Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
Avec "Crimes of the Future", qui n'est pas sans rappeler de façon lointaine cet autre magistral autoportrait perclus de souffrance qu'est "Douleur et gloire" de Pedro Almodóvar, David Cronenberg semble marcher vers sa propre fin dans une démarche qui, pourtant, prouve toute sa vigueur artistique. On appelle cela une œuvre crépusculaire, et c'est bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Ecran Fantastique
par Cédric Coppola
Complexe, maitrisé et servi par une interprétation sans faille, ce 22e opus respire l’esprit de son auteur jusqu’à la moëlle, pour le plus grand plaisir de tous les cinéphiles. Incontournable.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
[...] la densité thématique et la profondeur des réflexions apportées par cette nouvelle expérimentation filmique sont étourdissantes [...].
Positif
par Philippe Rouyer
Un film-somme aux accents testamentaires.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
David Cronenberg revient aux fondamentaux de sa carrière et narre la naissance d’une nouvelle humanité par le prisme de l’art transhumaniste : celui du cinéma. L’on pourrait croire que Les Crimes du futur annonce la mort du maitre du body horror, c’est tout le contraire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
A la fois beau et – on ne peut le nier – clivant, ce film envoûte et dérange de la plus séduisante façon.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Jo Fishley
Cette œuvre à la cinématographie éblouissante exhibe encore des corps mutants, dont les organes proliférants, beautés intérieures, deviennent objets d’art.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Pourquoi la chirurgie du docteur Cronenberg opère-t-elle toujours ? Parce que sa science-fiction n’a jamais cédé aux rêveries futuristes ni joué au jeu des prophéties. Elle est restée arrimée à la seule chose qui l’intéresse vraiment, le corps humain et son devenir, le corps comme principal terrain de l’esprit et seul lieu possible d’une transcendance.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Si Les Crimes du Futur n’est pas le meilleur film de son auteur, il en demeure sûrement le plus personnel, le plus lucide et étonnamment optimiste.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Mathieu Jaborska
David Cronenberg dissèque sa carrière, l'industrie dans laquelle il évolue depuis des décennies et la puissance de l'avant-garde artistique. L'exercice est forcément fascinant, encore plus pour les connaisseurs de son oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Les Crimes du futur peut être envisagé comme l’aboutissement des obsessions cinématographiques du réalisateur canadien.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Cronenberg, le Francis Bacon des expérimentations médicales, ne s’est pas assagi ; il renoue avec la fibre body horror de ses débuts, mais à la manière plus froide et théorique de « Crash » et d’« eXistenZ ».
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
Bouclant la boucle de ses obsessions, Cronenberg conjugue dans son film l’amusante bizarrerie des débuts à la radicalité de Crash, dont il pourrait être une version actualisée.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Les Crimes du futur pourrait n’être qu’un pensum fumeux et bavard. Il ne faut pas prendre Cronenberg trop au sérieux. Le Canadien a bien plus d’humour que ses exégètes, ivres d’interprétation (écologisme, transhumanisme, corps mutant) et d’interconnexion avec les films précédents du cinéaste (Scanners, ExistenZ, Crash). Un humour noir, sardonique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par S.B. et B.T.
Une sorte de rejeton déviant de Chromosome 3 (1979) et Crash (1996), qui évoque aussi son moyen métrage éponyme de 1970, dans un décor à la fois rétro et futuriste, où planent un érotisme fou et un humour bienvenu. Porté par Viggo Mortensen, alter-ego troublant et charismatique du réalisateur, et une bande de personnages féminins aussi beaux que névrosés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il faut donc en revenir au principe de « cancer créatif », qui définit, en plus de la vie, l’idée même de ce film : une souche morte il y a vingt ans, qui refleurit sous nos yeux aujourd’hui. Rémanence de la pensée et miracle de la nature. Tortueux, fragile, précieux, tel est le travail de la création.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Sombre, dérangeant parfois, très prenant et donnant à réfléchir, « Les Crimes du futur » doit aussi beaucoup à ses interprètes principaux (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Cronenberg confirme une fois de plus qu’il filme du côté de la maladie, bousculant les convenances, nous projetant dans un monde à la fois étrange et familier, celui de l’intériorité de notre corps, cette chose mystérieuse qui nous dégoûte un peu et qui est pourtant nous.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Un film érotique et abstrait. Tranchant, irrespirable, incorporel. Presque pas un film, une idée. Dernière pensée avant l’extinction.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
POUR : Le film marque néanmoins par son sens envoûtant de la cérémonie crépusculaire, où se mêlent le sacré et le sacrilège. Entre infanticide, détournement de cadavre, scarifications et cicatrices baroques, Les Crimes du futur est violent mais d’une violence calme, conceptuelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
par La rédaction
Entre fascination, répulsion, délire visionnaire et manifeste alarmiste « Les crimes du futur » reste une œuvre évidemment non-consensuelle dont la mise en scène et en images ultra-sophistiquée provoque un malaise délibéré.
La critique complète est disponible sur le site CNews
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le réalisateur canadien ne radote pas pour autant. Il imagine des organismes capables de digérer le plastique, donc nos propres déchets. Finalement un homme en harmonie avec le monde qu’il crée. Incisif, l’avenir vu par David Cronenberg.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Dans son nouveau film présenté en compétition, le cinéaste canadien remet sur le métier ses obsessions de toujours et risque à nouveau de provoquer des réactions extrêmes avec « Les Crimes du futur », un cauchemar futuriste où le metteur en scène, plus « organique » que jamais, entraîne le spectateur dans une méditation dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Les comédiens brillent dans la sobriété. Mais on ressort quand même de ce film avec le sentiment de ne pas pouvoir tout démêler des idées enchevêtrées dans la tête de David Cronenberg.
Paris Match
par Yannick Vely
Les Crimes du futur fascine par son propos, les liens qu'il tisse entre l'art contemporain et le cinéma, son absence de compromis à l'efficacité et au "spectacle". C'est peut-être la limite de l'exercice, aussi. Très théorique, le film peine à incarner son récit au-delà de la performance de Viggo Mortensen en évident double du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Gael Golhen
La musique de Shore, le jeu halluciné de Stewart, les exagérations presque comiques de certaines situations, la structure dodécaphonique ou les bavardages parfois absurdes installent une distance amusée. C’est cette distance qui rend cette fable SF étrange, ludique et hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Samuel Regnard
Peut-être un peu trop verbal, mais plutôt passionnant.
Critikat.com
par Josué Morel
Puisque le film nous dit que « la réalité, c’est le corps », il faut se résoudre à regarder la réalité en face : il est possible que le cinéma de Cronenberg n’ait malheureusement plus grand-chose dans le ventre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Avec les Crimes du futur, le Canadien signe un film testament théorique et désincarné, parcouru de quelques fulgurances mais boursouflé. À boire, à manger et beaucoup à régurgiter.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
LCI
par Jérôme Vermelin
Bavard, Les Crimes du futur donne aussi le sentiment que David Cronenberg régurgite ses vieilles obsessions dans une forme d’auto-célébration un peu vaine. Les fans hardcore y verront une œuvre testamentaire savoureuse. Les autres ont droit de sortir de table.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Télérama
par Frédéric Strauss
CONTRE : Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Et quel est ce futur inconsistant où des créateurs performeurs évoluent dans des décors sommaires ?
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Avec "Crimes of the Future", qui n'est pas sans rappeler de façon lointaine cet autre magistral autoportrait perclus de souffrance qu'est "Douleur et gloire" de Pedro Almodóvar, David Cronenberg semble marcher vers sa propre fin dans une démarche qui, pourtant, prouve toute sa vigueur artistique. On appelle cela une œuvre crépusculaire, et c'est bouleversant.
L'Ecran Fantastique
Complexe, maitrisé et servi par une interprétation sans faille, ce 22e opus respire l’esprit de son auteur jusqu’à la moëlle, pour le plus grand plaisir de tous les cinéphiles. Incontournable.
Mad Movies
[...] la densité thématique et la profondeur des réflexions apportées par cette nouvelle expérimentation filmique sont étourdissantes [...].
Positif
Un film-somme aux accents testamentaires.
aVoir-aLire.com
David Cronenberg revient aux fondamentaux de sa carrière et narre la naissance d’une nouvelle humanité par le prisme de l’art transhumaniste : celui du cinéma. L’on pourrait croire que Les Crimes du futur annonce la mort du maitre du body horror, c’est tout le contraire.
20 Minutes
A la fois beau et – on ne peut le nier – clivant, ce film envoûte et dérange de la plus séduisante façon.
Bande à part
Cette œuvre à la cinématographie éblouissante exhibe encore des corps mutants, dont les organes proliférants, beautés intérieures, deviennent objets d’art.
Cahiers du Cinéma
Pourquoi la chirurgie du docteur Cronenberg opère-t-elle toujours ? Parce que sa science-fiction n’a jamais cédé aux rêveries futuristes ni joué au jeu des prophéties. Elle est restée arrimée à la seule chose qui l’intéresse vraiment, le corps humain et son devenir, le corps comme principal terrain de l’esprit et seul lieu possible d’une transcendance.
CinemaTeaser
Si Les Crimes du Futur n’est pas le meilleur film de son auteur, il en demeure sûrement le plus personnel, le plus lucide et étonnamment optimiste.
Ecran Large
David Cronenberg dissèque sa carrière, l'industrie dans laquelle il évolue depuis des décennies et la puissance de l'avant-garde artistique. L'exercice est forcément fascinant, encore plus pour les connaisseurs de son oeuvre.
Franceinfo Culture
Les Crimes du futur peut être envisagé comme l’aboutissement des obsessions cinématographiques du réalisateur canadien.
L'Obs
Cronenberg, le Francis Bacon des expérimentations médicales, ne s’est pas assagi ; il renoue avec la fibre body horror de ses débuts, mais à la manière plus froide et théorique de « Crash » et d’« eXistenZ ».
La Septième Obsession
Bouclant la boucle de ses obsessions, Cronenberg conjugue dans son film l’amusante bizarrerie des débuts à la radicalité de Crash, dont il pourrait être une version actualisée.
Le Figaro
Les Crimes du futur pourrait n’être qu’un pensum fumeux et bavard. Il ne faut pas prendre Cronenberg trop au sérieux. Le Canadien a bien plus d’humour que ses exégètes, ivres d’interprétation (écologisme, transhumanisme, corps mutant) et d’interconnexion avec les films précédents du cinéaste (Scanners, ExistenZ, Crash). Un humour noir, sardonique.
Le Journal du Dimanche
Une sorte de rejeton déviant de Chromosome 3 (1979) et Crash (1996), qui évoque aussi son moyen métrage éponyme de 1970, dans un décor à la fois rétro et futuriste, où planent un érotisme fou et un humour bienvenu. Porté par Viggo Mortensen, alter-ego troublant et charismatique du réalisateur, et une bande de personnages féminins aussi beaux que névrosés.
Le Monde
Il faut donc en revenir au principe de « cancer créatif », qui définit, en plus de la vie, l’idée même de ce film : une souche morte il y a vingt ans, qui refleurit sous nos yeux aujourd’hui. Rémanence de la pensée et miracle de la nature. Tortueux, fragile, précieux, tel est le travail de la création.
Le Parisien
Sombre, dérangeant parfois, très prenant et donnant à réfléchir, « Les Crimes du futur » doit aussi beaucoup à ses interprètes principaux (...).
Les Inrockuptibles
Cronenberg confirme une fois de plus qu’il filme du côté de la maladie, bousculant les convenances, nous projetant dans un monde à la fois étrange et familier, celui de l’intériorité de notre corps, cette chose mystérieuse qui nous dégoûte un peu et qui est pourtant nous.
Libération
Un film érotique et abstrait. Tranchant, irrespirable, incorporel. Presque pas un film, une idée. Dernière pensée avant l’extinction.
Télérama
POUR : Le film marque néanmoins par son sens envoûtant de la cérémonie crépusculaire, où se mêlent le sacré et le sacrilège. Entre infanticide, détournement de cadavre, scarifications et cicatrices baroques, Les Crimes du futur est violent mais d’une violence calme, conceptuelle.
CNews
Entre fascination, répulsion, délire visionnaire et manifeste alarmiste « Les crimes du futur » reste une œuvre évidemment non-consensuelle dont la mise en scène et en images ultra-sophistiquée provoque un malaise délibéré.
La Voix du Nord
Le réalisateur canadien ne radote pas pour autant. Il imagine des organismes capables de digérer le plastique, donc nos propres déchets. Finalement un homme en harmonie avec le monde qu’il crée. Incisif, l’avenir vu par David Cronenberg.
Les Echos
Dans son nouveau film présenté en compétition, le cinéaste canadien remet sur le métier ses obsessions de toujours et risque à nouveau de provoquer des réactions extrêmes avec « Les Crimes du futur », un cauchemar futuriste où le metteur en scène, plus « organique » que jamais, entraîne le spectateur dans une méditation dérangeante.
Ouest France
Les comédiens brillent dans la sobriété. Mais on ressort quand même de ce film avec le sentiment de ne pas pouvoir tout démêler des idées enchevêtrées dans la tête de David Cronenberg.
Paris Match
Les Crimes du futur fascine par son propos, les liens qu'il tisse entre l'art contemporain et le cinéma, son absence de compromis à l'efficacité et au "spectacle". C'est peut-être la limite de l'exercice, aussi. Très théorique, le film peine à incarner son récit au-delà de la performance de Viggo Mortensen en évident double du cinéaste.
Première
La musique de Shore, le jeu halluciné de Stewart, les exagérations presque comiques de certaines situations, la structure dodécaphonique ou les bavardages parfois absurdes installent une distance amusée. C’est cette distance qui rend cette fable SF étrange, ludique et hypnotique.
Rolling Stone
Peut-être un peu trop verbal, mais plutôt passionnant.
Critikat.com
Puisque le film nous dit que « la réalité, c’est le corps », il faut se résoudre à regarder la réalité en face : il est possible que le cinéma de Cronenberg n’ait malheureusement plus grand-chose dans le ventre.
L'Humanité
Avec les Crimes du futur, le Canadien signe un film testament théorique et désincarné, parcouru de quelques fulgurances mais boursouflé. À boire, à manger et beaucoup à régurgiter.
LCI
Bavard, Les Crimes du futur donne aussi le sentiment que David Cronenberg régurgite ses vieilles obsessions dans une forme d’auto-célébration un peu vaine. Les fans hardcore y verront une œuvre testamentaire savoureuse. Les autres ont droit de sortir de table.
Télérama
CONTRE : Cette fiction dont le corps est le centre ne prend jamais chair. Les plans défilent comme les tableaux d’une exposition, la caméra aussi stoïque qu’un clou planté dans le mur. Et quel est ce futur inconsistant où des créateurs performeurs évoluent dans des décors sommaires ?