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New Draxler
5 critiques
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4,0
Publiée le 28 mai 2022
Un film très unique, enfin un film qui se différencie des grands films aujourd'hui avec de la science fiction horrifique. Une belle surprise vraiment toujours avec Cronenberg qui exploite sa patte d'expert sur ce body horreur intéressant qui fait réfléchir. C'est assez spécial soit on aime soit on déteste mais pour ma part, j'ai vraiment bien aimé. Petit bémol : les scènes de chirurgie sont assez choquantes et la nudité présente font que je le conseillerais fortement d'y aller plutôt vers 15 16 ans même pour y comprendre l'idée générale du film. Je déconseille forcément si vous n'êtes pas fan du body Horror, c'est à dire le charcutage de corps etc. Sinon allez y, foncez. Vous avez le droit à un film unique (rare de nos jours !).
Vraiment aucun intérêt Nul ! Je ne comprend pas comment on fait pour sortir des trucs comme ça avec des scénarios proches du néant, pas d intrigue, RIEN en fait
absolument ignoble et débile a vomir l histoire n a aucun sens, on se perd facilement, il n y a aucun but final. certaines scènes sont dérangeantes et gore. les dialogues sont insensés. FUYEZ ! ou vous allez perdre 2 heures de votre vie ........
Huit ans déjà depuis le dernier Cronenberg (Maps to the stars). Celui-ci (présenté à Cannes cette année) ne me disait trop rien, et puis j’ai toujours un problème avec Léa Seydoux (un peu moins depuis France). Une chose est sure, le réalisateur canadien revient à ses premiers amours (scénario écrit il y a plus de vingt ans). D’une période allant, pour moi, de Scanners à eXistenZ. Il nous offre ici, comme à l’époque, un film bien glauque, bien dérangeant. Un petit moment avant de rentrer dedans mais une fois bien pris par le récit, j’ai été assez subjugué. Un beau casting où Viggo Mortensen est impérial, Seydoux plutôt pas mal, Kristen Stewart une nouvelle fois étonnante et Scott Speedman bien convaincant. Sans doute pas le meilleur film de son auteur, mais une ouvre singulière, qui ne laisse pas indifférent, et au final assez fascinante. On lit ça et là que c’est son film testament, espérons que non...
Quand le nouveau film de Cronenberg s'est terminé, j'attendais toujours qu'il commence.
Jusqu'alors, j'avais surtout l'impression d'avoir vu une sorte de court-métrage, entièrement nocturne (à l'exception de la première scène, la meilleure), tourné à l'évidence dans une zone portuaire grecque abandonnée, très verbeux et peu incarné.
Hélas, ce film - peut-être testament ? - du réalisateur canadien n'est pas réellement fini. Il comprend bien quelques scènes amusantes, mais rien n'est vraiment convaincant sur le fond : les personnages sont réduits à des caricatures et les idées originales ne sont pas réellement développées (comme celles des mangeurs de plastique).
Il m'est arrivé durant le film de me dire que certains dialogues exprimaient des idées plus intéressantes que toutes les images qui figuraient à l'écran. Pas très bon signe pour ce qui restera comme un manifeste auto-centré, creuse dystopie, développant une esthétique curieusement datée, rétro-kitsch si l'on veut, peu en lien avec l'époque actuelle et anesthésiant toute émotion.
Un chant du signe à peine esquissé, embryon d'un film que l'on attend encore.
Le film n'est pas mauvais, mais ce casting avec Seydoux détruit tout. Encore une fois cette mauvaise actrice réduit à néant le jeu des autres acteurs. Comment cette Dame, se retrouve dans tout ces films... COMMENT ??
Compétition à Cannes 2022 .... dingue,.... Oui pour le casting, Les deux ovnis : Caprice (Léa Seydoux) et Timlin (Krisyen Stewart), et Tenser ( le beau Viggo Mortensen), pour le reste, "Morne plaine" et pas un coup de Trafalgar..... Fade à outrance, voire pénible à suivre.... En effet il faudra aux uns et aux autres une certaine dose de patience, pour supporter les images rudes et froides, un rythme insipide et une intrigue compliquée... Tous les ingrédients pour ne pas passer un moment très agréable, comme il se devrait. Dommage pour un Cronenberg, mais soyons objectifs - si on le peut - un film à fuir et à ne surtout pas recommander ..... !!**
Je n ai pas accroché du tout. Très déçu par le scénario,même en situation futuriste,j ai trouvé une grande pauvreté dans les dialogues.quand à la mise en scene,Georges Melies aurait fait mieux..très surpris et déçu, j ai quitté la salle à mi film.pourtant de bons acteurs étaient présents mais..
Profondément mauvais, se prétend être une critique de notre futur mais fait que nous montrer des monstruosités sans queue ni tête. Autant j'ai apprécié le travail d’effet spéciaux sur cette œuvre autant je n'ai absolument pas compris ou l'auteur veut nous emmener avec ça.
Un concentré des obsessions et thèmes fétiches de Cronenberg : le corps humain, ses mutations, ses mutilations ; l’organique et le métallique ; les nouvelles sexualités ; le spectacle de l’horreur… Au croisement de Chromosome 3, Faux Semblants et Crash. Cet opus est à la fois très concret, dans un genre ouvertement viscéral, et très conceptuel, avec un développement de théories aussi intéressantes que déstabilisantes. Dans des décors décadents, superbement photographiés en clair-obscur, le film charrie son lot de scènes choc, à commencer par l’introduction, et capte de bout en bout en raison de son étrangeté radicale, de son imprévisibilité. Mais pour autant, il peine à convaincre pleinement. Tout ne semble pas limpide et abouti dans le scénario, fruit des méandres de l’intelligence et de l’imagination du cinéaste. Et au-delà de l’inconfort que l’on peut ressentir, la froideur de l’ensemble nous laisse à une certaine distance, seuls avec notre perplexité face à cet éloge singulier de la beauté intérieure.
Agé de presque 80 ans, David Cronenberg réalise un nouveau film abordant le thème de l’évolution du corps humain. Sorti en 2022, ce long-métrage demeure très difficile d’accès. La trame complétement barrée du scénario transpose dans une société futuriste des sujets aussi variés que la mutation génétique, la création artistique ou le désir sexuel. Au-delà de son caractère glauque et parfois vomitif, le schéma narratif reste tellement abstrait qu’il en devient insipide. Dans ce tourbillon décadent, Viggo Mortensen et Léa Seydoux tentent de rendre crédible ce délire onirique. Bref, une œuvre entièrement conceptuelle dont on ne parvient pas toujours à comprendre le sens.
je n'ai rien compris ! le début est comme la fin: il n'a ni queue ni tête. Les outils du futur sont mélangés avec les traces du passé. La notion de douleur n'est plus ressentie. Au final, où est l'intrigue? ou est l'histoire ?
Cronenberg nous livre ici son œuvre la plus personnelle ; déroutante à bien des égards.
Abstrait, lent, sobre et cérébral... le spectateur devant les idées exposées peine à voir la profondeur qui s'ouvre à ses pieds. La matérialité du film est bien là, mais on reste toujours à distance d'elle, comme si la douleur disparaissant, l'empathie n'avait plus aucune raison d'être. La violence est conceptuelle et sa trajectoire hyperbolique ne parvient à toucher le spectateur que dans un final où la puissance du jeu de Viggo Mortensen transperce l'écran dans une photographie sale.
porte le même titre que l'un de ses premiers films sorti en 1970, il n'a aucun lien avec ce dernier. Le cinéaste canadien n'avait plus réalisé de film depuis Maps to the Stars (2014)Le tournage débute le 2 août 2021, , à Athènes. Il se déroule également au Pirée david cronenberg retrouve aussi son compositeur fétiche qui est howard shore