce au vu de plusieurs indices. Cette absence de marqueur spatio-temporel est logique avec la fable futuriste qui nous est contée ici : cela pourrait se dérouler n’importe où et n’importe quand mais là n’est pas l’essentiel. L’homme, son corps et leur évolution semblent être arrivés à terme et c’est désormais la chirurgie et tous les délires qui vont avec qui excitent le commun des mortels. A partir de ce postulat et d’un scénario complètement tordu, mais toujours logique avec lui-même et tenu grâce à beaucoup (trop) de dialogues explicatifs, le film nous emporte durant près de deux heures dans son opéra de la chair. Une chair maltraitée et des corps mutilés filmés comme un ballet aussi charnel qu’organique qui bouscule les sens. Ce n’est pas choquant juste parfois un peu écœurant.

    Les tenants et les aboutissants de l’intrigue sont parfois nébuleux et il y a quelques longueurs mais cela semble faire partie du voyage proposé par Cronenberg qui invite son acteur fétiche depuis un moment, Viggo Mortensen. Mais aussi deux des actrices les plus hype du cinéma indépendant mondial : notre Léa Seydoux nationale et Kristen Stewart qui éblouit encore dans un rôle étrange et difficile à définir. Encore une fois, ses choix comme ceux de son ancien partenaire de « Twilight » Robert Pattinson, qui a aussi tourné avec Cronenberg, sont judicieux et téméraires. Le film se vit comme un voyage étrange et bizarre dans les tréfonds de la folie humaine enveloppé par une musique classique à la fois épique et ample. Le cinéaste n’oublie pas soigner ses images et de mettre en avant ses décors naturels étranges, proches du no man’s land. Et quand vous verrez que tout se joue autour de gens qui parviennent à manger et digérer du plastique tandis que d’autres prennent plaisir à se faire tatouer les nouveaux organes que leur corps crée, vous en déduirez de la rareté et de l’étrangeté de l’œuvre à laquelle vous avez affaire. Après « Men », encore une fois une œuvre loin d’être tous publics, qui ne plaira pas à tout le monde mais prouve que le cinéma peut encore sortir des sentiers battus.

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    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    519 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2022
    On le croyait rangé du cinéma depuis la sortie en 2014 de son Maps to the Stars, David Cronenberg revient 8 ans plus tard pour un projet qui a tout de l'œuvre testamentaire. C'est vite dit ? Un peu car le réalisateur n'a visiblement pas envie de repartir en retraite (déjà un nouveau film avec Vincent Cassel dans les tuyaux). Mais pas tant que ça, Les Crimes du Futur renvoie presque constamment aux grands travaux du cinéaste, du body-horror à la marotte sous-jacente liée aux transformations du corps (mutation, altération) au niveau physique comme social.

    La démarche est conscience, assumée. Vous reconnaîtrez le transhumanisme de La Mouche, la technologie organique d'Existenz, les pulsions sadomasochistes de Vidéodrome. Pour ma part, j'ai surtout pensé au plus controversé Crash et son observation du comportement paraphilique. L'un et l'autre enchaînent les séquences tordues, excentriques, bizarres et malsaines comme une plongée en apnée dans les méandres d'un monde parallèle (l'interzone du Festin nu ?). Il est évident que tous ne supporteront pas le voyage, l'expérience primant sur un récit assez hermétique en lui-même.

    Finalement, le premier plan devient accessoire. La richesse, on la trouve surtout dans le regard que porte Cronenberg sur son art, le cinéma et ce que l'avenir lui réserve (ou pas). À force de cultiver le synthétique, la prochaine étape de l'évolution verra t-elle l'homme en devenir un nouveau représentant ? Un constat horrifiant mais pas si fantasque, quand bien même Cronenberg y injecte une ironie malicieuse au détour de spectacles morbides ou du jeu étrange de Kristen Stewart.

    Dommage que l'intrigue s'active à partir de la moitié, il y avait pourtant matière à en faire quelque chose de plus limpide, surtout avec un tel casting. Viggo Mortensen se plie naturellement à l'exercice du double fictif de Cronenberg, et Léa Seydoux irradie de sensualité et de magétisme. Un retour en forme libre, bizarroïde, au sens aussi occulte qu'une bonne partie de ses personnages.
    moket
    moket

    512 abonnés 4 295 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 mars 2023
    Avec Cronenberg, généralement, on aime ou on déteste. Étrange et malaisant, du Cronenberg pur jus qui appartient plutôt à la deuxième catégorie car également grotesque et caricatural.
    Nicothrash
    Nicothrash

    357 abonnés 3 017 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 juin 2023
    Très friand du cinéma de Cronenberg, je l'avais laissé sur Cosmopolis, une énorme déception. Avec Les Crimes du Futur, il renoue avec ses thématiques fétiches et se lâche complètement dans ce film d'anticipation tordu. Au croisement de Crash et Existenz, il nous livre une vision du futur peu ragoûtante avec quantité de déviances improbables. En s'appuyant sur un solide casting dont son chouchou Viggo Mortensen, il nous emmène aux confins de l'esprit humain dérangé avec une mise en scène intrigante et des scènes difficilement supportable pour le non initié. C'est étrange du début à la fin, on a l'habitude avec lui, mais pas dénué de sens, il pose pas mal de questionnements sur l'Homme et son rapport au corps et au sexe notamment et bien plus encore. L'exercice de style est périlleux et ne plaira pas à tout le monde, pour ma part j'ai apprécié cet essai dérangeant et ça m'a même donné envie de me refaire la filmo du monsieur.
    Cinememories
    Cinememories

    472 abonnés 1 461 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 juin 2022
    David Cronenberg est un habitué de la Croisette et la plupart de ses œuvres en témoignent (Crash, Spider, A History of Violence, Cosmopolis, Maps To The Stars et Chacun Son Cinéma). Pourtant, il semble un peu plus revenir à ses premiers amours de la science-fiction, telle une synthèse de chair et d’organe, où il a conquéri la série B du body-horror. Loin de l’idée d’une célébration, il pousse le vice à la réflexion, à l’heure où il est formellement convaincu de la scission entre le corps et l’esprit d’adaptation. Il interroge ainsi la matière grise de Darwin et les enjeux contemporains à travers un spectacle à corps ouvert. Ce rapport à la douleur ne devient donc plus aussi déroutant qu’autrefois, quand bien même nous serions à l’aise avec une démarche qui ne compte pas cicatriser de sitôt.

    Comment doit-on réceptionner l’expérience ? Comme une autocritique ? Une genèse d’un art transgressif ? Le spectateur aura tout à faire dans une œuvre qui ne fait que laisser des portes entrouvertes, juste assez pour qu’on atteigne l’orgasme souhaité, ou simplement une forme de répulsion qui viendra heurter la sensibilité du cinéphile, qui aura révisé la filmographie du cinéaste canadien. Nous nous lançons ainsi dans un terrain connu, où Saul Tenser (Viggo Mortensen) constitue la pièce maîtresse du divertissement et qui cherche d’ailleurs à le transcender. Grâce à la minutie de sa partenaire Caprice (Léa Seydoux), ce dernier devient un puzzle organique, à l’image d’un réalisateur dont il serait le parfait ego pour l’étude à venir. Soucieux du corps, de ses vertus et surtout de sa mutation, il pose un regard sur une époque pas si lointaine, où le plastique et le synthétique seraient à la fois des substituts idéaux et un poison pour l’humanité.

    Cette approche se fait dans le même mouvement que le discours métaphorique d’une technologie, qui ne comprimerait pas ses utilisateurs dans un enclos, bien au contraire. Il s’agirait d’élever sa condition et de s’approprier cette part de l’inconnue, qui déstabilise et qui ne soumettra plus le corps à une multitude de contraintes qu’il ne peut encaisser. C’est pourquoi il est assez ludique de voir un tel cinéaste décortiquer chacune de ses œuvres par des coupes chirurgicales nettes, où le désir, la culture et la technologie fusionne dans le même plan. Timlin (Kristen Stewart) sera souvent là pour repousser les limites de ce nouveau type de sexe, qui n’a rien de douloureux, physiquement parlant, mais dont chaque plaie serait synonyme d’un vers, composé par un poète, quelque part entre l’agonie et l’extase absolue. Il faudra donc très peu de temps pour que le dénouement vienne un peu plus secouer notre caboche, à la frontière de la fascination et le recul que l’on devrait avoir sur une nouvelle humanité naissante, contre-intuitif, mais qui aura le mérite d’explorer de nouvelles saveurs et de nouvelles sensations.

    « Les Crimes du Futur » (Crimes of the Future) n’est pas du genre à marteler ses propos avec son body-horror. La partie visuelle convoque essentiellement les couleurs écarlates, nappées d’un fluide obscur, qui garantira toujours une compréhension des enjeux. Hormis la condition unique de Saul et d’un enfant sacrifié, Cronenberg ne viendra pas s’étendre sur l’état du monde, ne cherche pas à le situer dans une timeline également, il ne cherche qu’à se frayer un chemin vers une vérité, sur l’industrie cinématographique des majors ou du comportement humain qui suit les tendances artistiques. Tout cela est exécuté en un geste, d’une froideur et d’une beauté déconcertante, qui laissera plus de cicatrices qu’il n’y paraît.
    ISAO12
    ISAO12

    42 abonnés 1 039 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 juin 2022
    Un film sans intérêt au scénario improbable du plaisir dans les plaisirs masochistes malsains .Seydoux toujours médiocre en chirurgienne impossible . Comédienne sans charisme pas crédible un instant au côté de viggo le roi égaré dans ce navet . Il avait pourtant fait de très bons films Cronenberg.
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈
    𝓂𝒶𝓉 𓆈 𝒽𝒾𝓈

    139 abonnés 1 143 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 septembre 2022
    Une catastrophe. Je n'ai pas les mots pour décrire cette gigantesque daube. La mise en scène est affreuse ! L'histoire et les dialogues m'ont paru incompréhensibles. Le casting est bien choisi oui, mais pas pour cette daube, non ! Je me suis tellement ennuyé. Une idée derrière tout ça qui aurait pu plaire et être sympathique à exploiter mais trop de brouillon au fin fond de cette production qui rend l'histoire complètement * *****
    PETIT LOIR
    PETIT LOIR

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2022
    Si on se borne à "l'autopsie" des corps on serait tenté de voir un film d'épouvante. Mais il n'en est rien. Ce film est beau au sens artistique et profond tout comme le sont enfuis ces nouveaux organes porteurs d'espoir. Il est également très sensuel. Léa Seydoux est sublime tant dans le jeu que dans la plastique. Cela mériterai presque une suite ... Merci
    Fabrice Hirel
    Fabrice Hirel

    4 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 28 mai 2022
    Franchement pas terrible du tout.lea saindoux toujours insignifiante les autres acteurs sont biens, la photo est très belle mais on s'ennuie trop ! TOUT seul dans la salle samedi 17h55.
    Jipéhel
    Jipéhel

    56 abonnés 256 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 2 juin 2022
    « La réalité, c’est le corps »… Ah bon ?

    On sait le penchant prononcé de David Cronenberg pour la provocation. Depuis Vidéodrome ou La Mouche, jusqu’à Maps to the stars en passant par Crash, eXistenZ, et Cosmopolis, le réalisateur canadien aime choquer le public. Les 107 minutes de son 22ème opus sont dans le droit fil de toute sa filmographie. Alors que l’espèce humaine s’adapte à un environnement de synthèse, le corps humain est l’objet de transformations et de mutations nouvelles. Avec la complicité de sa partenaire Caprice, Saul Tenser, célèbre artiste performer, met en scène la métamorphose de ses organes dans des spectacles d’avant-garde. Timlin, une enquêtrice du Bureau du Registre National des Organes, suit de près leurs pratiques. C’est alors qu’un groupe mystérieux se manifeste : ils veulent profiter de la notoriété de Saul pour révéler au monde la prochaine étape de l’évolution humaine… Mais voilà, trop c’est trop, et le cinéma de Monsieur Cronenberg est victime de ses excès. Seulement il n’est pas le seul, le spectateur aussi.
    Voilà un film totalement inclassable. D’ailleurs les sites spécialisés parlent à la fois de drame, de science-fiction, de thriller et d’épouvante voire d’horreur… A part la comédie, on a à peu près de tout. Et là-dessus, je tomberai d’accord, c’est bien un objet filmique non identifié. C’est avant tout d’un ennui mortel. Il y a quelques jours je parler de prétention pour le film de Desplechin, croyez-moi, ce n’est rien à côté de ce pavé indigeste jusqu’à la nausée. Ce grand machin glauque et abscons se révèle être avant tout une réflexion sur l’évolution de l’espèce humaine. Eh ben ! C’est pas riant ! Selon le cinéaste, il s’agirait d’une manière de poursuivre une exploration de la technologie liée au corps humain. Avec quelques questions à la clé : le corps humain peut-il évoluer de manière à résoudre des problèmes que nous avons créés ? Peut-il générer un système lui permettant de digérer les matières plastiques et synthétiques, non seulement dans le but d’apporter une solution au dérèglement climatique, mais pour croître, s’épanouir et survivre ? Pourquoi pas, mais en l’occurrence, on nous propose un gloubi-glouba insupportable, illustré de dialogues emphatiques jusqu’au ridicule. Donc, après huit ans d'absence au cinéma, Cronenberg est de retour derrière la caméra… j’aurais aimé qu’il ne quittât point sa retraite dorée. Il a, certes, conservé son talent de metteur en scène, son goût pour les ambiances, les décors et les lumières sophistiquées. Ce serait un régal, si le scénario présentait un quelconque intérêt. Un film inutile.
    Quand on prend du recul, on s’aperçoit qu’on ne sait ni quand, ni où ça se passe. On ignore qui sont ces personnages névrosés qui s’agitent mollement devant la caméra, d’où ils viennent et pourquoi ils en sont arrivés à ces extrémités. Aussi, tout Viggo Mortensen, Léa Seydoux, Kristen Stewart, Scott Speedman… qu’ils sont, ils ne comprennent visiblement rien à ce qu’ils font et le spectateur est entraîné dans la même spirale. Je me demande si c’est tout à fait un hasard de constater que le grand Cronenberg a dû aller chercher des subsides en Grèce pour réaliser son film. Une production helléno- canadienne… une rareté. Bon vous avez compris, fuyez pour échapper à ce paroxysme de l’ennui bon chic bon genre, à moins que passer tout ce temps entre infanticide, détournement de cadavre, scarifications et cicatrices diverses et variées, présente un quelconque attrait pour vous. Tous les dégoûts sont dans la nature.
    nico 243
    nico 243

    2 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 juin 2022
    Un mot peut résumer ce film : contre-nature.
    Pour survivre au monde que nous avons créé, devrons-nous accepter que la nature, afin que nous puissions faire la paix avec elle, nous transforme à ce point ? Ce futur décrépit où la chirurgie et l'art se mêlent pour révéler notre prochaine évolution sera-t-il le notre ? Quel cauchemar ! Mais si c'était notre seul espoir ?
    Wesley Batista
    Wesley Batista

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 mai 2022
    Je le déconseille d’aller le voir au cinéma. Film très lent qui devient aussi long et lourd a voir. Avec pleins d’idees idéologies futuristes assez complexe
    Fegatilliugo
    Fegatilliugo

    6 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2022
    Ce nouveau Cronenberg en divisera plus d'un. De part son scénario très atypique et son ambiance très lugubre. Quand le film commence on a du mal ou ce placer, on est entre fascination et perplexité car on est directement lancé dans un scénario qui ne nous explique rien mais qui malgré tout nous donne envie d'en savoir plus. Le film a un rythme assez lent ce qui en dissoudera certain même si à mes yeux cela n'est pas dérangeant. Certaines scènes sont très viscérale et sanglante ce qui pourra en dégoûter certains. Le casting est très bon même Léa Seydoux dont je ne suis pas fan habituellement m'as bien convaincu dans le fond et dans la forme. Un deuxième visionage serait utile pour capter tout les subtilités du scénario car la fin est assez abrupte mais nous laisse réfléchir après le visionage.
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